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Coup d’État en France - L’homme de droite Toubon, bien plus à gauche que l’homme de gauche Hollande !

lundi 8 février 2016, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 8 février 2016).

Note de do : Toubon s’insurge contre l’état d’urgence permanent. Ce fait montre bien que si Toubon est de droite, alors c’est à bon droit qu’on peut traiter le dictateur Hollande de fasciste. Hollande cherche à établir une dictature sioniste dure. J’ai démontré il y a quelques années que le sionisme est toujours de droite. Aujourd’hui on constate qu’il mène tout droit au fascisme quand il veut s’emparer d’un pays.


Amnesty International et Toubon vent debout contre l’état d’urgence

http://www.lepoint.fr/societe/amnes…

Source AFP

Publié le 04/02/2016 à 07:24 - Modifié le 04/02/2016 à 10:11 | Le Point.fr

Tout comme Amnesty, Jacques Toubon, l’ancien garde des Sceaux, critique les mesures et explique au "Monde" que la France entre dans "l’ère des suspects".

La contestation contre l’état d’urgence grandit, comme ici à Paris le 30 janvier 2016

S’il avait quasiment fait l’unanimité lors de son instauration, l’état d’urgence est de plus en plus contesté. Des dizaines de réclamations ont atterri sur le bureau du Défenseur des droits Jacques Toubon, qui s’est emparé du sujet, se posant en garant des libertés et des associations qui réclament la fin de ces mesures d’exception. Aussitôt après les attentats parisiens du 13 novembre, le gouvernement a décrété l’état d’urgence, autorisant des mesures exceptionnelles. Le Défenseur en a vite vu certaines conséquences : « 42 réclamations » reçues en l’espace de cinq semaines, entre le 26 novembre et le 31 décembre, indique l’institution dans son bilan annuel publié jeudi.

Ces réclamations sont « principalement liées à des perquisitions (18 saisines) et à des assignations à résidence (11 saisines) ». Parmi ces dernières, deux ont eu pour conséquence un licenciement. Mais il y a aussi les « dommages collatéraux » de l’état d’urgence : une mère voilée qui se voit refuser l’accès à un collège, des licenciements pour port de barbe, un refus de délivrance de passeport… « Si certaines réclamations ont pu trouver une issue favorable (indemnisation ou aménagement des conditions d’assignation), la plupart sont encore en cours d’instruction », précise l’institution, créée en 2011 pour aider les citoyens à faire valoir leurs droits. Dans un entretien au Monde , Jacques Toubon s’inquiète des projets du gouvernement sur l’état d’urgence et la lutte contre le terrorisme. Il voit dans ses textes « un abaissement de notre état de droit » qui « fait de l’exception la règle » et fait entrer la France dans « l’ère des suspects ». Des mesures lourdes de conséquences pour les droits de l’homme

En écho, Amnesty International enjoint jeudi aux autorités de ne pas reconduire l’état d’urgence, que le gouvernement veut pourtant prolonger pour trois mois après le 26 février. Selon l’ONG, l’état d’urgence « a bouleversé des centaines de vies », causant « toute une série de violations des droits humains » avec « très peu de résultats concrets » en matière antiterroriste. L’association souligne que sur les 3 210 perquisitions, une seule personne a été mise en examen. Elle estime que ces mesures ont été appliquées de façon discriminatoire et disproportionnée. Elles sont « lourdes de conséquences pour les droits humains », écrit l’association dans son rapport. « Les motifs invoqués pour viser des personnes doivent être beaucoup plus clairs, fondés sur des éléments de preuves solides, et se limiter strictement aux personnes soupçonnées d’actes de terrorisme, signale Amnesty. Nous lançons un appel aux parlementaires pour que les droits et libertés, condition nécessaire de la sécurité des personnes, soient garantis et protégés. »

Défense des droits de l’enfant, relations avec les services publics ou les professionnels de la sécurité (police, vigiles…), lutte contre les discriminations : les missions du Défenseur des droits sont multiples. Si l’immense majorité des 79 592 dossiers qu’il reçoit concerne les demandes liées au service public et à l’accès au droit, l’état d’urgence a donné l’occasion à Jacques Toubon, nommé Défenseur des droits en juillet 2014 après le décès de Dominique Baudis, de s’inviter dans le débat. Fin décembre, il sonnait l’alarme, craignant « qu’un glissement s’opère vers un régime d’état permanent de crise caractérisé par une restriction durable de l’exercice des droits et des libertés. »

La feuille de route de Toubon pour 2016

Alors que l’Assemblée nationale entame vendredi l’examen en séance de la réforme constitutionnelle voulue par François Hollande après les attentats, qui prévoit l’inscription de l’état d’urgence dans la loi fondamentale, le Défenseur des droits redoute que le « droit de tous les jours » ne soit « singulièrement durci ». Pour 2016, Jacques Toubon se fixe comme « priorité » d’aider les citoyens à accéder à leurs droits et aux services publics et de lutter contre les discriminations. Dans son viseur aussi : l’État, quand il ne respecte pas ses propres règles. Ainsi, sur la question des migrants, l’ancien garde des Sceaux constate « la grave insuffisance de l’accompagnement social, sanitaire et scolaire, pourtant prévu par la circulaire interministérielle du 26 août 2012, et de solutions pérennes d’hébergement ».

Il réclame aussi la mise en oeuvre effective du droit au logement opposable (Dalo), 60 000 ménages reconnus prioritaires attendant toujours un logement. Parmi ses prises de position, Jacques Toubon s’est déclaré favorable à la création d’un mécanisme de recours collectif par des particuliers s’estimant victimes de discriminations. Il avait d’ailleurs soutenu onze plaignants qui attaquaient l’État pour des contrôles d’identité jugés abusifs, et réclamé des contrôles mieux encadrés et des garanties contre les abus. Jacques Toubon se targue d’avoir pris des positions qui ont « exercé une influence sur les décisions du gouvernement et du Parlement comme dans le débat public et les médias ». Mais les procédures de recours pour faire valoir leurs droits restent « mal connues, assez opaques et insuffisamment utilisées par les citoyens », relève le rapport. En particulier dans quatre domaines : la scolarisation des enfants étrangers, le droit à la retraite, le droit d’asile et l’accès au droit à l’hébergement d’urgence.

LE SIONISME EST TOUJOURS DE DROITE :

http://mai68.org/spip/spip.php?article1178

(Constaté par do, le 17 septembre 2007, après quelques semaines de Sarko au "pouvoir".)

L’anticommunisme, profession des sionistes (Livre introuvable d’URSS 1972)

Je vous propose un petit livre, de moins de cent pages en gros caractères, qui nous vient en direct de l’ancienne Union Soviétique. Il a été écrit par N. Bolchakov et publié par Novosti en 1972. Il nous explique en particulier que le sionisme est l’idéologie de la classe dominante juive. Mais aussi, il dénonce les nombreuses compromissions du sionisme avec Hitler et les nazis ; et plein d’autres choses. Ce petit livre est Bourré de références prouvant ce qu’il raconte. Format PDF.

http://mai68.org/spip/spip.php?article4974

Alliance entre sionistes et nazis - Le Transfert agreement du 7 aout 1933 (vidéo 13’15) :

http://mai68.org/spip/spip.php?article6569

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