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La crise, c’est l’orgasme du capitalisme - Le mensonge de la crise et l’esclavage par la dette

mercredi 20 janvier 2016, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 30 septembre 2009).

Le capitalisme est un système fait pour enrichir les riches en appauvrissant les pauvres. Pendant la "crise" cet enrichissement des plus riches au détriment de moins riches qu’eux se fait d’un seul coup. La crise, par conséquent, ce n’est pas quand le capitalisme fonctionne mal, c’est au contraire quand il fonctionne au mieux : La crise, c’est l’orgasme du capitalisme !

Tout simplement, il n’y a pas de crise ; Warren Buffett a d’ailleurs fait fortune pendant, c’est-à-dire grâce à, la crise de 2007-2008 aux dépends de capitalistes moins puissants ou moins malins que lui.

La crise est aussi un mensonge du pouvoir pour justifier auprès du prolétariat des baisses de salaires et des suppressions d’avantages acquis, pour lui faire croire qu’il est inutile qu’il fasse grève, qu’il n’obtiendra de toute façon rien de plus, puisqu’il n’y a pas de fric pour financer ce qu’il aimerait bien réclamer.

Il est indispensable de lire tous les commentaires sous cet article.

Publié sur ce site le 30 septembre 2009

DECLARATION COMMUNE DE SEPT PARTIS DE GAUCHE

http://www.fischer02003.over-blog.c…

Déclaration unitaire FASE, GU, Alternatifs, NPA, PCF, PCOF, PG

Les partis et mouvements réunis ce jour, lundi 28 septembre, dans le cadre d’un groupe de travail sur les Régionales ont fait la déclaration suivante :

Dans une situation marquée par une offensive accélérée de la droite et du patronat contre l’ensemble des droits sociaux et des droits démocratiques, nous appelons à soutenir et à contribuer aux mobilisations et aux luttes de façon les plus larges et les plus unitaires possible dans la perspective d’une confrontation politique et sociale avec le pouvoir et le patronat.

L’enjeu est de faire subir, enfin, une défaite à ce pouvoir réactionnaire. Les sujets ne manquent pas : la privatisation de la Poste , la multiplication des plans de licenciements, le travail du dimanche, la précarisation du travail et des conditions de vie, la remise en cause du droit aux études pour tous et toutes, l’augmentation du forfait hospitalier, la mise au pas des libertés publiques, les expulsions massives de travailleurs immigrés. Beaucoup de manifestations, d’initiatives sociales et politiques, se mettent en place en cette rentrée. Nous les soutenons ensemble comme la votation citoyenne contre le changement de statut de la Poste , la manifestation pour le droit des femmes du 17 octobre, les marches pour l’emploi, contre la précarité et les licenciements ou les initiatives en riposte au sommet « climat » de Copenhague.

La crise du capitalisme, économique et écologique, continue ses ravages démentant les discours trompeurs sur la reprise et la moralisation de celui-ci. Les États ont distribué des centaines de milliards d’euros ou de dollars aux responsables de la crise financière. Ils demandent maintenant à la population et au monde du travail de payer cette facture, de payer l’addition pour les banques, de payer à la place des pollueurs. La crise écologique s’accentue, alimentée par la logique productiviste du capitalisme : réchauffement climatique, épuisement des ressources naturelles et des terres cultivables, pollutions. Cette crise conduit à la mise en danger des moyens d’existence de millions d’être humains et menace gravement la biodiversité. Il y a urgence et les belles déclarations des gouvernants ne sont pas suivies d’actes conséquents. Nous voulons rompre avec cette logique toujours plus folle du capitalisme productiviste. Nous voulons une politique qui remette en cause la logique du profit pour satisfaire les besoins élémentaires et durables de la population.

Face à un capitalisme de plus en plus brutal et sauvage et à un gouvernement bien décidé à accélérer le rythme de ses attaques, rien ne doit détourner de la nécessaire construction d’une alternative à logique du système capitaliste et productiviste. Sur cette base, il faut oeuvrer à gagner la majorité des travailleurs et des citoyens aux perspectives ouvertes par une gauche de combat. Voilà nos priorités.

Or, Face à la détermination du pouvoir Sarkozyste, nous assistons au contraire à un nouveau glissement à droite de la gauche d’accompagnement avec la tentative de construction d’une coalition de centre-gauche PS/MODEM/Europe Ecologie et le projet de primaires. C’est à dire d’une gauche qui va toujours plus vers la droite et risque de favoriser ainsi les futures victoires électorales de cette dernière comme le prouve malheureusement la situation italienne.

Dans ce contexte, les forces qui composent la gauche antilibérale et anticapitaliste ont le devoir de tout faire pour battre la droite et offrir une autre voie : un débouché politique qui permette de mettre en oeuvre un programme traduisant dans les régions les exigences populaires issues des mobilisations, un programme régional véritablement alternatif au libéralisme et au productivisme.

Il s’agit, ensemble, non seulement de contrecarrer l’offensive politique de la droite et du libéralisme pour défendre les exigences du monde du travail, encourager les résistances mais plus fortement inverser le rapport de forces dans les urnes et dans les luttes.

A ce stade, nous savons que des approches différentes existent entre nous sur plusieurs points. Ils sont connus et nous n’avons pas cherché à les esquiver au cours de notre rencontre.

Nous ne pouvons préjuger des décisions souveraines de chacun de nos partis.

Mais nous décidons de constituer un cadre politique national de discussion commun en vue de vérifier la possibilité d’aller ensemble aux régionales.

C’est pourquoi les partis et courants politiques réunis ce jour se sont mis d’accord pour une prochaine réunion de notre groupe de travail sur les Régionales le mercredi 7 octobre.. Il aura pour première tache d’élaborer un calendrier qui permettra d’organiser les discussions sur tous les points à régler afin de trouver un accord

C’est un premier pas mais il est important car les enjeux de ces élections sont non seulement régionaux mais nationaux. Ensemble, nous pouvons contribuer à inverser le rapport de force entre la droite, le patronat et les classes populaires dans les luttes et dans les urnes.

Signataires : Fédération pour une alternative sociale et écologique (FASE), Gauche unitaire, Les Alternatifs, Nouveau parti anticapitaliste (NPA), Parti communiste français (PCF), Parti communiste des ouvriers de France (PCOF), Parti de gauche (PG).

Ont également assisté à cette réunion au titre d’observateurs, des délégations du Forum social des quartiers populaires (FSQP) et de Lutte ouvrière (LO).


Note de do : pour comprendre le titre de cette page (le mensonge de la crise et l’esclavage par la dette), vous devez lire les commentaires ci-dessous. J’ai bloqué les forums pour conserver l’unité de cette page. Ceux qui veulent répondre peuvent le faire en créant un nouvel article en cliquant ici

10 Messages de forum

  • La crise est essentiellement un spectacle :

    http://mai68.org/spip/spip.php?article107

    Extrait de ce texte écrit le 21 mars 2009 :

    « Lors des jeux olympiques de Pékin, la Chine est devenue d’une façon visible la première puissance mondiale. Si la crise est essentiellement un spectacle mis en scène par les capitalistes afin de justifier aujourd’hui toutes les saloperies qu’ils nous faisaient déjà avant, mais qu’on commençait à ne plus supporter, elle est aussi le grincement de dents provoqué par le changement de leadership mondial ; les USA ne pouvant faire autrement que passer le relais à la Chine, puisque c’est à elle qu’il faudra rembourser l’essentiel des subprimes américaines, et puisque, ironie du sort, la Chine "communiste" est en train d’acheter le capitalisme US ; par exemple, il y a environ un an, la Chine a racheté 10% de Blackstone, l’un des principaux fonds de pension américain. »

  • La crise, c’est l’orgasme du capitalisme ! :

    http://mai68.org/ag/1458.htm

    Extrait :

    « Le capitalisme est un système fait pour enrichir les riches en appauvrissant les pauvres. Pendant la "crise" cet enrichissement des plus riches au détriment de moins riches qu’eux se fait d’un seul coup. La crise, par conséquent, ce n’est pas quand le capitalisme fonctionne mal, c’est au contraire quand il fonctionne au mieux : La crise, c’est l’orgasme du capitalisme ! »

  • 6 oct 2008 : Le capitalisme va-t-il mourir ?

    Avec l’actuelle "CRISE", certains se demandent si nous ne serions pas en train de voir mourir le capitalisme. Je leur réponds : vous ne rêvez pas un peu ? Pendant que la bourse baisse, les vrais capitalistes jouent à la baisse et s’enrichissent sur le dos des petits cons qui ont voulu pactiser avec le diable, et qui se sont pris pour des capitalistes, et qui ont placé leur fric en bourse, et qui sont en train de se le faire bouffer par les vrais capitalistes dont je parlais au début de la phrase. Croyez-vous vraiment que ce soit ça, la fin du capitalisme ?

    1° octobre 2009 : Depuis le mois de mars 2009, la bourse a augmenté de 50%

    Donc pendant cette période, les spéculateurs (les vrais, pas les crétins amateurs qui se font dépouiller par les vrais !) ont dû jouer à la hausse !

  • LA CRISE EST UN MENSONGE ! 30 septembre 2009 19:30, par do

    Si le capitalisme était vraiment en "crise", les patrons ne pourraient effectivement plus payer, et ce serait totalement inutile de faire grève !

    Les sept partis signataires de cette déclaration, en acceptant de croire et de faire croire que le capitalisme est en crise, justifient sans même s’en rendre compte les baisses de salaires, la hausse du temps de travail etc. C’est-à-dire que si le capitalisme est effectivement en "crise", les patrons ne peuvent plus payer. Et si on croit à ça, ça ne sert à rien de faire grève, car de toute façon il n’y a plus de fric.

    Et bien, cette théorie est fausse !

    En réalité, les capitalistes nous mentent, ils nous font croire à la crise afin de nous faire accepter tout un tas de saloperies dont, sinon, nous ne supporterions même pas d’entendre parler.

    En acceptant de croire et par conséquent de faire croire à la crise, les sept partis signataires font sans même s’en apercevoir le jeu du patronat.

    Il y a environ un an à la télé, à l’époque où il était encore chouchouté par les médias, j’ai vu Besancenot se faire manipuler en direct par les journalistes. Comme Marx avait prévu que le capitalisme allait subir des crises cycliques, l’actuelle crise devait donner du grain à moudre à l’extrême gauche, lui disaient divers journalistes enthousiastes. Le but de ces journaputes était évidemment de faire mousser Olivier en flattant son orgueil de marxiste. Et, au lieu de se méfier du fait que les journaputes soient aussi contents de voir se "vérifier" les théories de Marx, au lieu de se méfier du fait que les journalistes du pouvoir donnent aussi facilement raison aux théories de Marx, cet imbécile de facteur a cru que le piège était ailleurs, il a cru que les journalistes voulaient lui faire dire qu’il était content qu’il y ait la crise tout en oubliant celles et ceux, tout en bas de l’échelle, qui la subissaient. Aussi, Besancenot a-t-il avant tout insisté pour dire qu’il regrettait énormément que des prolétaires soient dans la merde à cause de la crise. Par là-même, il acceptait de croire et de dire qu’il y avait la crise et c’est tout ce que voulait le pouvoir. À la suite d’Olivier Besancenot, tout ce qui est à gauche est tombé dans le même piège tendu dans le but de démobiliser le prolétariat en lui faisant croire que c’était la crise, et qu’il n’y avait plus de fric, et que les salarié-e-s devaient accepter divers sacrifices, que c’était désolant mais qu’il n’y avait pas le choix, et que par conséquent, toute grève était inutile voire nuisible.

    Ensuite, quelques mois avant les élections, mais après avoir suffisament vu Olivier Besancenot à la télé parler de la crise pour que personne dans le pays n’ait plus aucun doute sur la réalité de ladite crise, ce brave facteur a subitement cessé d’être adoré par les journaputes. Il faut dire que les élections s’approchaient et qu’il n’était pas question de lui faire trop de publicité, surtout qu’il avait pris officiellement parti contre Israël et le sionisme, ce en quoi, par contre, je l’approuve totalement. C’est le seul parti à avoir osé prendre cette position durant la campagne électorale.

    Il me reste à rajouter qu’en ce moment, à la télé, on nous fait tout un spectacle pour nous dire qu’il n’y a plus du tout, mais alors vraiment plus du tout de fric. On se demande bien dans quel paradis fiscal, dans quelle banque du style Clearstream, le fric a pu être camouflé ; car, comme je l’ai dit dans un autre commentaire, l’argent ne s’évapore pas ; il passe d’une poche dans une autre et c’est tout !

    La dette publique, l’État la doit forcément à des gens qui avaient suffisamment de fric pour lui en prêter, il la doit donc essentiellement aux riches capitalistes et aux riches banquiers. Ce fric, ils l’ont volé aux travailleurs qu’ils exploitent, il n’y a pas à le rembourser ; il suffit d’annuler la dette, comme on fait pour les pays pauvres, comme Solon l’avait fait en grèce 600 ans avant JC, ce qui avait d’ailleurs supprimé pour un temps l’esclavage dans ce pays.

    NON À LESCLAVAGE PAR LA DETTE !

    • LA CRISE EST UN MENSONGE ! 20 avril 2013 16:21, par Beatrix

      Oû est passé l’argent ?

      La puissante CORPORATOCRATIE mondiale
      Dans les mains des grandes multinationales de toutes nationalités, actuellement dans celles des puissances militaro-indutrielles, de la construction, des denrées alimentaires, des pharmas etc.
      C’est cette corporatocratie qu’on nomme aussi plutocratie ou oligarchie qui dirige nos gouvernements.

      Europe : un NOUVEAU TIERS-MONDE avec une dette éternelle.
      Pour éradiquer la dite crise, il faut refuser les dettes,la déclarer ILLEGITIME ; Se lever tous, en même temps et avec constance, pour dire qu’on ne paiera rien que le FMI nous doit tout, à nous, peuples créateurs de toute richesse. Les banques nous appartiennent tout comme les télécoms, l’eau, les énergies et toutes les autres ressources techniques, technologiques et naturelles.

      Des élus subalternes à la solde des USA et nous les moutons
      Puisque nos élus ne le font pas, à part nous, citoyens travailleurs, chômeurs, vieux, invalides, exclus des écoles et de l’économie, qui d’autres le ferait ?

      Sciences pour une économie qui nous appartient pas.
      La capitalisme est d’abord social-démocrate. Et le socialisme caviar nous emmène directamento à l’impérialisme. Les socialistes-caviar sont les meilleurs conseillers stratégiques et techniques de la grande finance (voire LAMY socialiste pour l’OMC et STRAUSKAHN socialiste et la clônée Lagarde pour le FMI : les principaux serviteurs des affameurs de la planète.


      Des standards d’un certain mode de relations pour démocratie.

      Si on est socialiste en Occident, on est sûrement et démocratiquement impérialistes avec notre vision à l’envers du monde et des phénomènes. La gauche et l’extrême gauche ne sont que de pâles protestataires, néo-bougeois, conformistes et formatés. Mais subsidiairement ou résiduellement ils se révèlent être d’excellents produits vulgarisés en vue de créer et d’alimenter une sociocratie impuissante et durable.

      La société "civile" ou le microcosme politique de la gauche.
      La gauche se dilue dans les société civiles qui sont aujourd’hui les plus grandes prisons à domicile pour les peuples dont les caporaux vivent essentiellement de subventions d’état. On multiplie les sociétés ou associations pour prévenir les émeutes. On redistribue des scories de pouvoir aux fidèles méritant bien endoctrinés et on génère des frustrations qu’on n’a pas encore commencé de décrire ni de désigné leurs sources.
      La principale tâche de la gauche est de squatter les consciences et de justifier son utilité.

  • LA CRISE EST UN MENSONGE ! 30 septembre 2009 19:35, par do

    Le spectacle de la crise a aussi servi à faire élire le beau Bama dans le but redorer le blason de l’impérialisme américain :

    http://mai68.org/ag/1480.htm

    extrait :

    « Et si la "crise" avait eu pour but de détourner du fric afin de financer toutes ces guerres ? C’est d’autant plus envisageable que celui qui a profité le plus de la crise s’appelle Warren Buffet et qu’il a soutenu Obama ! Certains disaient même que la "crise" avait été fabriquée de toute pièce pour favoriser l’élection d’Obama.

  • Le lien entre la "crise" et la guerre est dénoncé ci-dessous :

    http://mai68.org/ag/1466.htm

  • Le spectacle de la crise a aussi servi à faire passer le Oui au référendum sur l’Europe en Irlande. Un Oui à 67% ! Mais je ne sais pas quel a été le taux d’abstention.

    Rappelons qu’il y a environ un an et demi, les Irlandais avaient voté NON à un référendum similaire. Il est possible que beaucoup parmi ceux qui avaient voté NON aient refusé de voter une seconde fois.

    Voir ici mon appel :

    http://mai68.org/spip/spip.php?article308

  • Lire aussi le le post scriptum N°4 ici :

    http://mai68.org/ag/1480.htm

    Et si, en Amérique aussi, les promesses électorales n’étaient là que pour tromper les électeurs. Et si, en fait, contrairement à sa principale promesse électorale, Obama ne retirait jamais les troupes américaines d’Irak, et faisait la guerre aux Arabos-musulmans sur TROIS fronts ! ? Et si la bourgeoisie américaine avait choisi d’élire un Noir dans le SEUL but de changer l’image des USA afin qu’on la laisse tranquillement ouvrir un troisième front en Iran ! ? Après tout, venant du gentil Obama, nous allons tout croire pendant un ou deux ans, n’est-ce pas ? Et il pourra tout faire !

    Et si la "crise" avait eu pour but de détourner du fric afin de financer toutes ces guerres ? C’est d’autant plus envisageable que celui qui a profité le plus de la crise s’appelle Warren Buffet et qu’il a soutenu Obama ! Certains disaient même que la "crise" avait été fabriquée de toute pièce pour favoriser l’élection d’Obama.

    Regardez à tout pris le film « Le sucre » de Georges conchon : Grézillo, le plus gros producteur mondial de sucre, décide de provoquer une "crise" du sucre. Le sucre coule à flot, mais Grézillo décide d’un seul coup qu’il n’y a plus de sucre sur le marché mondial ; il ne livre plus de sucre ; du coup, le prix du sucre augmente terriblement ; ce qui permet à Grézillo de jouer à la hausse tant qu’il n’y a plus de sucre ; puis, finalement, quand il décide qu’il y a à nouveau du sucre, le prix du sucre baisse, mais Grézillo continue à augmenter sa fortune en jouant à la baisse !

    Et si, tout simplement, Warren Buffet, l’homme le plus riche du monde (paraît-il) avait décidé d’un seul coup qu’il n’y avait plus d’argent, c’est-à-dire qu’il n’y avait plus de crédit, afin de créer une crise du crédit, dans le but de faire fortune en jouant tantôt à la hausse tantôt à la baisse, et aussi dans le but de favoriser Obama, puisque la crise économique l’a énormément favorisé et que c’était devinable (et avait été deviné) à l’avance ?

    Si tel est le cas, alors, la crise du crédit est tout aussi artificielle que celle du sucre dans le film ci-dessus cité ; cette "crise" a permit de faire élire Obama, le candidat de la haute bourgeoisie américaine ; cette crise a aussi permit à certains d’amasser une quantité de pognon suffisante pour financer diverses guerres ; et, de plus, cette crise a divers autres avantages comme de faire accepter n’importe quoi aux exploités sous prétexte que "c’est la crise".

  • Le mensonge de la crise et l’esclavage par la dette 29 septembre 2010 12:18, par Visiteur

    La loi Rothschild est la cause de l’endettement de la France :

    http://mai68.org/spip/spip.php?article1245

    Extrait :

    Georges Pompidou a été le directeur général de la banque Rothschild ; il en était le valet, il n’est par conséquent pas étonnant qu’il ait fait cette loi du 3 janvier 1973 qui interdit à l’État français de battre monnaie et qui a endetté la France d’une façon structurelle et incommensurable auprès de banques privées comme la banque Rothschild.

    VOICI COMMENT SUPPRIMER LA DETTE PUBLIQUE :

    http://mai68.org/spip/spip.php?article1048

    (Au minimum, veuillez regardez la seconde vidéo de 4’ sur cette page)

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