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2e GM : les représentants des pays de l’ex-URSS à l’Otan hostiles à toute révision

mardi 3 juin 2014, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 13 mai 2010).

http://fr.rian.ru/world/20100512/18…


La seconde guerre mondiale

BRUXELLES, 12 mai - RIA Novosti 19:26 12/05/2010

Les délégués permanents biélorusse, kazakh, kirghiz, moldave, russe, tadjik, turkmène, ouzbek et ukrainien auprès de l’Otan ont condamné mercredi, dans une déclaration commune, toute tentative de révision des résultats de la Seconde Guerre mondiale.

"Nous estimons inacceptable toute tentative de revoir la portée historique de la victoire dans la Grande Guerre patriotique (1941-1945) et des résultats de la Seconde Guerre mondiale, ainsi que celles de dénaturer les évaluations de l’époque", stipule le document.

"Nous sommes persuadés que l’étude honnête et attentive de l’histoire de la Seconde Guerre mondiale contribue à la réconciliation entre les peuples", lit-on dans la déclaration dont l’ambassadeur russe auprès de l’Alliance Dmitri Rogozine a donné lecture lors d’une réunion du Conseil de partenariat euro-atlantique (CPEA).

Selon les auteurs du document, l’expérience de la consolidation des efforts de la communauté internationale dans les années de la Seconde Guerre mondiale revêt une signification particulière de nos jours quand l’humanité est confrontée à un large spectre de menaces et de défis à la sécurité, compte tenu à des manifestations de plus en plus fréquentes de l’idéologie néonazie, de l’extrémisme et de la xénophobie.

6 Messages de forum

  • 2eGM : le sacrifice soviétique a permis la prospérité de l’Europe (Medvedev)

    http://fr.rian.ru/world/20100507/18…

    MOSCOU, 7 mai - RIA Novosti 13:30 07/05/2010

    L’Europe moderne et prospère n’aurait jamais vu le jour sans l’Armée rouge et sans sacrifice du peuple soviétique lors de la Seconde Guerre mondiale, a déclaré vendredi le président russe Dmitri Medvedev dans une interview accordée au quotidien Izvestia.

    "Sans le rôle de l’Armée rouge, le sacrifice colossal déposé par le peuple soviétique sur l’autel de la guerre, l’Europe aurait été toute autre. Il n’y aurait jamais eu d’Europe moderne, prospère, riche et développée, c’est évident", a indiqué le président russe.

    "Nous devons en être conscients : si l’Union soviétique conjointement à tous les autres pays de la coalition anti-hitleriénne n’avait pas libéré l’Europe, l’Europe aurait été toute autre. Selon toute probabilité, elle serait transformée en un énorme camp de concentration au service d’un seul Etat", a souligné M.Medvedev.

    Evoquant les événements qui ont suivi la Seconde Guerre mondiale, le président a indiqué qu’ils faisaient partie d’une autre part de l’histoire.

    "L’Union soviétique était un Etat très compliqué. Si on parle sans détours, le régime qui a existé à cette époque en URSS n’était autre chose qu’un régime totalitaire. Malheureusement, c’était un régime d’oppression des droits et des libertés fondamentales. Et il ne s’agissait d’opprimer que ses propres citoyens (dont une partie, après avoir gagné la guerre, a été envoyée dans les camps). Les habitants des autres pays socialistes ont eux aussi connu le même phénomène. Il est évident que l’on ne peut pas rayer ces faits de l’histoire", a conclu le président.

  • Victoire 1945 : lutter contre la minimisation du rôle de l’URSS

    http://fr.rian.ru/world/20100330/18…

    MOSCOU, 30 mars - RIA Novosti 13:08 30/03/2010

    La Russie combattra toute tentative de falsifier l’histoire et de minimiser le rôle de l’URSS dans la victoire de 1945, a déclaré le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Alexandre Iakovenko, lors d’une réunion diplomatique et scientifique mardi.

    "Personne n’est en droit ni de minimiser le prix payé par notre pays et notre diplomatie pendant la guerre ni de réduire l’ampleur des crimes nazis, et encore moins de les blanchir ou de les idéaliser", a indiqué le diplomate.

    Selon M.Iakovenko, les tentatives de réécrire l’histoire et de politiser des événements historiques inquiètent sérieusement Moscou.

    "Sur fond de mondialisation et de mise en place d’un système multipolaire, ces approches risquent de générer de nouveaux clivages", a expliqué le diplomate. Selon lui, il est inadmissible de mettre agresseurs et victimes sur le même plan, et de présenter les libérateurs comme des occupants.

    "Ces actes sont amoraux, surtout en prévision du 65e anniversaire de la Victoire (…). Il s’agit d’un défi lancé à la communauté internationale", a-t-il affirmé.

    Selon le diplomate haut placé, le fête de la Victoire de la Seconde Guerre mondiale, qui se tiendra le 9 mai à Moscou, doit renforcer la cohésion des Etats et stimuler la mise au point d’un agenda international positif face aux nouveaux défis.

  • Seconde Guerre mondiale : l’approche de Kiev "inacceptable" (grand rabbin de Russie)

    http://fr.rian.ru/ex_urss/20100126/…


    Le grand rabbin de la Russie Berl Lazar au cours d’un entretien avec Vladimir Poutine

    Moscou, 26 janvier - RIA Novosti 14:57 26/01/2010

    La façon dont les autorités ukrainiennes traitent l’histoire de la Seconde Guerre mondiale est "terrible et inacceptable", a déclaré mardi le grand rabbin de la Russie Berl Lazar au cours d’un entretien avec Vladimir Poutine.

    "Nous autres Juifs, nous n’oublierons jamais ce que l’Armée soviétique a fait pour nous durant la Seconde Guerre mondiale. Il est de notre devoir de le souligner et de raconter ce qui se passait réellement, car malheureusement, ce que nous voyons actuellement en Ukraine, y compris les événements de ces derniers jours, c’est terrible. Pour nous, c’est vraiment inacceptable", a indiqué M.Lazar.

    De son côté, le chef du gouvernement russe a fait savoir qu’il suivait très attentivement tout ce qui se passe dans le monde, "surtout ce qui est lié aux problèmes de la déformation de l’Histoire et de la négation de l’Holocauste".

    "Je voudrais souligner que pour tout ce qui a trait à la commémoration des victimes du nazisme, à la sauvegarde de l’information sur les événements réels et tragiques de la Seconde Guerre mondiale, les organisations juives ont toujours été nos alliés fidèles et continuent de l’être", a conclu M.Poutine.

    Le président ukrainien Viktor Iouchtchenko a décoré vendredi à titre posthume de la plus haute distinction nationale le leader nationaliste controversé Stepan Bandera, que certains historiens accusent de collaboration avec les nazis. Cette démarche a été condamnée par la diplomatie russe.

  • Ukraine : Iouchtchenko glorifie les complices des nazis

    http://fr.rian.ru/ex_urss/20100122/…

    Ukraine : Iouchtchenko glorifie les complices des nazis

    KIEV, 22 janvier - RIA Novosti 15:19 22/01/2010

    Le président ukrainien Viktor Iouchtchenko a annoncé vendredi à Kiev avoir attribué le titre de Héros de l’Ukraine à Stepan Bandera, leader de l’Organisation des nationalistes ukrainiens, rapporte le correspondant de RIA Novosti sur place.

    "J’ai signé le décret sur l’attribution à Stepan Bandera du titre de "Héros de l’Ukraine", a déclaré le président sortant lors d’une réunion solennelle consacrée à la Journée de l’unité nationale.

    M.Iouchtchenko qui a perdu le premier tour de la présidentielle le 17 janvier dernier avait auparavant attribué le titre de Héros d’Ukraine à un autre personnage controversé, Roman Choukhevitch, qui avait lui aussi collaboré avec les nazis.

    Né en 1909 dans la région d’Ivano-Frankivsk (ouest) qui faisait alors partie de l’Autriche-Hongrie, puis de la Pologne et rattachée à l’Ukraine soviétique en 1939, Stepan Bandera dirigea l’Organisation des nationalistes ukrainiens dont l’Armée insurrectionnelle (UPA) est issue en 1942.

    Honnis à l’époque soviétique, les nationalistes ukrainiens ont, selon des historiens ukrainiens modernes, dans un premier temps salué l’arrivée des nazis en 1941, avant de leur déclarer la guerre.

    Le président Iouchtchenko qualifie les nationalistes de combattants pour l’indépendance du pays, une opinion qui est loin de faire l’unanimité en Ukraine.

    Roman Choukhevitch fut commandant ukrainien de la Wehrmacht (bataillon "Nachtigall"), capitaine dans le Schutzmannshaft bataillon 201, puis commandant suprême de l’Armée d’insurrection ukrainienne.

    Moscou accuse régulièrement Kiev de glorifier les criminels de guerre.

  • Ukraine : un monument pour Stepan Bandera, figure nationaliste controversée

    http://fr.rian.ru/world/20080701/11…

    LVIV - RIA Novosti 15:32 01/07/2008

    Un monument dédié à Stepan Bandera, symbole du nationalisme ukrainien qui collabora avec le nazisme, sera prochainement érigé dans la ville de Loutsk (ouest), sur décision du maire de la ville, a appris RIA Novosti auprès du conseil municipal.

    Une guerre des monuments s’est engagée dernièrement en Ukraine, ancienne république soviétique candidate à l’OTAN dont les relations avec Moscou sont tendues.

    Suite à l’inauguration récente à Sébastopol d’une statue de Catherine II, la fondatrice de la ville, une représentation de Petro Sahaïdatchnyi, un chef cosaque ayant organisé une campagne militaire contre Moscou en 1618 au cours des guerres russo-polonaises, est venu orner les rues de la ville.

    Né en 1909, Stepan Bandera a dirigé l’organisation des nationalistes ukrainiens (OUN (B)) et fondé l’armée insurrectionnelle ukrainienne, sa branche armée (UPA).

    L’UPA a salué l’entrée de la Wehrmacht en Ukraine et lutté contre l’armée rouge jusqu’en 1950 dans l’ouest de l’Ukraine. Opposant farouche de la Russie soviétique, Bandera avait organisé une unité ukrainienne au sein de la Wehrmacht pendant la seconde guerre mondiale, la Légion ukrainienne.

  • La Pologne projetait de démembrer l’URSS avant la Seconde Guerre mondiale (SVR)

    http://fr.rian.ru/world/20090901/12…

    MOSCOU - RIA Novosti 20:01 01/09/2009

    MOSCOU, 1er septembre - RIA Novosti. A la veille de la Seconde Guerre mondiale, les dirigeants polonais projetaient de démembrer et d’anéantir l’Union Soviétique, a raconté mardi dans une interview à RIA Novosti le général Lev Sotskov du Service de renseignement extérieur russe (SVR).

    "Il y a parmi les documents déclassifiés ceux de l’Etat-Major général polonais qui témoignent de la présence à l’époque, au sein de cette structure, d’une unité spéciale chargée de travailler avec les minorités nationales sur le territoire de l’URSS", a indiqué le général Sotskov, rédacteur du recueil de documents déclassifiés intitulé "Secrets de la politique polonaise. 1935-1945".

    Selon lui, dans son activité contre l’URSS, l’Etat-Major général polonais s’assignait pour tâches principales de déstabiliser la situation en Ukraine, dans la région de la Volga et au Caucase, ainsi que de démembrer et d’anéantir l’Union Soviétique.

    A l’heure actuelle, les falsifications de l’histoire en Pologne sont érigées en politique d’Etat, a-t-il dit.

    "Les évaluations dénaturant le cours réel des événements émanent du gouvernement polonais. L’objectif principal est d’attribuer la responsabilité du déclenchement de la Seconde Guerre mondiale à l’URSS tout comme à l’Allemagne nazie", a souligné le général Sotskov.

    "Nul doute que la Pologne a sa part de responsabilité dans le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, et c’est la raison pour laquelle on observe à présent une falsification des faits historiques. Ce sont justement les autorités polonaises qui ont catégoriquement rejeté en 1939 la création d’un front antihitlérien", a rappelé l’interlocuteur de l’agence.

    Les documents prouvent que cette position polonaise n’avait rien de spontané, mais s’était formée au fil des années. Lors des visites de Hermann Göring à Varsovie en 1935 et 1937, les parties avaient convenu que la Pologne soutiendrait l’Allemagne qui exigeait la levée des restrictions sur les armements et appuierait l’idée de l’annexion de l’Autriche au Reich allemand (Anschluss), a poursuivi le général du SVR.

    De son côté, l’Allemagne s’est engagée de s’opposer en commun avec la Pologne à la politique de l’Union Soviétique en Europe.

    Et d’ajouter que, même au plus fort de la guerre, quand les services spéciaux des pays alliés considéraient l’Allemagne comme leur cible principale, le Renseignement polonais, obéissant à son "gouvernement londonien", orientait ses efforts sur l’Union Soviétique.

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