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Les sanctions occidentales visent à détruire la souveraineté de la Syrie

vendredi 27 janvier 2012

http://fr.rian.ru/world/20120126/193160923.html

MOSCOU, 26 janvier 2012 à 22h29 - RIA Novosti

Le vice-ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Riabkov estime que l’Occident s’efforce de rééditer le scénario libyen en Syrie et d’instaurer des sanctions pour détruire la souveraineté du pays.

"Vu la forme que nos partenaires occidentaux veulent donner à leurs sanctions contre la Syrie, celles-ci porteraient un préjudice injustifiable à la souveraineté du pays", a déclaré jeudi le diplomate à la radio Echo de Moscou.

Selon M. Riabkov, les sanctions proposées par l’Occident contre Damas sont identiques à celles décrétées à l’encontre de Téhéran.

"Nous constatons une tentative évidente de rééditer le scénario libyen, ce qui serait inacceptable pour la Russie", a conclu le vice-ministre.

8 Messages de forum

  • Syrie : importantes manifestations de soutien à el-Assad (TV)

    http://fr.rian.ru/world/20120126/193155498.html

    DAMAS, 26 janvier 2012 à 20h50 - RIA Novosti

    Des manifestations massives de soutien aux réformes du président el-Assad se déroulent actuellement dans plusieurs villes syriennes, annonce jeudi la télévision publique de Syrie.

    Des centaines de milliers de personnes se sont rassemblées dès le matin sur les places centrales de Damas, Alep, Lattaquié, Tartous, Deir ez-Zor et Hassake pour exprimer leur soutien à la politique du président el-Assad. Les manifestants, munis de portraits du leader syrien et des drapeaux nationaux, condamnent la récente décision de la Ligue arabe, la qualifiant de "violation flagrante de l’indépendance et de la souveraineté de la Syrie".

    Lundi 23 janvier, la Ligue arabe a appelé Bachar el-Assad à déléguer ses prérogatives à un vice-président en vue de la formation d’un gouvernement d’union nationale et à organiser dans le pays des élections indépendantes. Damas a catégoriquement rejeté ce plan qualifié d’"ingérence".

    Selon la télévision syrienne, les manifestants protestent contre "une campagne agressive incessante menée par certains pays arabes dans le cadre d’un complot extérieur visant la Syrie". Ils condamnent aussi "des groupes terroristes armés dont les actions menacent la sécurité, la stabilité et l’unité de la Syrie".

  • Syrie : la Turquie et le Liban arment les insurgés, selon Damas

    http://fr.rian.ru/world/20120125/193144902.html

    MOSCOU, 25 janvier 2012 à 17h24 - RIA Novosti

    Les autorités syriennes accusent la Turquie et le Liban de fournir des armes aux insurgés, a annoncé mercredi lors d’une conférence de presse à RIA Novosti l’ambassadeur syrien à Moscou, Riad Haddad.

    "Les armes fournies à ces groupes proviennent de l’étranger (…), du Liban et de Turquie. L’armement se déroule selon un plan préconçu. C’est pour cette raison que notre ministre des Affaires étrangères a parlé hier d’"armée libre" d’une part, et d’autre part de groupes armés qui attaquent nos soldats et les civils", a indiqué l’ambassadeur.

    Depuis dix mois, le régime syrien fait face à une contestation populaire sans précédent. Selon les estimations des Nations unies, la confrontation entre forces gouvernementales et protestataires a déjà fait plus de 5.000 morts. Damas dément ce chiffre et affirme que le pays est en proie à des bandes armées financées depuis l’étranger.

    Les Etats-Unis et d’autres pays occidentaux ont à plusieurs reprises appelé le président syrien à abandonner le pouvoir.

    En novembre dernier, la Russie et la Chine ont utilisé leur droit de veto pour bloquer la résolution proposée par plusieurs pays occidentaux, dont la France, et prévoyant la possibilité de sanctions contre les autorités syriennes. Le 15 décembre, Moscou a présenté un projet de résolution, dont le texte ne prévoit aucune sanction contre le régime syrien.

    Le 23 janvier, Mikhaïl Marguelov, président de la Commission pour les Affaires internationales du Conseil de la Fédération (sénat russe), a déclaré que la Russie avait épuisé tous les moyens possibles pour mettre en garde le président syrien.

  • Syrie : la Turquie contre toute intervention étrangère

    http://fr.rian.ru/world/20111122/192080813.html

    LONDRES, 22 novembre 2012 à 14h56 - RIA Novosti

    La Turquie ne soutiendra pas toute intervention étrangère en Syrie, a déclaré lundi le président turque Abdullah Gül à la radio BBC.

    "Nous nous opposons à toute ingérence extérieure, sauf si la situation en Syrie empire", a déclaré M.Gül se trouvant en visite d’Etat en Grande-Bretagne.

    Selon lui, "le régime de Bachar el-Assad est dans une impasse et cela n’est plus acceptable pour le peuple syrien".

    Le chef de l’Etat turque a toutefois fait remarquer que "la Turquie se défendra si ses intérêts en Syrie se trouvent menacés".

    En même temps, Ankara n’envisage pas d’interrompre la livraison d’énergie électrique en Syrie. "Une coupure électrique ne ferait qu’aggraver la vie du peuple syrien", a-t-il conclu.

  • Syrie : l’opposition ne doit pas boycotter les reformes (Lavrov)

    http://fr.rian.ru/world/20111117/192021858.html

    MOSCOU, 17 novembre 2012 à 21h16 - RIA Novosti

    L’opposition syrienne ne doit pas boycotter la mise en œuvre des reformes dans le pays, a déclaré jeudi le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov lors d’une réunion avec la chef de la diplomatie européenne Catherine Ashton.

    "L’opposition (syrienne - ndlr) ne doit pas boycotter ce processus (de reformes réalisées par les autorités). Tabler uniquement sur l’aide étrangère, c’est absolument irresponsable. Nous l’avons déjà vu en Libye. Malheureusement, ce pays est loin d’être calme. Nous ne voudrions pas que ce scénario se reproduise en Syrie", a indiqué le chef de la diplomatie russe.

    M.Lavrov a également fait remarquer que les autorités syriennes devaient agir activement et prudemment en matière de reformes et d’organisation du dialogue national.

    "Nous ne pouvons pas dire que rien n’a été fait. La législation sur les partis politiques, les élections et les collectivités locales a été renouvelée. Les dates des élections ont été fixées (…). Les reformes ont lieu", a ajouté le ministre.

    Depuis la mi-mars, la Syrie est secouée par un mouvement de contestation du régime en place. Selon l’Onu, la répression de la révolte y aurait déjà fait plus de 3.500 morts. Damas dément se chiffre et affirme que le pays est en proie à des bandes armées financées depuis l’étranger.

    En réaction à la poursuite de la répression malgré l’acceptation par Damas du plan arabe de sortie de crise, la Ligue arabe a suspendu samedi 12 novembre la Syrie de ses instances et a appelé ses pays membres à rappeler leurs ambassadeurs à Damas, menaçant le régime syrien de sanctions politiques et économiques.

  • Syrie : la Ligue doit exiger des deux parties la fin des violences (Moscou)

    http://fr.rian.ru/world/20111117/192011588.html

    MOSCOU, 17 novembre 2011 à 13h48 - RIA Novosti

    La Ligue arabe doit demander non seulement à Damas, mais aussi à l’opposition, d’arrêter les violences dans le pays, a annoncé jeudi le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov.

    "Il est indispensable de mettre fin à la violence en Syrie, quelle que soit sa source. C’est une constatation importante, car (cette violence) ne provient pas uniquement de la part du gouvernement. On y trouve de plus en plus d’armes de contrebande en provenance des pays voisins", a-t-il déclaré.

    Le 12 novembre, la Ligue arabe a suspendu la Syrie de ses rangs pour avoir violé le plan de sortie de crise proposé par la Ligue. Celle-ci a également appelé ses membres à rappeler leurs ambassadeurs de Damas et a menacé le régime syrien de sanctions politiques et économiques.

    Depuis le 15 mars dernier, la Syrie est secouée par un mouvement de contestation du régime en place. Selon l’opposition et les défenseurs des droits de l’Homme, la répression de la révolte populaire en Syrie par les forces de sécurité aurait déjà fait plus de 3.500 morts. Damas dément se chiffre et assure que le pays est en proie à des bandes armées.

  • Syrie : le FPLP hostile à la décision de la Ligue arabe

    http://fr.rian.ru/world/20111116/191995616.html

    GAZA, 16 novembre 2011 à 12h30 - RIA Novosti

    Le Front populaire de libération de la Palestine (FPLP), deuxième plus grand groupe de l’Organisation de libération de la Palestine, a condamné mercredi la décision, qualifiée de "dangereuse", de la Ligue arabe de suspendre la Syrie de ses réunions.

    Selon le FPLP, cette décision de la Ligue arabe pourrait avoir des conséquences négatives pour la Syrie et sa sécurité nationale. Le Front populaire a également mis en garde contre une "internationalisation de la crise syrienne et la possibilité d’une intervention militaire étrangère, notamment otanienne, qui menace l’intégralité du pays".

    La décision de suspendre la Syrie de la Ligue arabe entre en vigueur mercredi 16 novembre. Réunis à Rabat, les ministres des Affaires étrangères des pays membres de la Ligue arabe doivent se prononcer sur ce sujet. Les participants doivent en outre discuter sur l’envoi de 500 observateurs arabes en Syrie.

    Damas a refusé de prendre part à la réunion. Auparavant, la Syrie avait proposé de convoquer une conférence d’urgence des dirigeants de la Ligue, mais les monarchies pétrolières du Golfe persique ont rejeté cette proposition. Celles-ci, et notamment le Qatar et l’Arabie saoudite, gardent une attitude très critique à l’égard du régime syrien.

    L’Algérie, l’Egypte, l’Irak et le Liban adoptent une position plus modérée. Ils sont hostiles à toute intervention étrangère en Syrie et n’envisagent pas de rappeler leurs ambassadeurs de Damas.

  • Syrie : les Frères musulmans acceptent l’idée d’une intervention turque (médias)

    http://fr.rian.ru/world/20111117/192018540.html

    MOSCOU, 17 novembre 2011 à 18h21 - RIA Novosti

    Les Frères musulmans estiment qu’une intervention turque serait préférable à une opération de l’Occident visant protéger les civils de Syrie contre les troupes gouvernementales, rapportent jeudi les médias arabes en référence à Mohammad Riad Shakfa, leader en exil du mouvement.

    "Le peuple syrien acceptera une intervention (en Syrie) venant de Turquie, plutôt que de l’Occident, s’il s’agit de protéger les civils", a déclaré l’opposant.

    Le mouvement syrien Frères musulmans figure parmi les groupes les plus organisés et importants de l’opposition réclamant le départ de l’actuel président du pays Bachar al-Assad. Début octobre, la confrérie a rejoint le Conseil national syrien (CNS), principale instance de l’opposition syrienne dirigée par Burhan Ghalioun.

    Le CNS a récemment demandé à la Turquie qu’elle établisse une zone d’exclusion aérienne le long de sa frontière, côté syrien, pour protéger la population civile de Syrie contre les représailles des forces de l’ordre.

    Depuis la mi-mars, la Syrie est secouée par un mouvement de contestation du régime en place. Selon l’Onu, la répression de la révolte y aurait déjà fait plus de 3.500 morts. Damas dément se chiffre et affirme que le pays est en proie à des bandes armées financées depuis l’étranger.

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