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Syrie - 25 août 2013 - l’armée découvre des armes chimiques chez les ’rebelles’

samedi 24 août 2013, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 24 août 2013).

Un combat acharné est en cours entre les troupes syriennes régulières et les mercenaires islamistes de Fabius et Hollande dans le quartier de Jobar à Damas où, le samedi 24 août 2013, les troupes gouvernementales on découvert un dépôt d’armes chimiques appartenant aux prétendus "rebelles" soit-disant "syriens". Il s’agit de plusieurs tonneaux contenant des substances toxiques, ainsi qu’un grand nombre de masques à gaz. Les inscriptions tracées sur les tonneaux indiquent qu’ils ont été fabriqués en Arabie saoudite.


Syrie : combat dans le quartier où des armes chimiques auraient été découvertes

http://fr.rian.ru/world/20130824/199101638.html

DAMAS, 24 août 2013 à 17h10 - RIA Novosti

Un combat acharné est en cours entre les troupes syriennes et les rebelles dans le quartier de Jobar, à Damas, où un dépôt d’armes chimiques aurait été découvert samedi par les troupes gouvernementales, a annoncé la télévision officielle du pays.

Selon la télévision, des soldats ont découvert plusieurs tonneaux présumés contenir des substances toxiques, ainsi qu’un grand nombre de masques à gaz. Les inscriptions tracées sur les tonneaux indiquent qu’ils ont été fabriqués en Arabie saoudite.

L’agence de presse SANA affirme pour sa part que les rebelles ont utilisé des substances toxiques contre les militaires de l’armée gouvernementale.

"Les soldats atteints d’asphyxie ont été hospitalisés, certains d’entre eux se trouvent dans un état critique", rapporte SANA.


Syrie : des armes chimiques découvertes chez les rebelles

http://fr.rian.ru/world/20130824/199100976.html

MOSCOU, 24 août 2013 à 14h48 - RIA Novosti

Les autorités syriennes ont annoncé samedi avoir découvert des armes chimiques chez les rebelles, a annoncé l’agence Reuters citant la télévision nationale syrienne.

Le message précise que les troupes gouvernementales ont découvert ces armes dans un tunnel utilisé par les combattants anti-Assad.

Des médias ont rapporté mercredi dernier que les forces gouvernementales syriennes avaient lancé une attaque chimique dans la région de Damas, faisant plus de 600 morts. La Coalition nationale de l’opposition syrienne (CNS) affirme pour sa part que le nombre de morts pourrait atteindre 1.300 personnes.

Les autorités syriennes ont démenti avoir utilisé des armes chimiques.


Syrie/attaque chimique : Moscou soupçonne une provocation

http://fr.rian.ru/world/20130823/199094294.html

MOSCOU, 23 août 2013 à 17h17 - RIA Novosti

Moscou estime que les informations faisant état de la récente utilisation d’armes chimiques en Syrie pourraient constituer une action préméditée et revêtir un caractère provocateur, a déclaré le porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères Alexandre Loukachevitch.

"On voit apparaître de plus en plus de témoignages attestant que cet acte criminel revêt les traits d’une provocation", lit-on dans la déclaration.

"Selon des messages circulant sur Internet, des documents consacrés à cet incident et rejetant la responsabilité sur les troupes gouvernementales ont été mis en ligne quelques heures avant l’attaque présumée", a poursuivi M. Loukachevitch.

"Il s’agit donc d’une action projetée à l’avance", a constaté le diplomate.

Il a vivement critiqué les appels à faire pression sur le Conseil de sécurité de l’ONU pour le contraindre à décider d’un recours à la force contre la Syrie.

"Nous jugeons inadmissibles les appels émanant de certaines capitales européennes à exercer une pression sur le Conseil de sécurité de l’ONU pour l’amener à adopter dès maintenant la décision d’employer la force armée", a conclu le porte-parole de la diplomatie russe.


Syrie:armes chimiques chez les rebelles,ce sont les soldats qui étaient visés

http://www.almanar.com.lb/french/ad…

24-08-2013 - 19:05 Dernière mise à jour 24-08-2013 - 19:41

Les autorités syriennes ont annoncé samedi 24 août 2013 avoir découvert des armes chimiques chez les rebelles.

Selon l’agence d’information Sana, les troupes gouvernementales ont découvert ces armes dans un tunnel utilisé par les miliciens qui combattent le pouvoir syrien, à Jobar, dans la Ghouta Orientale.

En même temps Damas a rendu compte que 50 des militaires gouvernementaux qui ont été asphyxiés aux armes chimiques dans cette même région, lors du lancement d’assaut.

Mardi dernier, Damas avait démenti les accusations proférées par les responsables de l’opposition armée syrienne d’avoir mené une attaque chimique contre des quartiers des deux Ghouta orientale et occidentale de Damas, dans la nuit du 20 à le 21 aout 2013 et qui auraient fait selon des sources de l’insurrection des centaines de tués.

Alors que ces dernières évoquent un chiffre allant de 1300 à 1600 tués, l’Observatoire syrien des droits de l’homme, instance de l’insurrection syrienne siégeant à Londres et accrédité par les agences internationales pour diffuser les informations de la crise syrienne a pour sa part évoqué un chiffre allant de 100 à 170 tués.

Les preuves des Russes

Pour leur part, les Russes détiennent des preuves que les attaques chimiques perpétrées contre les deux Ghouta de Damas sont l’œuvre des miliciens de l’insurrection et non des forces gouvernementales, comme ont tenté de le faire croire les responsables de l’opposition armée syrienne et leurs alliés occidentaux et arabes.

Ces preuves qui comportent des photos et des documents montrant les projectiles tirés à partir des régions contrôlées par les insurgés ont été présentés par le représentant russe aux Nations Unies dans la nuit des 21 à 22 aout derniers, alors que l’Arabie saoudite déployait tous ses efforts en vue d’une réunion extraordinaire des Conseil de sécurité.

A leur vue, les membres du Conseil de Sécurité étaient totalement sidérés et il fut convenu de se contenter d’une réunion ordinaire laquelle s’est clôturée par des recommandations routinières d’effectuer davantage d’investigation.

Force est de constater par la suite que la campagne diplomatique et médiatique menée par les occidentaux et les monarchies arabes n’a pas tardé à flétrir.

Photos satellitaires à l’appui

Le correspondant du journal libanais As-Safir en France, Mohammad Balloute avait lui aussi rapporté dans un article datant du 23 aout, citant des sources arabes que les délégations américaines et occidentales ont reçu des documents russes convaincants sur l’implication des rebelles dans ces attaques.

Elle comprenaient entre autre des photographies satellitaires de deux missiles ayant été lancés la Ghouta orientale, et plus particulièrement de la localité de Douma , fief de la milice Liwa Al-Islam (Brigade de l’Islam), forte de 25 milles éléments commandés par Zahrane Allouche.

L’ambassadeur syrien aux Nations Unies, Bachar al-Jaafari et qui venait de venir de Damas avait lui aussi présenté les documents qui confirment la version russe.

Selon les Russes, ces projectiles sont des missiles chimiques de fabrication locale Le premier serait tombé à Jobar, à proximité de la vieille cité, et le second dans une région située entre Zmelka et Arbine.

Les missiles ratent leur cible

A cet égard, le site Syria Truth a véhiculé une analyse différente des réelles victimes ciblées par cette attaque. Citant des sources française et britannique concordantes, sans préciser lesquelles, le site affirme que ceux qui étaient initialement visés par l’attaque chimique étaient les soldats gouvernementaux qui s’étaient mobilisés à la place des Abbassides, à l’Est de Damas, et dans ses périphéries.

En préparation à la bataille de libération de la Ghouta Orientale, et avant de l’investir par ses chars et ses soldats, l’armée syrienne avait entamé le bombardement à l’artillerie des régions limitrophes des zones de rassemblement de ses militaires. ces faits sont également rapportés par As-safir.

13 milices insurgées qui s’étaient rassemblées sous la nomination du "Front de conquête de la capitale" y étaient stationnées. Étrangement, ces groupuscules ainsi que leurs snipers disséminés dans les bâtiments de cette région se sont rapidement retirés.

C’est à ce moment-là qu’a eu lieu l’attaque chimique, c’est à dire vers 1h30 (heure locale) et non à 3 heures, comme l’avance la Commission générale de la révolution syrienne.

Selon Syria truth, les missiles ont raté leur cible et au lieu de s’abattre sur la place des Abbasides, ils sont tombés sur les régions situées entre Zmelka, Arbine, et Jobar.

Les 50 soldats blessés

Or, il semble qu’à Maadamiyya, la Ghouta occidentale, deuxième zone où il a été question d’attaque chimique, le plan a réussi.

Selon Syria Truth, une cinquantaine de soldats réguliers y ont été contaminés au gaz chimique le 21 aout dernier. Appartenant à la force des Gardes Républicains et de la quatrième brigade et se préparant à l’assaut de la localité, ils ont été pris de court par une attaque chimique.

Blessés, ils ont été emmenés à bord de 39 ambulances, assure le site, citant des témoins oculaires du quartier limitrophe Soumariyya. Ce qui laisse croire le site que leur nombre va delà des 50 soldats, si ce n’est plus, sachant que chaque véhicule peut transporter deux secourus. Le site assure que les autorités syriennes évitent de révéler leur cas pour ne pas entamer le moral de ses soldats.

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