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Massacre des musulmans en Birmanie - Aung San Suu Kyi veut une Birmanie, sans ses Musulmans - articles et vidéos

dimanche 3 septembre 2017

NE DITES PLUS JAMAIS QUE LES BOUDDHISTES SONT NON-VIOLENTS !

De quels droits de l’Homme parlez-vous, Dalaï Lama ?

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Massacre des musulmans birmans - la ville de Shiraz dénonce les crimes !

http://french.irib.ir/info/iran-act…

mercredi, 01 août 2012 10:48

IRIB- Les habitants de Shiraz, chef-lieu de la province de Fars dans le sud iranien, se sont rassemblés mardi après-midi ..

….au saint mausolée du vénéré Ahmad Ben Moussa, le frère de vénéré imam Réza béni soit-il, 8e imam des chiites duodécimains, pour exprimer leur solidarité avec les musulmans opprimés du Myanmar avant de condamner leur massacre par les bouddhistes extrémistes soutenus par le régime de Rangoon. Les manifestants dénonçaient le massacre des musulmans au Myanmar, massacre issu de l’anomosité contre l’Islam. ils ont appelé les instances internationales et des pays du monde islamique à condamner le génocide des musulmans myanmarais. "c’est un devoir religieux que de les défendre ". Des milliers de musulmans myanmarais (birmans) ont été massacrés, blessés, ont disparu ou ont été déplacés par les bouddhistes extrémistes soutenus par les forces du régime de Rangoon. Le régime dictatorial du Myanmar ne reconnait pas les musulmans en tant que citoyens ni êtres humains et ils sont dépourvus de tous droits de citoyenneté au Myanmar.


Rohingya Muslims "persecuted" after Myanmar crackdown - report

http://in.reuters.com/article/2012/…

By Martin Petty

BANGKOK | Wed Aug 1, 2012 9:00am IST

Aug 1 (Reuters) - Myanmar security forces killed, raped or carried out mass arrests of Rohingya Muslims after deadly sectarian riots in the northeast in June, a rights group said on Wednesday, adding the authorities had done little to prevent the initial unrest.

Aid workers were blocked and in some cases arrested, and Rohingyas bore the brunt of a government crackdown in Rakhine state after a week of arson and machete attack by both ethnic Rakhine Buddhists and Rohingyas, New York-based Human Rights Watch said in a report.

Based on 57 interviews with Rakhines and Rohingyas, the report seeks to shed light on a conflict that exposed deep-rooted communal animosity and put the spotlight on promises by the civilian government in office since 2011 to protect human rights after decades of brutal army rule.

"Burmese security forces failed to protect the Arakan (Rakhine) and Rohingya from each other and then unleashed a campaign of violence and mass round-ups against the Rohingya,"� said Brad Adams, Asia director at Human Rights Watch.

"The government claims it is committed to ending ethnic strife and abuse, but recent events in Arakan State demonstrate that state-sponsored persecution and discrimination persist."

Foreign Minister Wunna Maung Lwin said on Monday the authorities had exercised "maximum restraint" in restoring law and order and that the rioting was not fuelled by religious persecution.

He rejected what he said were attempts to "politicise and internationalise the situation as a religious issue", adding that the government was eager to promote "racial harmony among different nationalities".

In veiled criticism of the United States and European Union, which praised the government for its handling of the unrest, Adams said the international community had been "blinded by a romantic narrative of sweeping change" in Myanmar.

The former Burma has a diverse ethnic and religious make-up, but the Rohingya Muslims are not included by the government. There are at least 800,000 Rohingyas in the country but they are not recognised as one of its ethnic groups.

Neighbouring Bangladesh does not accept them and pushed boatloads back out to sea when they tried to flee the unrest.

"RESETTLE THEM"

Myanmar President Thein Sein said in June the government was only responsible for third-generation Rohingyas whose families had arrived before independence in 1948 and that it was impossible to accept those who had "illegally entered" Myanmar.

He recommended that the United Nations refugee agency UNHCR take care of them in camps or resettle them in third countries. UNHCR chief Antonio Guterres replied it could only resettle refugees that fled from one country to another.

The riots followed two brutal incidents in Rakhine state : the May 28 rape and murder of a Rakhine woman by three Rohingya males, who were sentenced to death, and the June 3 lynching in response of 10 non-Rohingya Muslims travelling on a bus.

Human Rights Watch said police and troops did not intervene to stop the mobs from beating the Muslims to death. During the riots that followed, it said some Rohingyas who tried to flee or put out fires at their homes were shot at by paramilitaries.

It called for the government to end abuses, grant full humanitarian access and invite in international monitors. Access to the area remains restricted.

Thein Sein is in a tight spot. Concessions towards the Rohingyas could prove unpopular among the general public, but perceived ill-treatment risks angering Western countries that have eased sanctions in response to human rights reforms.

Minister of Border Affairs Thein Htay says 858 people have been detained for involvement in the violence, including five UNHCR staff and a U.N. World Food Programme employee. It was unclear how many of the total were Rohingya or ethnic Rakhine.

The Foreign Ministry has said 77 people died and 109 were injured during the violence, and nearly 5,000 homes burnt down. (Additional reporting by Aung Hla Tun in Yangon ; Editing by Alan Raybould and Nick Macfie)


Massacres de musulmans en Birmanie 1

Désolé, je ne sais pas ce que la voix raconte.

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Massacres de musulmans en Birmanie 2

Désolé, je ne sais pas ce qui est écrit ni ce que la voix raconte.

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4 Messages de forum

  • "Mme Suu Kyi veut une Birmanie, sans ses Musulmans" !

    http://french.irib.ir/info/asie/ite…

    lundi, 30 juillet 2012 09:27

    IRIB- "Le silence du prix nobel de la paix, longtemps, adimiré, pour sa lutte contre la dictature, face au génocide des Musulmans birmans, est le signe, on ne peut plus évident, du fait qu’elle veut, elle aussi, une Birmanie expurgée de ses Musulmans".

    Abdel Alim Moussa, l’Imam de la prière collective de la mosquée de Washington se dit scandalisé par l’indifférence de Suu Kyi et son parti, face à ce massacre, alors que ce parti vient d’avoir des sièges au parlement et, donc, du droit de cité. "Suu Kyi, pressentie comme la favorite, pour les élections de 2015, a peur que la voix des Musulmans pèse sur les résultats du scrutin et que çà aille dans un sens contraire à ses intérêts. Les Rohingyas, que massacrent, en toute impunité, les boudhistes extérmistes, sont accusés de ne pas être birmans. Or, ces dserniers vivent, depuis le huitième siècle de l’ére chrétienne, au Myanmar .

  • Birmanie : "Human Rights Watch" dénonce les exactions contre les Rohingyas

    http://french.irib.ir/info/asie/ite…

    mercredi, 01 août 2012 10:33

    IRIB- "Le gouvernement [birman] aurait pu arrêter ça" : dans un rapport très critique, publié, mercredi 1er août, l’organisation "Human Rights Watch" (HRW) accuse les forces de sécurité birmanes de "meurtres, viols et arrestations de masses", à l’encontre de la minorité musulmane des Rohingyas, écrit "Le Monde".

    Dans ce document de 56 pages, qui s’appuie sur 57 entretiens avec des témoins de ces exactions, "HRW dénonce, par ailleurs, la passivité du gouvernement birman, depuis le début des émeutes interconfessionnelles entre Bouddhistes et Musulmans, début juin, dans l’Etat de l’Arakhan (Nord-Ouest de la Birmanie). Non seulement, dans les cas les plus extrêmes, les policiers et paramilitaires birmans se sont livrés à des exactions contre les Musulmans, mais ils n’ont, au mieux, "rien fait pour protéger" ces derniers, alors que le "gouvernement limite l’accès des organismes humanitaires à la communauté Rohingya". "Beaucoup sont toujours déplacés et manquent, cruellement, d’aide alimentaire, d’un abri et de soins médicaux". Considérée, par les Nations unies, comme la communauté la "plus persécutée au monde", cette minorité musulmane est, de longue date, dépourvue de tous ses droits : depuis 1982, une loi les a rendus apatrides et ils ne sont pas reconnus, parmi les 130 ethnies répertoriées, en Birmanie.

  • Massacre programmé, en Birmanie !

    http://french.irib.ir/component/k2/…

    mardi, 31 juillet 2012 05:46

    IRIB- C’est un peu trop tard, pour y réagir !

    L’ONU, cette instance, à portée internationale, censée défendre, avant tout, la dignité des hommes, a, enfin, secoué sa torpeur : après plus d’un mois de répression et massacre, sans merci, des Musulmans de l’Ouest du Myanmar, l’ONU y a, enfin, dépêché son représentant. Tomas Ojea Quintana est arrivé, lundi, 30 juillet, à Rangoon, pour s’entretenir avec le Président Thein Sein et visiter l’Etat agité de Rakhine, où les Musulmans sont, sauvagement, réprimés. L’envoyé de l’ONU vient observer, in situ, la situation, au Myanmar, alors que les habitants sans défense de cette zone, à population musulmane, font, depuis plus d’un mois, victimes des atrocités commises par les Bouddhistes extrémistes. A noter que le Haut commissaire de l’ONU aux droits de l’Homme, Navi Pillay, a, récemment, présenté un rapport, dans lequel, il a condamné, vivement, l’intervention des forces de sécurité du Myanmar, dans la répression des Musulmans. Nombreux sont les rapports émis, durant ce mois dernier, par des organisations indépendante, faisant part d’événements terribles, dans l’Ouest du Myanmar : le massacre des Musulmans, la mise à feu de leur maison et leur mise en errance. Il est vrai que l’étincelle des récentes atrocités, dans la zone à population musulmane deuMyanmar a été allumée, avec l’attaque de quelques Bouddhistes contre un bus transportant des Musulmans, sous prétexte du viol d’une fille bouddhiste ; les experts n’excluent pas, pourtant, l’existence de mains cachées derrière cet incident, parlant, également, des positions du gouvernement du Myanmar, dans l’intensification des conflits. Au lieu de suivre les événements et de châtier les auteurs des conflits, le gouvernement a annoncé que les Musulmans ne sont pas des citoyens du Myanmar et qu’ils doivent quitter le pays, attisant, ainsi, le feu des violences des groupes extrémistes contre les Musulmans. Le Président Thein Sein a présenté les 800.000 Musulmans de Rohingya, comme une ethnie étrangère, qui doit être expulsée ou installée, dans les camps des réfugiés. Dans la foulée, le laxisme de l’ONU a suscité les vives critiques des milieux indépendants défenseurs de la paix internationale et des droits des citoyens, l’accusant de s’être transformée en un organe, qui, au lieu de remplir sa principale responsabilité, qui est d’empêcher la survenance des crimes, se contente d’examiner en spectateur passif les affaires et les massacres. L’exemple manifeste en est son intervention tardive, dans le massacre des Musulmans, au Myanmar.

  • En tout cas, c’est plus la peine d’essayer de me faire croire que les bouddhistes sont non-violents !

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