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Loi Travail - 19 mai 2016 - Trois coïncidences de suite, c’est plus des coïncidences, c’est des coups montés ! (vidéos)

jeudi 26 mai 2016, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 19 mai 2016).

Cet article écrit le 19 mai 2016, et mis à jour par une importante note datée du 25 mai suivant, dénonce trois coïncidences qui s’enclenchent tellement bien les unes avec les autres, pour former un seul et même scénario tellement favorable au pouvoir en ces temps de renaissance de la lutte de classe, qu’il est impossible d’imaginer que ce soit le fait du hasard, et que ce scénario n’ait pas été mis en scène par le pouvoir lui-même.

Ils se foutent complètement de notre gueule et croient pouvoir nous manipuler à fond ! en fait, tout ça, la bagnole de flic qui a cramé au bon moment pour justifier la manif des flics ; et, le lendemain, le crash d’avion qui arrive au bon moment lui aussi, et que, dans un premier temps, ils ont voulu attribuer à DAECH pour justifier l’état d’urgence, sont des coups montés de toutes pièces par les services secrets.

Le 13 heures de France 2 du 19 mai 2016, dont un extrait est visible dans l’article, suggère très fortement que le crash du vol MS 804 est dû à un attentat terroriste commis par DAECH ; mais, le fait que l’avion ait fait un brutal virage à gauche puis un autre à droite me fait plutôt penser que le pilote a cherché à éviter un missile. Or, DAECH est bien incapable d’envoyer un missile à 11 000 mètres d’altitude ! Quels sont les militaires de cette zone de la méditerranée qui ont la capacité d’envoyer un tel missile ? Puisque toutes les hypothèses sont permises, nous dit-on aujourd’hui, c’est peut-être aussi là qu’il faudrait chercher… À qui le crime devait-il profiter ?


Première coïncidence : le mercredi 18 mai 2016, une bagnole de flics a cramé juste pendant une manif policière contre la "haine anti-flic" ! venant ainsi, pile au bon moment, justifier le "message" de la propagande policière que voulait imposer cette manif évidemment commanditée par le pouvoir. Cette bagnole de flics a en effet été très violemment attaquée, et a fini par cramer peu après que les flics qui l’occupaient en soient sortis.

Deuxième coïncidence : Un crash d’avion est arrivé pile au moment où il fallait qu’il arrive pour faire passer au second plan les manifs du 19 mai 2016 contre la Loi Travail. Le pouvoir ne voulait plus entendre parler de la lutte contre la Loi Travail, et ce crash d’avion arrive à point nommé.

Bien entendu, les infos télévisuelles, c’est-à-dire la propagande du pouvoir, sous-entend déjà que c’est DAECH le coupable de ce crash. Cela justifie ainsi la prolongation de l’état d’urgence, et l’adoption définitive de la loi antiterrorisme, ce qui équivaut à un état d’urgence permanent.

Cet état d’urgence dont la propagande du syndicat facho Alliance — syndicat organisateur de la manif policière dont il est question au premier paragraphe — souhaite qu’il soit utilisé contre les manifestants anti-Loi Travail afin d’assigner à résidence pendant les manifs les manifestants dont on estime qu’ils sont un peu trop en colère et que le pouvoir appelle "casseurs".

Assignations à résidence qui avaient justement été demandées par le pouvoir contre un certain nombre de manifestants. Assignations à résidence qui avaient été heureusement refusées par le tribunal administratif, ce qui prouve qu’il y a encore, mais pour combien de temps, des gens honnêtes dans cette administration.

C’est là qu’arrive la troisième coïncidence : les personnes arrêtées et accusées très probablement à tort d’avoir incendié la bagnole de flics le 18 mai 2016 font justement partie de celles que le pouvoir voulait assigner à résidence pendant la manif contre les violences policières concomitante à la manif des flics.

La boucle est bouclée. Dans le spectacle, il est ainsi parfaitement démontré et d’une qu’il faut prolonger l’état d’urgence, et de deux qu’il faut s’en servir contre les manifestants en lutte contre la Loi Travail.

CONCLUSION : tout s’enclenche beaucoup trop bien pour que ce ne soit pas une mise en scène. ils se foutent complètement de notre gueule et croient pouvoir nous manipuler à fond ! en fait, tout ça, la bagnole de flic qui a cramé, et le crash d’avion qu’ils vont attribuer à DAECH, sont des coups montés de toutes pièces par le pouvoir.

Rappel : Les chefs de DAECH appartiennent aux services secrets occidentaux et font ce que l’Occident leur demande.

Note du 25 mai 2016 :

L’article ci-dessus a été écrit le 19 mai 2016.

Dans un premier temps, en France, le pouvoir a fait de la propagande télévisuelle pour nous faire penser que c’était DAECH qui avait commis un attentat terroriste contre cet avion D’EgyptAir. Mais, suite à cet article, il a fait machine arrière et a dit qu’en fait on n’en savait rien. Et le gouvernement égyptien, qui parlait de terrorisme lui aussi dans un premier temps, a fini par dire qu’il n’en savait rien lui non plus. Donc, pour le souvenir, et pour vérifier que cet article ne raconte pas n’importe quoi, voici un extrait du 13 heures de France 2 du 19 mai 2016 :

Vidéo extraite du 13 heures de France2 du 19 mai 2016

Cliquer sur l’image pour voir la vidéo.

Le 13 heures de France 2 du 19 mai 2016, dont un extrait est ci-dessus, suggère fortement que le crash du vol MS 804 est dû à un attentat terroriste commis par DAECH

Mais, le fait que l’avion a fait un brutal virage à gauche puis un autre à droite me fait plutôt penser que le pilote a cherché à éviter un missile. Or, DAECH est bien incapable d’envoyer un missile à 11 000 mètres d’altitude !

Quels sont les militaires de cette zone de la méditerranée qui ont la capacité d’envoyer un tel missile ? Puisque toutes les hypothèses sont permises, nous dit-on, c’est peut-être là aussi qu’il faudrait chercher. D’autant plus que le crash du vol MS 804 a certainement aidé à l’adoption définitive de la loi antiterrorisme, qui équivaut à un état d’urgence permanent en France :

http://mai68.org/spip/spip.php?article10846

Vous pouvez regarder ci-dessous le journal complet de France 2 du 19 mai 2016 à 13 heures afin de vérifier par vous-mêmes que les trois coïncidences dont il est question ci-dessus sont effectivement liées en un seul et même scénario, ainsi que le démontre l’article au-dessus de cette note complémentaire :

Le 13 heures de France 2 du 19 mai 2016 au complet

Cliquer sur l’image pour voir la vidéo.

Autre remarque : le mardi 24 mai 2016, le gouvernement égyptien a à nouveau parlé d’une explosion à bord du vol MS 804, puis, probablement à la demande de la France, s’est rétracté. Vérifiez-le ici :

http://mai68.org/spip/spip.php?article10839

Conclusion :

En fait, le pouvoir en France est mal à l’aise. Il a très certainement organisé le crash du vol MS 804 — peut-être en faisant abattre cet avion par un missile lancé par sa marine de guerre depuis la mer Méditerranée —, dans le but de faire croire que c’était un attentat commis par DAECH.

Les buts de cette manipulation du terrorisme étaient de faire oublier la contestation dans la rue de la Loi Travail le 19 mai 2016, jour du crash de cet avion. Et aussi de justifier, encore ce même jour, la prolongation de l’état d’urgence et l’adoption définitive de la loi antiterrorisme.

Mais, pas de bol, tout ce brillant mécanisme a été dévoilé ici très clairement ; et, comme tout s’enclenchait trop bien, la démonstration allait convaincre beaucoup trop de gens à son goût. Aussi, en France, le pouvoir ne veut surtout pas que le gouvernement égyptien parle d’explosion du vol MS 804 ; car, maintenant, les services secrets français préfèrerait qu’on dise qu’il s’agit d’un accident.

Imaginez, en effet, que les Français se disent en ce moment, c’est-à-dire en pleine contestation du pouvoir, que le crash de cet avion a été voulu par les autorités françaises et a peut-être été commis à l’aide d’un missile lancé depuis un navire de guerre français voguant en méditerranée !

Remarque : quelqu’un m’a dit que ce que je disais n’était pas possible, car ils ne feraient jamais ça, causer ainsi la mort de tant de gens ! Je lui ai répondu qu’ils ne se gênaient pas pour envoyer les gens à la guerre, et je lui ai demandé combien il y avait eu de morts pendant la guerre d’Algérie.

Manipulation ou pas ? une voiture de police brûle lors de la manif des flics le 18 mai 2016 à Paris

QUI a incendié la bagnole de flics ?
Des "casseurs" ou des flics déguisés en "casseurs" ?

http://mai68.org/spip/spip.php?article10815

Daech - 911 - l’ex-agent de la NSA, Edward Snowden, révèle que le chef de l’EI travaille pour les USA et Israël :

http://mai68.org/spip/spip.php?article7949

2 Messages de forum

  • Tout ça pour justifier les arrestations des manifestants et essayer D étouffer la resistance.
    Aujourd’hui bcp de manifestants ont été fouillés à Paris avant la manifestation, et la police a confisqué à quelques uns leur lunettes de piscine en leur disant qu ils n avaient pas à se protéger !!!!

    Etat d urgence début de la dictature…

  • Crash de l’Airbus d’EgyptAir

    Le syndrome de Daech refait surface

    http://www2.horizons-dz.com/?Le-syn…refait

    Publié le 21 mai 201

    Le syndrome de l’explosion en plein vol d’un avion de touristes russes (224 morts) au Sinaï, le 31 octobre 2015, refait surface. L’ombre de Daech plane sur la catastrophe du MS804 reliant Paris au Caire avec 66 personnes à bord, dont 30 Egyptiens et 15 Français.

    Les enquêteurs français ont confirmé les révélations des médias américains Aviation Herald, Wall Street Journal et CNN, évoquant, en premier, la détection d’une « épaisse fumée » en cabine au niveau des toilettes et près du cockpit de l’Airbus A320 d’EgyptAir qui s’est abîmé, jeudi dernier, non loin d’une île grecque à 290 km de la côte nord de l’Egypte. Serait-ce suffisant pour accréditer la thèse de l’accident d’origine criminelle ?

    Le Bureau d’enquêtes et d’analyses (BEA), qui a dépêché trois enquêteurs en Egypte, confirme l’émission des messages Acars (Aircraft Communication Addressing and Reporting System) transmis durant le vol et destinés à la maintenance, et reste toutefois circonspect. « Il est beaucoup trop tôt pour interpréter et comprendre les causes de l’accident tant que nous n’avons retrouvé ni l’épave, ni les enregistreurs », a déclaré un porte-parole.

    Le mystère de l’A320, qui a décollé de Paris avec à son bord 66 personnes dont 30 Egyptiens et 15 Français, reste entier. Si les premiers débris de l’appareil ont été découverts à 290 kilomètres au nord d’Alexandrie par les avions et navires déployés par l’armée égyptienne, les causes du crash prêtent à équivoque.

    Le site consacré à l’aviation Avherald a révélé que les messages automatiques Acars indiquent la présence de la fumée dans les toilettes, dans le système avionique, les équipements électroniques, électriques et informatiques qui aident au pilotage de l’avion, puis un défaut du FCU (Flight Control Unit), le panneau de commande du pilote automatique.

    Aucun message de détresse n’a été toutefois transmis, selon des sources proches de l’enquête qui ont réfuté la déclaration du ministre grec de la Défense, Panos Kammenos, mentionnant les virages effectués par l’avion peu avant la disparition du radar de l’avion. Il a affirmé que l’A320, qui se trouvait à une altitude de 37.000 pieds (plus de 11.200 m), « a effectué un virage de 90 degrés à gauche, puis de 360 degrés à droite en chutant de 37.000 à 15.000 pieds ».

    Le syndrome de l’explosion en plein vol d’un avion de touristes russes (224 morts) au Sinaï, le 31 octobre 2015, refait surface. L’ombre de Daech plane sur la catastrophe du MS804 reliant Paris au Caire avec 66 personnes à bord, dont 30 Egyptiens et 15 Français. La bombe, qui avait désintégré instantanément le charter russe, provoquant ce que des experts avaient qualifié de « dépressurisation explosive » en raison de la très haute altitude du vol à ce moment là, environ 11 km, a rendu impossible l’émission d’un message de détresse. Ce qui semble être aussi la particularité de l’Airbus égyptien. Aucun message de détresse n’a été lancé. Et, si Paris, visé par les attentats de janvier et 13 novembre 2015, a encore basculé dans l’horreur ? Le débat est donc relancé sur la thèse de l’attentat, privilégiée par le gouvernement égyptien et la communauté des experts.

    Trois jours après le drame, en l’absence de toute revendication, seule l’analyse des débris de l’avion, des corps et, surtout, des deux enregistreurs de vol, permettra de faire toute la lumière sur les raisons du crash. Les navires de l’armée égyptienne et le patrouilleur français, qui ont été dépêchés sur les lieux, ont entamé la course contre la montre pour retrouver les « boîtes noires » et les victimes.

    L’ambassadeur de France au Caire a rappelé que les balises des enregistreurs ne peuvent émettre que « quatre à cinq semaines » avant un épuisement des batteries. EgyptAir a annoncé la découverte de « débris, quelques effets personnels des passagers, des membres humains, des valises et des sièges de l’avion ». Le voile sera-t-il levé sur le crash du vol MS804 d’EgyptAir ? « Toutes les hypothèses sont examinées et aucune n’est privilégiée », a précisé le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Marc Ayrault, à l’issue d’une rencontre à Paris avec les familles des victimes.

    Larbi Chaabouni

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