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Le MOSSAD assassine un Palestinien à Dubaï ! De l’eau dans le gaz entre Israël et Dubaï ! (vidéo 27’26’’)

jeudi 28 juin 2012 (Date de rédaction antérieure : 19 février 2010).

Auparavant, Dubaï était l’un des rares pays arabes dont les relations avec Israël étaient au beau fixe.

Comment se fait-il que les agents du Mossad ayant perpétré cet assassinat aient pris si peu de précautions ? Se sentaient-ils en sécurité puisqu’agissant sur le territoire d’un pays ami ?

Comment se fait-il que Dubaï ait livré au monde les preuves que ce sont des agents du Mossad qui ont commis cet assassinat ?

Il est probable que, la réputation d’Israël étant de plus en plus mauvaise, Dubaï n’ait plus envie de couvrir les saloperies d’Israël, et il est probable que Dubaï ait "oublié" de prévenir Israël que les bonnes relations entre les deux pays, c’était terminé !

C’est sans doute pourquoi les agents spéciaux israéliens se sont comportés comme s’ils en avaient rien à foutre d’être repérés par la police de Dubaï : ils savaient très bien qu’il y avait la vidéo-surveillance ! Les espions du Mossad se sont visiblement contentés de ne pas pouvoir être repérés par les citoyens lambdas.

Je livre ici deux articles sur cet assassinat commis par Israël hors de "chez lui".

Et vous pourrez voir aussi, à la fin, la vidéo de 27 minutes livrée par Dubaï à titre de preuve.


DUBAI CONTRE MOSSAD

http://www.lci.tf1.fr/monde/moyen-o…

Le Mossad et un coup à double tranchant

Par Denis BRUNETTI, correspondant permanent à Jérusalem, le 17 février 2010 à 10h26, mis à jour le 17 février 2010 à 12:48

Analyse - Pour la presse israélienne, il ne fait aucun doute que les services secrets de l’Etat hébreu sont à l’origine de l’opération parfaite qui a permis d’assassiner Mahmoud Al Mabhouh à Dubaï. Mais elle s’inquiète également des conséquences diplomatiques.

C’est un impressionnant film d’espionnage qu’a présenté et diffusé au public la police de Dubaï : grâce aux caméras de surveillance de l’aéroport, de la rue, de plusieurs hôtels et centres commerciaux, grâce aux écoutes téléphoniques et aux enregistrements électroniques, les enquêteurs montrent les allées et venues, les contacts et l’organisation par un groupe de 11 personnes de l’assassinat de Mahmoud Al Mabhouh.

Ce cadre du Hamas en exil a été assassiné le 19 janvier dans sa chambre n°230 de l’hôtel Bustan Al Rotana à Dubaï. Ancien fondateur des brigades Ezzedine Al Qassam, responsable personnellement de l’enlèvement et de l’assassinat de deux soldats israéliens, il était surtout, selon Israël, le chef du trafic d’armes vers Gaza, et en particulier celui venant de l’Iran.

27 minutes de vidéo

Dès le début de l’enquête, les yeux se sont tournés vers le Mossad, les services secrets israéliens. Ils auraient les moyens, les méthodes et le mobile pour une telle liquidation. Mais après de nombreuses rumeurs, la police de Dubaï a été bien au-delà d’une enquête de formalité. La police a donc diffusé les photos et surtout un incroyable document de 27 minutes reprenant les principales images vidéos où tout un chacun peut voir les moindres détails d’une organisation sophistiquée : 11 personnes, 10 hommes et une femme, ont préparé et perpétré l’élimination dans un calme et un professionnalisme absolu sous l’oeil des caméras de surveillance.

Et l’on voit tout ou presque : une équipe de surveillance attend tout d’abord la cible à son arrivée à l’aéroport de Dubaï. Il est ensuite suivi à la réception de son hôtel, puis dans l’ascenseur, par deux joueurs de tennis. Un homme note alors le numéro de sa voiture et prévient les autres. Un autre agent sort de son hôtel avec une perruque tandis que des équipes de surveillance, toujours par deux, se relaient dans l’établissement. On amène à ce moment du matériel dans une chambre voisine puis le coordinateur, "Peter" réserve une chambre en face de la victime.

"Kevin" ouvre la porte, sans doute grâce à un dispositif électronique, le coordinateur quitte quant à lui Dubaï avant la phase d’exécution. Une première équipe de tueurs arrive, puis une deuxième tandis que "Kevin" et "Gail" surveillent le couloir. Le meurtre a lieu entre 20h27 et 20h46 dans la chambre. Puis les membres du commando s’éparpillent dans des vols pour Paris, Hong Kong ou Johannesburg avec des passeports anglais, irlandais, allemand et français.

Méthodes du Mossad

Jamais le public n’avait pu ainsi voir les images d’une telle organisation. Les agents semblent très calmes, autonomes, ils se croisent discrètement dans les halls d’hôtel, dans les centres commerciaux, communiquent avec un réseau particulier. Ils portent des lunettes, casquettes ou moustaches mais ils semblent relativement identifiables. Ces visages d’Occidentaux, les passeports européens, une technologie avancée en télécommunications et en électronique plaident naturellement pour une signature israélienne.

Mais d’autres éléments sont venus s’y ajouter depuis mardi : sept Israéliens ont déclaré qu’on leur avait "volé leur identité". Or sept noms indiqués sur les passeports sont bien vrais mais correspondent à de simples citoyens israéliens d’origine britannique, et donc détenteurs d’un deuxième passeport. Et ceux-là ont été stupéfaits mardi matin quand les noms des onze ont été affichés à la Une. Paul John Kooley, un réparateur du kibboutz Nasholim ou Melvyn Mildiner, un rédacteur de Beit Shemesh, se disent "furieux" et "désemparés" par ce qui leur arrive. On a "emprunté" leur nom, leur numéro de passeport ou leur lieu de naissance, afin de forger d’autres passeports, avec des photos légèrement différentes, pour les agents de Dubaï.

Et cela aussi ressemble aux méthodes du Mossad. En 1979, le Royaume-Uni s’était déjà plaint de l’utilisation de faux passeports britanniques par Israël. En 1997, c’est le Canada qui avait demandé des explications après qu’une tentative d’assassinat par un agent porteur d’un faux passeport canadien. Une autre fois, l’Etat hébreu avait même dû s’excuser auprès de la Nouvelle-Zélande.

Des Palestiniens impliqués

Les images de Dubaï ne sont pas le seul indice sur l’implication israélienne dans l’affaire. La police de Dubaï a en effet également annoncé que deux Palestiniens avaient été arrêtés en Jordanie et extradés. Or, au moins l’un d’entre eux aurait eu des contacts avec Peter, le "coordinateur" et… serait un membre de la police palestinienne. Aussitôt à Gaza, le Hamas y a vu la preuve que l’Autorité palestinienne de Ramallah est peut-être complice du Mossad. Réponse de Ramallah : les deux hommes seraient en fait des membres de la police palestinienne… de Gaza, c’est-à-dire des membres de la milice du Hamas. Nouvel imbroglio dans l’affaire, mais en tout cas, un nouveau soupçon sur une opération régionale.

Si les agents ont réussi à "exécuter" leur cible et à s’échapper, les médias israéliens s’inquiètent désormais des problèmes diplomatiques qui pourraient s’ensuivre. Haaretz déclare même que le chef du Mossad, Meir Dagan, devrait partir. Réputé pour ses méthodes expéditives, ce dernier insiste pour se maintenir à son poste. Mais le quotidien affirme que le Mossad ne peut outrepasser abusivement les lois sous sa coupe. Le Mossad a-t-il été trop loin ? Si les journaux israéliens parlent aujourd’hui d’une "réussite opérationnelle", il qualifie aussi l’opération d’"échec stratégique". La légende du Mossad, qui fut minée durant ces dernières années par des échecs piteux, en ressort en tout cas renforcée. "Toutes ces actions, qu’elles soient d’ailleurs du Mossad ou non, contribuent à son image dissuasive, à son image féroce d’un Mossad efficace et impitoyable", souligne la presse.

Terrorisme d’Etat à Dubaï

http://www.aloufok.net/spip.php?art…

jeudi 18 février 2010, par La Rédaction

Des lunettes, une fausse moustache et un chapeau… Les membres du commando qui ont assassiné, le 20 janvier, dans un hôtel de Dubaï, le Palestinien Mahmoud Abou Al-Mabhouh, considéré comme le principal responsable de l’approvisionnement en armes du Hamas, n’ont pas trouvé mieux comme parade aux caméras de surveillance dont l’émirat a truffé ses bâtiments publics et ses hôtels, ce qu’ils ne pouvaient ignorer.

Les onze suspects auraient donc pris un risque calculé, celui de voir leurs visages, sans doute grimés, faire le tour du monde, en tablant que cette piste ne serait pas suffisante pour remonter jusqu’à eux, pas plus que celle des identités usurpées figurant sur leurs passeports. Les images rassemblées par la police de Dubaï montrent plusieurs membres du commando déambulant dans les couloirs de l’Hôtel Al-Bustan Rotana, certains vêtus d’un short, raquette de tennis à la main, apparemment sereins…

Qui étaient-ils ? Tout en se protégeant, pour des raisons patriotiques et de censure, derrière le fameux "AFMR" (according to foreign media reports, "selon la presse étrangère"), la plupart des journaux israéliens ne doutent pas de la responsabilité du Mossad, le service israélien chargé du renseignement extérieur, mais stigmatisent l’amateurisme des agents ayant mené cette opération, voire celle de leurs chefs.

Le ministre israélien des affaires étrangères, Avigdor Lieberman, est bien le seul à oser dire qu’il n’y a "aucune raison de penser" que le Mossad est à l’origine de l’assassinat d’un homme qui figurait en tête de la liste des individus dangereux qu’Israël souhaitait éliminer. M. Lieberman tente de sauver ce qui peut encore l’être de la discrétion habituelle du "kidon", le service action de l’une des agences de renseignement réputées les plus performantes du monde.

Il est probable que le chef du Mossad, Meir Dagan, en poste depuis huit ans, va endosser le rôle de bouc émissaire, tant l’opération de Dubaï s’est accompagnée de fautes lourdes. La première est sans doute d’avoir choisi d’assassiner un responsable du Hamas dans l’un des rares pays arabes avec lequel Israël entretient une relation sans nuages.

La seconde est d’avoir fourni aux membres du commando des passeports de pays européens (Royaume-Uni, Irlande, Allemagne et France), ce qui, en principe, ne se fait pas entre pays amis. A Londres comme à Dublin, l’ambassadeur d’Israël a été convoqué au ministère des affaires étrangères pour fournir des explications.

La troisième est d’avoir usurpé l’identité de sept Israéliens, dont six ont la double nationalité britannique. Les intéressés ont trouvé une forêt de micros et de caméras pour s’en plaindre. Michael Barney, James Clarke, Jonathan Graham, Stephen Hodes, Paul Keeley, Melvyn Mildine et les autres n’ont pas apprécié d’être assimilés à des meurtriers.

L’un s’est dit "profondément choqué", un autre s’est déclaré "furieux, bouleversé et effrayé", un troisième a dénoncé "un vol d’identité"… La sophistication des mesures de contrôle dans les aéroports et la prochaine généralisation des passeports biométriques rend de plus en plus aléatoire la fourniture de fausses identités aux agents de renseignement.

D’où le souci des services de se procurer de vrais passeports et d’emprunter de vraies identités. En 2004, c’est pour avoir été pincés en tentant d’acheter des passeports que deux agents du Mossad ont été emprisonnés pendant six mois en Nouvelle-Zélande.

Cette cascade de conséquences pour une opération censée être menée dans la discrétion va inévitablement poser la question de la responsabilité du premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou. Alors que le succès factuel de cette mission – la "cible" a été éliminée et les membres du commando ont pu quitter l’émirat – est déjà obscurci par ses retombées politiques et diplomatiques, une chose est sûre : une opération aussi risquée ne peut avoir été décidée sans son feu vert.

Si la piste du Mossad devait se confirmer – elle ne le sera jamais complètement –, il vaudrait mieux, pour le premier ministre israélien, qu’il ait été tenu dans l’ignorance des détails de la mission. Car il n’y avait sans doute pas de moyen plus direct de pointer du doigt la responsabilité du Mossad que de choisir, sur les onze membres du commando, l’identité de sept citoyens israéliens !

M. Nétanyahou n’a décidément pas de chance avec le Mossad. Lors de son premier mandat de premier ministre, en septembre 1997, ce même service avait lamentablement échoué dans une tentative d’empoisonnement, en Jordanie, de Khaled Meshaal, aujourd’hui chef de la branche politique du Hamas. Les deux agents du service action (munis de passeports canadiens) avaient été arrêtés par la sécurité jordanienne.

Israël avait dû fournir un antidote et libérer le chef spirituel du Hamas pour récupérer ses hommes.

Ironie du calendrier : des responsables du Mossad et du Shin Bet (sécurité intérieure) ont fait une rare entorse à leur discrétion, lundi 15 février, en participant à un débat à la Knesset – le Parlement israélien – sur la revalorisation de leurs salaires et de leurs retraites. Aucune décision n’a été prise. Probablement pour quelque temps…

(Laurent Zecchini - Le Monde du 19 février 2010)

Mise à jour

Assassinat de Mahmoud Abou Al-Mabhouh : les enquêteurs de Dubaï désignent le Mossad

Les enquêteurs de Dubaï sont presque à "100%" sûrs que le Mossad israélien est impliqué dans l’assassinat, le mois dernier, d’un cadre du mouvement islamiste palestinien Hamas, a affirmé le chef de la police de Dubaï, alors que le nombre de suspects dans cette affaire est passé à 18 jeudi.

Ces propos du général Dahi Khalfan Tamim, publié sur le site Internet d’un journal du gouvernement d’Abou Dhabi, interviennent alors que la pression internationale se fait plus forte pour qu’Israël réponde aux allégations concernant une possible implication de ses services secrets dans l’assassinat de Mahmoud al-Mabhouh, un des fondateurs de la branche militaire du Hamas, dans un hôtel de luxe de Dubaï.

L’enquête s’est aussi étendue aux Etats-Unis, les autorités des Emirats arabes unis affirmant que les tueurs présumés auraient utilisé de faux passeports pour ouvrir des comptes dans des banques américaines leur permettant d’utiliser des cartes de crédit.

"Nos investigations révèlent que le Mossad est impliqué dans le meurtre d’al-Mabhouh. Il est sûr à 99%, si ce n’est pas à 100%, que le Mossad est derrière le meurtre", a affirmé le général Dahi Khalfan Tamim au journal "The National", détenu par le gouvernement d’Abou Dhabi.

Les ambassadeurs israéliens en Grande-Bretagne et en Irlande ont été convoqués jeudi par les autorités de ces pays pour donner des explications, suite à des allégations selon lesquelles des passeports européens ont été utilisés dans le cadre de l’opération.

Les autorités britanniques ont annoncé qu’elles allaient enquêter pour savoir comment certains suspects dans l’assassinat de Mahmoud al-Mabhouh avaient des passeports britanniques, et comment ces passeports avaient pu être contrefaits.

Selon un responsable des Emirats arabes unis, au moins 18 personnes -dont deux femmes- sont désormais suspects dans cette affaire qui, selon la police de Dubaï, visait à prendre al-Mabhouh en filature et à le tuer. Parmi eux figurent dix hommes et une femme identifiés lundi par la police de Dubaï comme des membres d’une équipe partie à Dubaï pour commettre cet assassinat, apparemment avec des faux passeports : six de Grande-Bretagne, trois d’Irlande, un d’Allemagne et un de France.

(jeudi, 18 février 2010 - Avec les agences de presse)

Cliquer sur l’image pour voir cette vidéo de 27 minutes
livrée par Dubaï à titre de preuve.

14 Messages de forum

  • Les agents spéciaux israéliens se sont comportés comme s’ils en avaient rien à foutre d’être repérés par la police de Dubaï : ils savaient très bien qu’il y avait la vidéo-surveillance ! Les espions du Mossad se sont visiblement contentés de ne pas pouvoir être repérés par les citoyens lambdas.

  • Voici onze suspects de l’assassinat de Mahmoud Abou Al-Mabhouh :

    Et voici ce qui était indiqué sur leurs faux passeports :

    De gauche à droite en haut : Evan Dennings (Irlandais), Gail Folliard (Irlandaise), James Leonard Clarke (Britanique), Jonathan Louis Graham (Britanique) ;
    De gauche à droite au milieu : Michael Bodenheimer of (Allemand), Paul John Keeley (Britanique), Michael Lawrence Barney (Britanique) ;
    De gauche à droite en bas : Peter Elvinger (Français), Kevin Daveron (Irlandais), Melvyn Adam Mildiner (Britanique), Stephen Daniel Hodes (Britanique).

    QUESTION :

    Vu la relation de dépendance absolue d’Israël vis-à-vis de l’impérialisme anglo-saxon (anglo-américain), les faux passeports anglais n’auraient-ils pas été livrés par l’Angleterre elle-même ? de vrais-faux passeports, en quelque sorte ?

    Si tel est le cas, et ce n’est vraiment pas ce qui serait le plus étonnant, les espions du Mossad ont bien entendu été lâchés par les Anglais dès qu’ils se sont fait coincer. Normal. Ça fait partie du métier d’espion !

    Comme Sarko est très sioniste, on peut se demander s’il n’en va pas de même pour les passeports français : de faux passeports, ou bien tout simplement, là aussi, des vrais-faux passeports ?

    N’oublions jamais pour raisonner dans toutes ces histoires que le Palestinien assassiné travaillait pour la résistance à Gaza, et que l’impérialisme anglo-saxon et la France du Sarkonazi font tout pour aider Israël à génocider tous les Palestiniens de Gaza. Vous pouvez le vérifier en lisant l’article court intitulé :

    « GAZA - tunnels de survie - "V’là les médicaments !" » :

    http://mai68.org/spip/spip.php?article915

  • L’ancien général israélien Uzi Dayan avoue que c’est bien le Mossad qui a assassiné Mahmoud al-Mabhouh à Dubaï le 20 janvier 2010 !

    Voici ce qu’on peut lire dans la dépêche Reuters, publiée le 21/02/2010 à 14:47

    Au-delà des condamnations officielles et des remontrances en privé, le gouvernement israélien ne devrait pas pâtir diplomatiquement de cet épisode, estime l’ancien général israélien Uzi Dayan, qui dirigea le Conseil de sécurité nationale.

    "Ce qui compte, c’est qu’un acte important dans la guerre contre le terrorisme ait été accompli, quels qu’en soient les auteurs", a-t-il dit dimanche à la radio israélienne.

    "Personne n’a rappelé son ambassadeur (en Israël), personne n’a expulsé quiconque", a-t-il souligné

  • Le terrorisme à Bombay porte la signature du MOSSAD par Amaresh Misra :

    http://mai68.org/ag/1494.htm

    ATTENTATS DE BOMBAY (MUMBAI) - UN INSPECTEUR GENERAL DE LA POLICE DU MAHARASHTRA SE MET A TABLE (par Himalove) :

    http://mai68.org/spip/spip.php?article1030

  • l’Union européenne menacée par Dubaï :

    Dubaï a menacé l’Union européenne d’annuler certains projets économiques si les pays d’Europe classent l’affaire Mahmoud Al Mabhouh et si ils ne prennent pas des sanctions contre Israël.

  • Le Hamas (mouvement de résistance palestinienne à Gaza) a demandé aux pays d’Europe de classer Israël parmis les États terroristes.

  • Mosab Hassan Youssef, fils d’un des fondateurs du Hamas et agent du Shin Bet

    http://www.lemonde.fr/proche-orient…

    Mosab Hassan Youssef, le fils d’un des fondateurs du Hamas, était une "taupe" du Shin Bet israélien au sein de la hiérarchie du mouvement islamiste palestinien, indique mercredi le journal Haaretz :

    http://www.haaretz.com/hasen/spages…

    Selon des extraits d’un article à paraître intégralement vendredi, Mosab Hassan Youssef, 32 ans, fils de Sheikh Hassan Youssef, un fondateur du Hamas en Cisjordanie, a permis au service intérieur de sécurité de procéder à des arrestations retentissantes et d’empêcher des dizaines d’attentats anti-israéliens durant la seconde Intifada palestinienne.

    Ses informations ont notamment conduit aux arrestations d’Ibrahim Hamid, un chef militaire du Hamas en Cisjordanie, de Marwan Barghouthi, alors secrétaire général du parti Fatah dans ce même territoire, et d’Abdallah Barghouthi, un chef militaire du Hamas responsable de meurtrières attaques à la bombe. Au sein du Shin Bet, Mosab Hassan Youssef était surnommé "Le Prince vert". Aujourd’hui réfugié en Californie, il s’est converti au christianisme il y a une dizaine d’années et est le co-auteur avec Ron Bracki d’un livre, Fils du Hamas, qui doit être publié la semaine prochaine aux Etats-Unis.

  • Last update - 14:32 24/02/2010
    Haaretz exclusive : Hamas founder’s son worked for Shin Bet for years
    By Avi Issacharoff

    http://www.haaretz.com/hasen/spages…

    Mosab Hassan Yousef (Yossi Sasson)

    The son of a leading Hamas figure, who famously converted to Christianity, served for over a decade as the Shin Bet security service’s most valuable source in the militant organization’s leadership, Haaretz has learned.

    Mosab Hassan Yousef is the son of Sheikh Hassan Yousef, a Hamas founder and one of its leaders in the West Bank. The intelligence he supplied Israel led to the exposure of a number of terrorist cells, and to the prevention of dozens of suicide bombings and assassination attempts on Israeli figures.

    The exclusive story will appear in this Friday’s Haaretz Magazine, and Yousef’s memoir, "Son of Hamas" (written with Ron Brackin) will be released next week in the United States. Yousef, 32, became a devout Christian 10 years ago and now lives in California after fleeing the West Bank in 2007 and going public with his conversion.

    Yousef was considered the Shin Bet’s most reliable source in the Hamas leadership, earning himself the nickname "the Green Prince" - using the color of the Islamist group’s flag, and "prince" because of his pedigree as the son of one of the movement’s founders.

    During the second intifada, intelligence Yousef supplied led to the arrests of a number of high-ranking Palestinian figures responsible for planning deadly suicide bombings. These included Ibrahim Hamid (a Hamas military commander in the West Bank, Marwan Barghouti (founder of the Fatah-linked Tanzim militia) and Abdullah Barghouti (a Hamas bomb-maker with no close relation to the Fatah figure). Yousef was also responsible for thwarting Israel’s plan to assassinate his father.

    "I wish I were in Gaza now," Yousef said by phone from California, "I would put on an army uniform and join Israel’s special forces in order to liberate Gilad Shalit. If I were there, I could help. We wasted so many years with investigations and arrests to capture the very terrorists that they now want to release in return for Shalit. That must not be done."

    The story of Yousef’s spiritual transformation appeared in Haaretz Magazine in August 2008. Only now, however, is Yousef exposing the secret he kept since 1996, when he was first held by Shin Bet agents seeking to enlist him in infiltrating the upper echelon of Hamas.

    Their efforts proved successful, and Yousef was released from prison in 1997. His former handler, who no longer serves with the security service, says Yousef collaborated with Israel because he wanted to save lives.

    "So many people owe him their life and don’t even know it," said the handler, named in Yousef’s book as Captain Loai. "People who did a lot less were awarded the Israel Security Prize. He certainly deserves it."

    Loai makes no secret of his admiration for his former source. "The amazing thing is that none of his actions were done for money," he says. "He did things he believed in. He wanted to save lives. His grasp of intelligence matters was just as good as ours - the ideas, the insights. One insight of his was worth 1,000 hours of thought by top experts."

    Loai recalled one time when the Shin Bet received information that a suicide bomber was going to be picked up at Manara Square in Ramallah and be given an explosives belt.

    "We didn’t know his name or what he looked like - only that he was in his 20s and would be wearing a red shirt," he said. "We sent the Green Prince to the square and with his acute sense, he located the target within minutes. He saw who picked him up, followed the car and made it possible for us to arrest the suicide bomber and the man who was supposed to give him the belt. So another attack was thwarted, though no one knows about it. No one opens Champagne bottles or bursts into song and dance. This was an almost daily thing for the Prince. He displayed courage, had sharp antennae and an ability to cope with danger. We knew he was one of those who in any situation - rain, snow, summer - give their all."

    With his memoir, Yousef hopes to send a message of peace to Israelis. Still, he admits he is pessimistic over the prospect of Israel signing a peace agreement with the Fatah-led Palestinian Authority, let alone Hamas.

    "Hamas cannot make peace with the Israelis. That is against what their God tells them. It is impossible to make peace with infidels, only a cease-fire, and no one knows that better than I. The Hamas leadership is responsible for the killing of Palestinians, not Israelis," he said. "Palestinians ! They do not hesitate to massacre people in a mosque or to throw people from the 15th or 17th floor of a building, as they did during the coup in Gaza. The Israelis would never do such things. I tell you with certainty that the Israelis care about the Palestinians far more than the Hamas or Fatah leadership does."

  • Il n’y a rien d’étonnant à ce que le Hamas soit infiltré par le Mossad, puisqu’à son origine, il fut quasiment fondé par le Mossad :

    http://mai68.org/ag/543.htm

  • La liste des suspects du Dubaïgate s’allonge, l’Australie s’interroge

    http://www.lemonde.fr/proche-orient…

    La liste des personnes recherchées par la police de Dubaï,
    avec leur date d’entrée et de sortie

    La police de Dubaï ne cesse d’élargir le champ de ses recherches après l’assassinat le 20 janvier sur son territoire de Mahmoud al-Mabhouh. Elle annonce rechercher désormais 26 porteurs de passeports occidentaux. Comme à la mi-février lors de l’annonce de la liste des 11 premiers suspects, la police a publié des copies des photographies des quinze nouvelles personnes, telles que figurant sur ce qu’elle a présenté comme des vrais-faux passeports.

    Mahmoud al-Mabhouh a été impliqué dans le meurtre de deux soldats israéliens et était considéré par Israël comme un maillon essentiel de la contrebande d’armes à destination de Gaza, sous contrôle du Hamas. Bien que la police de Dubaï se dise certaine "à 99 %, sinon à 100 % que le Mossad est derrière l’assassinat", les responsables israéliens affirment que rien ne prouve l’implication de leur service secret.

    Sur les 26 suspects, dont six femmes, le plus gros contingent est constitué d’utilisateurs de passeports britanniques (12), suivis par six porteurs de passeports irlandais, de quatre personnes munies de passeports français, de trois de passeports australiens et d’un détenteur d’un passeport allemand. La police de Dubaï n’exclut pas d’ajouter de nouveaux suspects à sa liste et confirme que tous les documents de voyage utilisés étaient de vrais passeports. Selon l’AFP, deux des trois passeports français sont des documents authentiques portant des identités vraisemblablement usurpées.

    Après les capitales européennes, l’Australie a haussé le ton et convoqué jeudi l’ambassadeur d’Israël pour qu’il explique comment trois passeports australiens ont pu être utilisés. Le chef du gouvernement australien, Kevin Rudd, a sérieusement averti Israël, sur les ondes de la radio ABC, que l’Australie "ne resterait pas silencieuse sur le sujet". Le ministre australien des affaires étrangères, Stephen Smith, a de son côté affirmé devant le Parlement que les trois passeports australiens semblaient avoir été "reproduits ou retouchés".

  • La police de Dubaï demande l’arrestation de Benjamin Netanyahu

    Le Premier ministre israélien est accusé d’avoir donné son accord à l’assassinat d’un cadre du Hamas à Dubaï en janvier dernier. De faux passeports européens avaient été utilisés pour l’opération.

    Le « Dubaïgate » prend des proportions de plus en plus délicates pour Israël. Le chef de la police de l’émirat a annoncé mardi avoir présenté au procureur une demande en vue de l’arrestation du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, après l’assassinat en janvier d’un cadre du Hamas, Mahmoud al-Mabhouh.

    La suite ici :

    http://mai68.org/spip/spip.php?article1061

  • Dubaïgate - photos de divers faux passeports utilisés par des agents israéliens :

    http://mai68.org/spip/spip.php?article1063

  • Assassinat de Mahmoud al-Mabhouh : Interpol émet 16 nouveaux avis de recherche

    http://www.aloufok.net/spip.php?article1544

    Lundi 8 mars 2010,

    nterpol a annoncé lundi avoir lancé des alertes "rouges" pour permettre l’arrestation et l’extradition de 16 nouveaux suspects dans l’assassinat d’un cadre du Hamas, Mahmoud al-Mabhouh, en janvier dans sa chambre d’hôtel à Dubaï.

    Onze autres suspects faisaient déjà l’objet de ces "notices rouges", émises à la demande de Dubaï (Emirats arabes unis), et qui visent donc désormais un total de 27 personnes, précise l’organisation policière internationale dans un communiqué.

    La notice rouge est le niveau d’alerte le plus élevé d’Interpol.

    "Des informations obtenues durant l’enquête et fournies par les autorités de Dubaï montrent l’existence de liens internationaux et l’implication d’un nombre élargi de personnes, et précisent le rôle de deux équipes d’individus identifiés par la police de Dubaï comme étant liés au meurtre d’Al-Mabhouh", a précisé l’organisation.
    Les onze membres de la première équipe seraient directement impliqués dans le crime, selon la police de Dubaï. Ils faisaient déjà l’objet d’avis de recherche lancés le 18 février par Interpol, ainsi que d’un mandat d’arrêt des Emirats arabes unis.

    Les 16 membres de la seconde équipe auraient "aidé et soutenu la première en observant, suivant et rapportant les faits et gestes d’Al-Mabhouh depuis le moment de son atterrissage à l’aéroport de Dubaï jusqu’à son assassinat le 19 janvier", a précisé Interpol.

    Cette équipe se composait de onze hommes et cinq femmes. Six seraient britanniques et trois australiens. La nationalité de sept suspects n’a pas été précisée par Interpol. Mahmoud al-Mabhouh, un des fondateurs de la branche militaire du mouvement islamiste palestinien Hamas, avait été retrouvé mort le 20 janvier dans un hôtel de luxe de Dubaï. La police locale a accusé les services secrets israéliens, le Mossad, d’avoir orchestré l’assassinat.

    Interpol, basée à Lyon, a par ailleurs annoncé rejoindre une nouvelle cellule d’enquête, basée à Dubaï, qui regroupe également les pays dont les passeports ont été frauduleusement utilisés par les suspects.

  • La France a participé à l’assassinat du Palestinien à Dubaï !

    Preuve : http://mai68.org/spip/spip.php?article1177

    Il n’est par conséquent pas du tout étonnant que les agents du Mossad aient eu de vrais-faux passeports français !

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