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Libye - 11 juillet 2011 - Refusons de voter dorénavant et définitivement pour tout député ou parti qui votera la guerre (vidéo 7’12)

mercredi 13 juillet 2011, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 11 juillet 2011).

Manif contre la guerre en Libye à Washington le 9 juillet 2011.

Cliquer sur l’image pour voir la vidéo.

À l’heure où même les prétendus "socialistes" soit-disant "français" s’apprêtent à voter à l’Assemblée Nationale pour le prolongement de la guerre de Libye, le congrès américain a voté contre. Cela montre bien que depuis que le sarkonazi a pris le pouvoir, ce n’est pas une colonie de l’Amérique qu’est devenue la France, mais une colonie d’Israël. Les journalistes qui parfois surnomment Sarkozy l’« Américain » font une erreur d’appréciation. Ils devraient plutôt surnommer Sarkozy l’« Israélien » !

PS ne signifie pas "Parti Socialiste" mais "Parti Sioniste" !

Les guerres de Libye et de Syrie sont bien évidemment des guerres israéliennes. Kadhafi étant l’un des rares chefs d’État à souhaiter le démantellement d’Israël et la Syrie soutenant le Hezbollah, c’est-à-dire le principal mouvement de résistance libanais à l’expansionisme israélien.

Si le parti socialiste vote effectivement pour la guerre contre la Libye, je propose de refuser de participer au second tour des élections présidentielles en 2012 !

Et, d’une façon générale, Refusons de voter dorénavant et définitivement pour tout député ou parti qui votera la guerre.

Il n’y a rien de pire que la guerre.

5 Messages de forum

  • Position du Bureau national du Parti socialiste sur la prolongation de l’intervention militaire en Libye.

    http://www.parti-socialiste.fr/comm…

    En Libye, une situation d’urgence et de menace immédiate pour la sécurité des populations civiles a rendu nécessaire et légitime une intervention militaire sous mandat des Nations Unies. Le régime dictatorial de Mouammar Kadhafi, qui s’était déjà rendu coupable d’une répression sanglante et d’exactions criminelles contre les populations civiles, était sur le point de prendre Benghazi, la seconde ville du pays, et assiégeaient Misrata, la troisième, dont les populations en révolte contre la dictature n’étaient pas en mesure de se protéger elles-mêmes. La responsabilité de la communauté internationale était d’assurer cette protection conformément au droit international.

    Cette intervention se fonde sur un mandat clair : la résolution 1973 du Conseil de Sécurité qui ouvre la possibilité d’utiliser tous les moyens, y compris militaires, pour protéger les populations civiles de Libye. Seule une intervention au sol est exclue.

    En prenant part à cette intervention, la France, membre permanent du Conseil de Sécurité, assume ses responsabilités à l’égard d’une population en danger. L’avenir de la Libye et des pays voisins est un enjeu essentiel pour la Méditerranée comme pour la France. Les socialistes français ont compris et appuyé les révolutions arabes dans leurs aspirations démocratiques. Le gouvernement français, après avoir échoué à accompagner les transitions démocratiques en Egypte et en Tunisie, a aussi pris du retard dans la demande d’une zone d’exclusion aérienne.

    Le 12 juillet, le Parlement sera appelé à se prononcer sur la prolongation de l’intervention militaire française en Libye. Le Parti socialiste juge la poursuite de cet engagement nécessaire à ce stade, dans le cadre du mandat des Nations Unies, mais rappelle qu’au-delà de l’intervention militaire, une feuille de route politique est indispensable pour l’avenir de ce pays et sa transition démocratique

    La France doit dire clairement que l’action militaire ne suffira pas à elle seule à donner à la Libye la paix et à engager ce pays sur la voie des droits de l’Homme et de la démocratie. L’objectif de la communauté internationale doit être la fin de la dictature afin de permettre aux Libyens eux-mêmes de construire la solution politique dont leur pays et leur peuple ont besoin. La France doit rappeler les conditions indispensables au processus de transition démocratique : le départ de M. Kadhafi et la fin de son régime, l’arrêt de toute répression politique, le respect des droits de l’Homme et des libertés, le respect de l’intégrité et de la souveraineté de la Libye ainsi que des droits des différentes composantes de la société libyenne. La France doit jouer un rôle moteur au sein de l’Union européenne, pour l’Europe, en lien avec l’Union africaine, la Ligue arabe et l’ONU, accompagne le peuple libyen sur le chemin de la démocratie par le développement à terme de coopérations civiles.

    Les pays de la région, la Ligue Arabe et l’Union Africaine ont joué un rôle déterminant dans le secours à la population libyenne, notamment en accueillant les réfugiés. Il est nécessaire qu’ils puissent continuer à jouer un rôle dans la phase de transition politique. La Tunisie et l’Egypte doivent être fortement aidées par la communauté internationale au plan politique et humanitaire.

    Enfin, l’UE doit apporter des réponses à cette crise ouverte sur la rive sud de la Méditerranée, dans le cadre d’une politique de voisinage ambitieuse, car le destin de la Libye et de ses voisins est profondément lié à celui des pays d’Europe.

  • tout à fait d’accord avec cette proposition.
    d’ailleurs avant même de lire ce message , ma femme et moi avons écrit
    dans ce sens à la député socialo du Médoc où nous habitons.
    salut et bonne journée
    ps:franchement croyez pas que j’aurai voté pour le ps de toute façon ,je pense même que je vais pas aller voter ,je pense toujours et encore que ’élection piège a con’,ce qui est sur ,c’est que la position du ps ne remonte pas le moral ,ou fait encore perdre des illusions : le ps et sarko va t’en guerres kif kif

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