VIVE LA RÉVOLUTION
Accueil du site > Comment publier un article > Eschérichia coli - 11 juin 2011 - à Lyon, où se trouve un labo P4, déjà une (...)

Eschérichia coli - 11 juin 2011 - à Lyon, où se trouve un labo P4, déjà une morte le 29 mars

samedi 11 juin 2011, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 11 juin 2011).

Le 2 juin 2011, je posais la question de savoir si la bactérie dite à tort "bactérie du concombre" n’aurait pas été fabriquée en laboratoire par des scientifiques bienveillants. Je posais cette question parce que le centre de cette épidémie est Hambourg en Allemagne. Hambourg où se trouve l’un des très rares laboratoires de type P4, suffisamment sécurisés, paraît-il, pour faire de très dangereuses expériences sur les bactéries et les virus les plus dangereux. Or il se trouve que le seul cas récent connu en France d’un décès dû à une souche mortelle de cette bactérie normalement inoffensive se situe à Décines, juste à côté de Lyon, où se trouve le seul laboratoire P4 de France.

Concombre - 2 juin 2011 - Et si la bactérie Escherichia coli provenait du laboratoire P4 de Hambourg ?

http://mai68.org/spip/spip.php?article2893

Bactérie E.Coli : le décès de la grand-mère pose question

http://www.leprogres.fr/rhone/2011/…

Extrait :

Décines. Danièle Forner est morte, foudroyée par une bactérie Escherichia Coli. Aucun lien pourtant avec la souche qui provoque l’épidémie mortelle en Allemagne actuellement.

A Décines, la famille Forner est toujours sous le choc. Le 29 mars, la maman, Danièle, est morte, foudroyée par « une bactérie multirésistante » avait indiqué le médecin de l’hôpital Edouard-Herriot. Le 22 avril, le compte rendu d’hospitalisation précisait : bactérie Escherichia Coli. Dans la famille, personne n’en avait jamais entendu parler. Et quelques jours plus tard, cette bactérie, fréquente mais discrète, devenait célèbre, à Hambourg, en Allemagne : elle a tué 30 personnes en quelques semaines. « C’est incroyable. On regarde les journaux et tout le monde parle de cette même bactérie qui a tué notre mère », s’étonnent ses enfants.

Danielle avait 65 ans, et une santé un peu fragilisée par le diabète et le surpoids. Mais rien qui puisse annoncer une disparition aussi brutale. Elle s’occupait énormément de son mari, malade d’un cancer du larynx.

« Pendant quelques jours, elle s’est plainte d’être un peu malade : fatigue et diarrhées. Le dimanche 27 mars, elle a appelé notre frère Christophe, complètement affolée. Elle s’était vidée toute la nuit, elle disait qu’elle allait mal, qu’il fallait l’emmener à l’hôpital », racontent ses enfants.

Christophe l’emmène à la Clinique du Grand Large. « Elle transpirait, avait du mal à respirer, elle avait beaucoup, beaucoup de fièvre, presque 41° et commençait à délirer. Elle a pourtant passé deux heures en salle d’attente », regrettent-ils.

Les médecins se rendent compte que la patiente est dans un état très grave et la placent dans un coma artificiel. En fin de journée, dès que son état le permet, elle est transférée à l‘hôpital Edouard-Herriot.

« Dès ce soir-là, on savait qu’elle ne s’en sortirait pas. La bactérie était passée dans le sang, et allait attaquer les organes les uns après les autres », se souviennent-ils.

Lundi, les reins avaient lâché, et Danièle était placée sous dialyse. « Ils nous parlaient d’un choc septique, mais ils ne voyaient pas ce que c’était ». La bactérie Escherichia Coli a été identifiée le mardi matin. Danièle s’est éteinte quelques heures plus tard, le 29 mars à 18 h 40, deux jours avant son 66 e anniversaire.

Abattue par la douleur, la famille regrette de ne pas avoir eu davantage d’informations sur cette maintenant fameuse bactérie Escherichia Coli, qui agissait jusqu’à présent dans la plus grande discrétion. Elle se demande quel est le lien avec l’épidémie allemande, alors que les symptômes leur semblent similaires. Aucun lien pourtant. Le médecin qui l’a soignée est formel : la contamination n’est pas d’origine alimentaire.

Secret médical oblige, l’hôpital Edouard-Herriot donne peu d’informations sur le dossier de Mme Forner. « Aucun point de comparaison possible avec l’épidémie en Allemagne. Ce ne sont pas du tout les mêmes symptômes, et ce n’est pas une transmission alimentaire », a fait savoir le médecin qui l’a soignée.

« L’E.Coli est une bactérie très répandue, et nous en sommes tous porteurs. Elle vit en bonne intelligence avec nous, mais certaines souches peuvent être pathogènes », explique le professeur François Vandenesch, bactériologiste aux Hospices civils.

Cette bactérie entraîne souvent des infections urinaires ou des gastro-entérites, et est très présente dans les maladies nosocomiales. En cas de faiblesse, ces infections peuvent devenir bien plus graves.

Quand une souche pathogène est transmise par voie alimentaire, on l’appelle « la maladie du hamburger », parce qu’il y a eu, avec de la viande bovine peu cuite, plusieurs cas aux Etats-Unis, dont certains mortels. Le plus souvent, ce sont les bovins qui sont porteurs de cette souche pathogène, mais les possibilités de transmission sont multiples. En France, on relève chaque année entre 70 et 100 cas de maladies dues à cette bactérie d’origine alimentaire, dont 3 à 5 % mortels.

On estime par contre à 50 000 le nombre de patients annuels atteints de septicémie sévère en France, dont E.Coli est la cause majeure. Chaque jour, près de 60 personnes décèdent de cette pathologie.


Remarques de do :

J’ai failli ne pas mettre les trois derniers paragraphes de cet article. ils sont censés expliquer d’une façon générale ce qu’est cette bactérie. Mais il y a visiblement des conneries. Par exemple, le dernier paragraphe nous dit :

« On estime par contre à 50 000 le nombre de patients annuels atteints de septicémie sévère en France, dont E.Coli est la cause majeure. Chaque jour, près de 60 personnes décèdent de cette pathologie. »

60 décès par jour dus à Eschérichia coli en France ? ou bien veulent-ils seulement dire "60 décès par jour dus à une septicémie dont la cause majeure est Eschérichia coli", ce qui diminuerait disons de moitié le nombre de décès journaliers dus à Eschérichia coli en France, mais resterait énorme de toute façon ? Et on n’en a jamais entendu parler ! alors qu’il a fallu environ une quinzaine de jours pour atteindre les trente morts en Allemagne et que ça a tenu la une de la presse pendant des jours et des jours ?

Les renseignements de type généraux de cet article concernant Eschérichia coli sont donc sujets à caution. La seule chose qu’il faut en retenir, c’est donc que la seule personne qui a eu récemment en France un problème mortel avec cette bactérie résidait non loin d’un autre laboratoire P4, celui de Lyon.

Hambourg en Allemagne et Lyon en France, les coïncidences s’accumulent. Il est temps de relire cet indispensable article :

Concombre - 2 juin 2011 - Et si la bactérie Escherichia coli provenait du laboratoire P4 de Hambourg ?

http://mai68.org/spip/spip.php?article2893

3 Messages de forum

  • Si la souche d’Éschérichia coli qui a tué à Lyon n’a rien a voir avec celle de l’épidémie de Hambourg, cela signifie peut-être qu’une souche de E. coli a été fabriquée et cultivée au labo P4 de Lyon en totale indépendance d’une autre E. coli inventée au laboratoire p4 de Hambourg.


  • Cela fait maintenant des dixaines d’années que des laboratoires spéciaux fabriquent par manipulation génétique (technologie OGM) des bactéries ou des virus de toutes sortes. Officiellement, aucun de ces microbes ne s’est jamais échappé d’aucun de ces laboratoires. Combien de temps les médias parviendront-ils à nous cacher qu’il y a autant de fuites de microbes dangereux provenant de ces labos que de fuites radioactives sortant des centrales nucléaires ?
  • oui moi aussi je pense perso que c’est les labos toutes les années il y en a une nouvelle épidemie ils nous prennent vraiment pour des ccccccccccccooooooooooooooonnnnnnnnnnnnnsssss serieux
    en plus j habite pas tres loin de cette femme qui est décédé mais on nous dira jamais la verité meme si c’est la même bacterie qu’en allemagne

SPIP | squelette | | Plan du site | Suivre la vie du site RSS 2.0