Le grand leader de la révolution cubaine et figure du mouvement anti impérialiste mondial Fidel Castro est mort.
Fidel Castro a été pour presque 50 ans une source d’inspiration de tous ceux qui tant en Amérique Latine et dans le monde luttent contre l’exploitation et l’oppression exercée par l’impérialisme nord-américain.
Avocat de profession, issue des classes moyennes cubaines, il a tout laisser tomber, carrière, famille, pour se consacrer d’abord à combattre le dictateur imposé et soutenu par les américains et ensuite devenir le symbole même de la lutte de tout le continent latino-américain pour son indépendance nationale.
En conséquence, son dévouement aux idées d’un développement indépendant du diktat impérialiste l’a transformé en figure à abattre, en une cible de tous sortes d’attaques calomnieux, des tentatives nombreuses d’assassinat, et de la haine de toute la réaction mondiale et des laquais à sa solde.
Contraint par un blocus criminel qui dure depuis plus de 40 ans il a dû se tourner vers l’Union Soviétique pour assurer un développement national de type social dans une île isolée des échanges internationaux. Tous ses efforts ont été destinés à assurer le bien être du peuple cubain et à apporter une aide conséquente à tous les mouvement révolutionnaires latino-américains ou dans d’autres pays qui luttaient pour ces mêmes objectifs.
Lors de la chute de l’URSS, les impérialistes ont pu croire qu’on le verrait céder à la pression énorme que signifiait le fait de tenir haut le drapeau cubain face à la victoire hégémonique imposante de l’impérialisme US.
Mais Fidel était d’une autre trempe que les Gorbatchev et Eltsine. Il a mis en marche, avec le concours du peuple cubain et la solidarité de tous ceux qui luttent partout dans le monde, un plan draconien de sacrifices, non pas pour un désir quelconque de garder le pouvoir, mais pour sauvegarder la dignité et l’honneur du peuple cubain et avec lui des peuples de toute l’Amérique Latine et des nations et peuples opprimés.
La réaction mondiale lui a voué une haine sans merci et elle a fait maintes efforts pour le liquider tant physiquement que politiquement. Mais Fidel était trop encré dans les cœurs de tous les latino-américains qui y ont une lueur de fierté et de dignité, et leurs calomnies glissent sur la conscience anti-impérialiste des peuples du monde.
D’autres pointaient ses erreurs politiques. C’était un révolutionnaire qui avait compris, déjà homme formé l’importance de la théorie marxiste-léniniste. Cette conscience nécessaire tant pour la lutte de la classe ouvrière comme pour celle des peuples opprimés par l’impérialisme. Il a pu commettre quelques erreurs mais tant son intention profonde comme ses efforts étaient dirigés à briser la mainmise impérialiste sur le continent d’abord, et sur le monde, également.
Aujourd’hui, ce géant est tombé terrassé par une longue maladie. L’impérialisme qui a tant des fois essayé de l’assassiner n’a pas eu le dernier mot. Il est mort accompagné non seulement par la douleur des cubains mais celle de tous ceux qui luttent pour un monde meilleur.
Comandante Fidel, hasta la victoria siempre !
Patria o muerte, Venceremos !
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(Texte communiqué par le camarade Viriato)
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Carlos Puebla - Y en eso llego Fidel
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Y en eso llegó Fidel
de Carlos Puebla
Aquí pensaban seguir
ganando el ciento por ciento
con casas de apartamentos
y echar al pueblo a sufrir
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Y seguir de modo cruel
contra el pueblo conspirando
para seguirlo explotando…
y en eso llegó Fidel
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Se acabó la diversión,
llegó el Comandante
y mandó a parar (Bis)
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Aquí pensaban seguir
tragando y tragando tierra
sin sospechar que en la Sierra
se alumbraba el porvenir
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Y seguir de modo cruel
la costumbre del delito
hacer de Cuba un garito…
y en eso llegó Fidel
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Se acabó la diversión,
llegó el Comandante
y mandó a parar (Bis)
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Aquí pensaban seguir
diciendo que los ratreros,
forajidos bandoleros
asolaban al país
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Y seguir de modo cruel
con la infamia por escudo
difamando a los barbudos…
y en eso legó Fidel
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Se acabó la diversión,
llegó el Comandante
y mandó a parar (Bis)
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Aquí pensaban seguir
jugando a la democracia
y el pueblo que en su desgracia
se acabara de morir
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Y seguir de modo cruel
sin cuidarse ni la forma
con el robo como norma…
y en eso llegó Fidel
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Se acabó la diversión,
llegó el Comandante
y mandó a parar (Bis)
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Tomado de AlbumCancionYLetra.com
https://tribunemlreypa.wordpress.com/2016/11/26/y-en-eso-llego-fidel-de-carlos-puebla/
https://tribunemlreypa.wordpress.com/2016/11/26/comandante-fidel-hasta-la-victoria-siempre/
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