11 juin 2013
Un "générique" de diurétique remplacé par un "générique" de somnifère, exactement comme il y a quelque temps le boeuf était remplacé par du cheval ! Étonnant, non ? !
L’État veut nous "soigner" avec des imitations de médicaments plutôt qu’avec les vrais. Ces faux médicaments, il les appelle des "génériques". Il s’agit d’une affaire de gros sous. Ils veulent nous faire faire des économies de sécu, car les riches patrons ne sont jamais assez riches, et ils ne veulent pas payer les soins des pauvres qu’ils exploitent, et ils s’en foutent que les vieux meurent parce qu’ils sont mal soignés ; ça fait des retraites en moins à payer !
Les "génériques" sont fabriqués n’importe comment et dans n’importe quels pays lointains, exactement comme le "minerai" de boeuf (un générique du boeuf) qui s’avère finalement être du cheval. Par conséquent, il ne faut pas s’étonner qu’un faux médicament, le zopiclone, qui est une mauvaise imitation d’un bon somnifère, l’Imovane, se retrouve dans des boites de Furosémide qui est le "générique" d’un vrai médicament, un diurétique nommé LASILIX.
Voici une vidéo concernant entre autre la géographie des circuits de la production lointaine du minerai de boeuf consommé en France :
LE MENSONGE INDUSTRIALISÉ
Isabelle Saporta dénonce à juste titre le capitalisme de la bouffe,
Mais oublie le scandale des OGM dans les plats cuisinés !
Enregistré sur iTele le 9 février 2013 à 18h47
Cliquer sur l’image pour voir la vidéo.
Voici maintenant une vidéo concernant entre autre la géographie des circuits de la production lointaine des médicaments génériques consommés en France. Vous allez voir une étrange ressemblance :
Le générique Furosémide remplacé par du zopiclone, exactement comme il y a quelque temps le boeuf était remplacé par du cheval ! Étonnant, non ? !
Enregistré sur BFM le 11 juin 2013 à 06h30
Cliquer sur l’image pour voir la vidéo.
Bien entendu, à la fin de la vidéo juste ci-dessus, on ne manque pas de nous faire de la propagande comme quoi les médicaments génériques sont encore plus et mieux contrôlés que les vrais médicaments ! ce qui est évidemment faux, sinon ils reviendraient plus cher et perdraient tout leur intérêt.
Il va de soit que tout ce que raconte Isabelle Saporta dans la première vidéo, au sujet de la bouffe, reste valable pour les médicaments génériques ; avec les traders, et tous les intermédiaires lointains, etc. En effet, le but d’un médicament "générique", c’est-à-dire d’une imitation de médicament, d’un faux médicament en somme, c’est évidemment d’être le moins cher possible.
Voici maintenant une autre vidéo dans le style des deux premières, avec les traders, les sous-traitants qui servent de sociétés-écrans… et qui les complète bien :
De la nécessité d’un statut d’« immigré clandestin »,
c’est-à-dire de sous-homme.
Les ateliers clandestins à Paris sont une nécessité économique !
Vidéo extraite de « Florence Larrieu le juge est une femme "L’usine du père Noël" », enregistré sur NRJ12 le 5 janvier 2013 à 20h50. L’histoire se déroule à l’époque du Franc.
Cliquer sur l’image pour voir la vidéo.
Suite à cette vidéo, l’on peut se demander s’il est bien vrai que les comprimés de Furosémide TEVA sont effectivement fabriqués en Hognrie. Ne pourraient-ils pas l’être en effet à paris dans un atelier clandestin ?
Le grand secret des immigrés clandestins enfin révélé (vidéo 9’49) :
Rappel de tous les lots d’un diurétique suspect
http://fr.reuters.com/article/topNews/idFRPAE95903620130610?sp=true
Lundi 10 juin 2013 18h25
PARIS (Reuters) - L’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) a décidé lundi le rappel, par "mesure de précaution", de l’ensemble des lots du diurétique Furosémide Teva 40 mg en raison de deux nouveaux cas suspects qui font suite à un décès à Marseille.
Deux lots, de 95.000 boîtes chacun, de ce médicament générique prescrit pour traiter la rétention d’eau ont été retirés de la vente dès vendredi en raison de la présence dans certaines boîtes de comprimés d’un somnifère, le Zopiclone Teva 7,5 mg, appelé également Imovane.
Une enquête judiciaire a été ouverte à Marseille après la mort suspecte samedi d’un homme de 92 ans chez lequel les policiers ont retrouvé des boîtes entamées de Furosémide provenant de ces lots.
L’ANSM précise dans un communiqué avoir été saisie lundi matin de deux nouveaux signalements - un décès et un cas grave - qui la conduisent "à demander à tous les patients qui détiennent des boîtes de Furosémide Teva 40 mg de les rapporter chez leur pharmacien".
L’agence souligne que ce rappel, "décidé en accord avec la société Teva, est une mesure de précaution". "Ce ne sont pas les caractéristiques du médicament qui sont en cause mais un problème industriel lié au conditionnement", rappelle-t-elle.
Des inspecteurs de l’ANSM se sont rendus lundi dans l’usine de conditionnement des laboratoires Teva, à Sens (Yonne), pour tenter de comprendre les raisons de l’inversion.
À Marseille, le nonagénaire aurait succombé à un œdème pulmonaire, peut-être consécutif à l’arrêt du traitement par Furosémide. Une autopsie devait être pratiquée lundi.
UNE MALVEILLANCE ?
Alerté par le décès de Marseille, un retraité de Compiègne a déposé un dossier auprès des laboratoires Teva, leader mondial des médicaments génériques basé en Israël, à la suite du décès de sa mère de 101 ans, à la mi-mai, qui était traitée au Furosémide, rapporte France 3 Picardie. On ignore s’il s’agit du cas signalé par l’ANSM.
Teva France a fait savoir qu’il se renseignait sur la provenance des comprimés délivrés à la patiente. Les deux lots suspects de Furosémide ont été mis en vente en France début mars et début mai 2013.
Le président de Teva Laboratoires France, Erick Roche, estime que le problème, qualifié d’"exceptionnel" par les autorités médicales, ne concerne que quelques centaines de boîtes. Teva déclare n’exclure aucune piste, car les deux médicaments "ont été conditionnés sur des lignes différentes et à plusieurs semaines d’intervalle".
L’inspection de l’ANSM devrait contribuer à déceler l’origine de l’inversion. "Quatre inspecteurs sont sur place, l’inspection pourrait durer plusieurs jours", a-t-on indiqué à l’agence.
Au nombre des pistes envisagées, un acte de malveillance apparaît "plausible", a déclaré lundi François Chast, chef du service de pharmacie clinique à l’hôpital Cochin-Hôtel Dieu, à Paris.
"Je ne suis pas juge d’instruction, mais on sait que le médicament qui fait dormir et l’antihypertenseur n’ont pas été préparés sur les chaînes de production de Teva d’une manière chronologiquement compatible avec une interversion de lot", a-t-il expliqué sur Europe 1.
Sophie Louet, édité par Yves Clarisse