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CRIF ET CGT - les militants se rebiffent !

dimanche 9 février 2014, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 9 février 2014).

Les militants de la CGT sont nombreux à ne pas avoir apprécié la conduite de Thierry Lepaon vis à vis du CRIF et tiennent à le faire savoir.s relations

CRIF ET CGT : les militants se rebiffent !

http://www.europalestine.com/spip.php?article9033

Vendredi 7 février 2014

COMMUNIQUÉ DU SYNDICAT CGT ENERGIE PARIS EDF-GDF

MOTION À L’ATTENTION DE THIERRY LEPAON

" Le syndicat CGT Energie Paris tenait à te faire part de son indignation concernant la rencontre que tu as eue le 28 janvier 2014 avec le CRIF. Nous tenions à te rappeler que cette organisation a parmi ses objectifs de soutenir l’Etat d’Israël et que depuis des années, elle a toujours soutenu toutes les agressions militaires Israéliennes contre le peuple Palestinien.

Cette organisation pro-sioniste légitime depuis des années la colonisation et tous les crimes de guerre commis par Israël en Palestine, et assimile tous les militant(e)s qui dénoncent la politique israélienne à des antisémites.

De quel droit Thierry, parles-tu au nom de la CGT à cette organisation ? Qui t’a donné mandat de légitimer le CRIF alors que tant de militant(e)s de la CGT s’engagent partout en France pour les droits des Palestiniens à jouir d’un état souverain ?

La CGT se doit au regard de ses valeurs, d’être aux côtés de tous les peuples opprimés et donc du peuple Palestinien qui subit la colonisation, comme elle l’a été dans le passé au côté du peuple Algérien luttant pour son indépendance et au côté du peuple sud africain luttant contre l’apartheid.

A l’heure où la CGT intensifie sa campagne de lutte contre le front national et les dangers qu’il représente pour la république et la démocratie, ce que nous soutenons totalement, comment peux tu serrer la main au nom de la CGT au président actuel du Crif Roger Cukierman, qui déclarait le 22 avril 2002 au soir du premier tour des élections présidentielles « qu’il espérait que la victoire de Le Pen servirait à réduire l’antisémitisme musulman et le comportement anti-israélien, parce que son score est un message aux musulmans leur indiquant de se tenir tranquilles." ?

Non vraiment Thierry, nous ne pouvons que dénoncer cette posture indigne d’un dirigeant de la CGT.

Si ton ambition était de rencontrer des représentants de la communauté juive et je te cite "d’évoquer les questions d’actualité et notamment la question de la montée de l’extrême droite et notre inquiétude commune face aux relents d’antisémitisme, d’islamophobie et plus globalement de racisme dans notre pays.", nous t’indiquons le nom d’associations juives progressistes beaucoup plus crédibles pour évoquer ces sujets telles l’UJFP (Union Juive Française pour la Paix) ou l’UAVJ (Une Autre Voix Juive) ou l’UJRE (Union des Juifs pour la Résistance et l’Entraide) qui dénoncent toutes les trois la colonisation israélienne en Palestine et qui oeuvrent réellement pour la paix entre les 2 peuples.

Pour conclure, en cette même période de janvier 2014, notre syndicat, comme beaucoup de militants CGT, aurait voulu te voir répondre favorablement à l’invitation des Goodyear le 17 et non à celle du CRIF le 28.

Salutations fraternelles.

Motion votée à l’unanimité des 23 présents lors de notre CE du 4 février 2014"

SYNDICAT CGT ENERGIE PARIS EDF-GDF

87 rue Damrémont - 75018 PARIS

http://www.cgt-energie-paris.com

COMMUNIQUÉ du syndicat UFICT des territoriaux de Bobigny

« Le bureau du syndicat UFICT des territoriaux de Bobigny, à l’unanimité, désavoue la visite de Thierry Lepaon au CRIF et soutient les militants BDS. »

Jean-Jacques Pavelek

Hôtel de Ville. BP 80004. 93001 Bobigny cedex

Appel à soutenir l’action de solidarité avec la Palestine initié par le Collectif BDS/CGT.

"Il importe après la rencontre officielle de Thierry Le Paon avec la présidence du CRIF, dont la presse s’est fait largement l’écho, de témoigner notre engagement aux côtés de ces militants de la CGT. Certains d’entre eux risquent d’être condamnés devant les tribunaux au nom de la directive Alliot-Marie, sanctionnant les appels au boycott d’Israël..

Vous pouvez envoyer votre signature et celles d’autres militants de la CGT à mon adresse email : jean.pierre.page@gmail.com ou à celle des responsables du collectif qui figure dans le dossier ! Il est souhaitable de faire figurer les responsabilités syndicales présentes ou anciennes, ou l’appartenance à tel ou tel syndicat CGT.

Persuadé que vous saurez répondre à cet Appel que je vous invite à faire circuler autour de vous, recevez mes salutations fraternelles"

Jean-Pierre Page

ancien responsable du département international de la CGT et membre de la Commission Exécutive Confédérale de la CGT

Adresse aux camarades de la direction confédérale de la CGT

La Palestine est l’un des derniers pays colonisés, avec des spoliations, des injustices et des discriminations de grande ampleur à l’encontre des palestiniens depuis plus de 60 ans au mépris de la justice et du droit international (ONU, Cour Internationale de Justice, Cour Pénale Internationale, …). Ceci entretient un foyer de guerre au Moyen‐Orient et de tensions dans le monde.

Les gouvernements européens ont encore encouragé récemment cette politique avec l’approfondissement des accords commerciaux UE‐Israël (protocole ACAA voté le 23 octobre 2012).

Depuis 2012, la situation en Palestine n’a pas fondamentalement évolué, comme l’a encore prouvé fin 2012‐début 2013 la réponse des dirigeants israéliens au vote très largement majoritaire de l’ONU avec la fuite en avant dans la colonisation de la Cisjordanie et de Jérusalem‐Est, la répression des Palestiniens, et d’inacceptables mesures de rétorsion financière. Ces mesures s’ajoutent au maintien du blocus de Gaza, de l’enfermement de près de 5000 prisonniers politiques, et au refus d’appliquer les résolutions de l’ONU sur le droit au retour de millions de réfugiés, alors que 20 ans se sont écoulés depuis les accords d’Oslo qui devaient apporter la paix en 5 ans ! Une des formes non violentes de solidarité qui s’est développée est le mouvement « Boycott, Désinvestissements, Sanctions » (BDS) à l’appel de 172 organisations de la société civile palestinienne (depuis 2005) que plusieurs organisations syndicales soutiennent en France (notamment SUD et FSU), en Europe et dans le monde (en particulier la COSATU), dont les militants pacifistes israéliens ainsi que les militants juifs antisionistes, par exemple ceux de l’UJFP.

Voici leur appel :

« Nous, représentants de la Société Civile Palestinienne, invitons les organisations des sociétés civiles internationales et les gens de conscience du monde entier à imposer de larges boycotts et à mettre en application des initiatives de retrait d’investissement contre Israël tels que ceux appliqués à l’Afrique du Sud à l’époque de l’Apartheid.

Nous faisons appel à vous pour faire pression sur vos Etats respectifs afin qu’ils appliquent des embargos et des sanctions contre Israël.

Nous invitons également les Israéliens honnêtes à soutenir cet appel, dans l’intérêt de la justice et d’une véritable paix.

Ces mesures punitives non‐violentes devraient être maintenues jusqu’à ce qu’Israël honore son obligation de reconnaître le droit inaliénable des Palestiniens à l’autodétermination et respecte entièrement les préceptes du droit international en :

1. Mettant fin à son occupation et à sa colonisation de toutes les terres arabes et en démantelant le Mur, 2. Reconnaissant les droits fondamentaux des citoyens arabo‐palestiniens d’Israël à une égalité absolue, et 3. Respectant, protégeant et favorisant les droits des réfugiés palestiniens à revenir dans leurs maisons et propriétés, comme stipulé dans la résolution 194 de l’ONU.

Par son caractère original, massif, international, pacifiste et unitaire le mouvement BDS s’inspire du mouvement de boycott de l’Afrique du Sud de l’apartheid. »

En son temps l’Afrique du Sud a connu un gouvernement qui, comme Israël aujourd’hui, pratiquait l’apartheid pour une partie de sa population. Les luttes de son peuple, la pression internationale, les campagnes de boycott en sont venues à bout.

La campagne BDS, tournée non contre les peuples de la région mais contre les dirigeants, peut s’avérer comme un élément décisif. Empêcher ces autorités de faire des affaires avec le reste du monde et en particulier les Etats Unis et l’UE qui sont ses principaux partenaires est un enjeu politique de première importance.

Le mouvement BDS, pour faire pression sur Israël se renforce et s’accélère depuis les massacres de Gaza début 2009 (cette montée en puissance de BDS expliquant probablement les attaques en justice et autres actions de répression dont sont victimes des militants français ces derniers mois à la demande notamment des autorités israéliennes) et depuis les assassinats de militants internationaux de la flottille internationale pour lever le blocus de Gaza, début juin 2010.

Le Tribunal Russell pour la Palestine a conclu fin 2011 « qu’Israël soumet le peuple palestinien à un régime institutionnalisé de domination considéré comme apartheid en vertu du droit international ». Sur cette base, le Tribunal Russell exhorte « la société civile mondiale à reproduire l’esprit de solidarité qui a contribué à mettre fin à l’apartheid en Afrique du Sud, notamment en conscientisant les parlements nationaux par rapport aux conclusions de ce Tribunal et en soutenant la campagne de Boycott, de Désinvestissement et de Sanctions (BDS) ». Ces conclusions ont été soutenues, notamment par le conseil national de la FSU, et par la CGT‐INRA, début 2012.

La CGT confédérale a défini le 25 mai 2010 sa position sur les produits palestiniens, qui appelle notamment à l’obligation de transparence sur l’origine des produits, et au respect de la légalité internationale, comme par exemple dans l’affaire Brita/Soda‐Club.

La CGT a récemment initié un appel commun (1er mars 2013, voir « Activités Internationales CGT » de mars 2013, page 3) avec trois autres syndicats européens (CGIL, TUC, ITUC) qui réclame : ‐ l’interdiction d’entrée des produits des colonies dans chacun des pays européens. ‐la non admissibilité des entreprises produisant dans les colonies à tous les protocoles et programmes de coopération européens. ‐l’application des principes directeurs de l’OCDE et de l’ONU (Pacte mondial) en matière de responsabilité sociale des entreprises, de gouvernance et de droits de l’Homme aux sociétés européennes. ‐la suspension de l’accord d’association UE‐Israël tant que les conditions d’application ne sont pas réunies.

Ceci permettra sans aucun doute une contribution significative au mouvement de solidarité, qui ne peut que renforcer la solidarité internationale dont notre syndicat est partie prenante. On peut toutefois regretter que cet appel général à l’interdiction des produits des colonies ne se soit pas accompagné à ce jour d’un appel aux militants CGT à boycotter ces produits, ni d’un soutien explicite au mouvement citoyen BDS.

Par ailleurs, des militantEs et organisations de la CGT sont membres de collectifs BDS et participent à leurs actions. Certains d’entre eux sont même inculpés de façon scandaleuse pour leur participation à ces actions (par exemple, deux militantEs CGT parmi les 3 inculpéEs de Perpignan). Des échanges de lettres ouvertes entre le mouvement BDS et la CGT confédérale (suite à sa prise de position du 25 mai 2010), ont lancé un débat de fond sur les rapports entre les luttes des peuples colonisés, les Etats oppresseurs et leurs populations, et les mouvements de solidarité internationale (associations, partis politiques et syndicats).

Simultanément, une offensive politico‐idéologique contre le boycott a été lancée par les organisations et les médias qui soutiennent l’Etat colonial d’Israel.

Nous, militantEs CGT de différentes régions et branches professionnelles, signataires de cette lettre, sommes fortement concernéEs par la solidarité avec le peuple palestinien et nous souhaitons alimenter le débat sur la meilleure manière syndicale d’aider à la reconnaissance des droits des peuples de la région.

En France la fédération CGT de l’agro‐alimentaire et la CGT‐INRA se sont inscrites dans ce mouvement tout comme la fédération française CGT des ports et docks qui a participé en juin 2010 à l’action internationale de refus de chargement ou déchargement des bateaux israéliens.

Si les travailleurs du monde disent avec force : plus aucune collaboration avec cet Etat tant que les droits de l’Homme et le droit international ne seront pas respectés ! cela peut être très efficace. La France, 8ème partenaire économique d’Israël peut prendre un poids d’importance dans cette campagne pour le respect du droit.

Le pouvoir sioniste l’a bien compris qui s’appuie sur ses relais locaux pour poursuivre systématiquement pour antisémitisme celles et ceux qui soutiennent le boycott, le plus célèbre d’entre eux étant sans doute Stéphane Hessel !

N’en doutons pas, la campagne BDS en est d’ores et déjà un élément incontournable. Nombre de syndicats anglo‐saxons adhérents de la CSI, et la FSM ont rejoint la campagne BDS ; la COSATU en est l’un des grands partenaires et aujourd’hui la question se pose pour notre syndicat ! La CGT peut‐elle prendre toute sa place dans cette campagne ? N’est‐il pas temps d’ouvrir le débat en interne quant à notre position face à l’occupation, la colonisation et l’apartheid comme le dit le Tribunal Russell !

Pour contribuer à ce débat, la CGT pourrait organiser une tournée en France de syndicalistes Palestiniens et Sud‐Africains, sur la question de l’apartheid, tout en se désolidarisant de la Histadrut, le principal syndicat israélien qui est complice de la politique d’apartheid de son gouvernement. Adresse rédigée le 12 avril 2012 et actualisée le 20 septembre 2013

Pour contacter ce collectif de signataires, ou pour signature de cette adresse par des militants CGT, envoyer un courriel à cgt.collectifbds@yahoo.fr 92 Premiers signataires :

Syndiqués CGT :

ANSALDI Henry, Marseille, 13, CGT FAPT, membre du bureau CGT Telecoms 13.

AUBINAIS Didier, Paimboeuf, 44, FAPT, Délégué Syndical.

AUDRAIN Eric, Lannion, 22, CGT FAPT 22, retraité.

BALTZER Patrick, Ostwald, 67, CGT Bas Rhin, Renseignements 118712 France Telecom

BASARSLAN Yücel, Colmar, 68, membre bureau UL CGT Colmar.

BESSELIEVRE Maxime, La Courneuve, 93, CGT Educ’action, membre du bureau 93 et de la CE nationale.

BEURIER Michel, St Eloy Les Mines, 63, CGT mines énergie, retraité, membre du bureau USR 63.

BEUZIT Joëlle, Clermont‐Ferrand, 63, CGT des juridictions financières, membre du comité technique.

BICHON Roger, Clermont‐Ferrand, 63, CGT métallurgie.

BOLLE‐REDDAT Matthieu, Versailles, 78, secrétaire général, syndicat CGT des cheminots de Versailles

BOUCHER Jean, Vinca, 66, secrétaire général de l’Union locale CGT du Conflent.

BOULIL Saliha, Thiers, 63, CGT Commerce, déléguée syndicale et membre CE UD 63

BRACHET Chantal, Montpellier, 34, CGT‐INRA, membre du BN.

BRACHET Patrick, Clermont‐Ferrand, 63, CGT‐INRA.

CHAISE J‐Pierre, Clermont‐Ferrand, 63, CGT‐INRA, retraité.

CHARMOILLAUX Julie, Clermont‐Ferrand, 63, SNSD (CGT‐Culture), déléguée syndicale, secrétaire de section.

CHILLIARD Yves, Clermont‐Ferrand, 63, CGT‐INRA, membre de la CE, secrétaire de section.

CHOLET Bernard, Toulouse, 31, CGT cheminots retraités.

CONTREPOIS Michel, Vicq, 03, FERC‐CGT, retraité INRA.

DAVI Hendrik, Avignon, 84, CGT‐INRA, membre de la CE.

DELAUNAY Sabine, Paris, 75, FERC, membre du BN de la CGT‐INRA.

DELAVEAU Nicole, Langon, 33, membre du Bureau de l’UL CGT du Sud-Gironde

DENIS Isabelle, Jouy‐en‐Josas, 78, CGT‐INRA, membre de la CE.

DEPRE Roger, Perpignan, 66, membre du bureau de l’UD‐CGT 66.

DIFFERT Pierre, Rennes , 35, Synd. Retraités Organismes Sociaux (SROS35 ;CGT ), secrétaire adj., membre CE‐UFROS. DIMAN J‐Louis, Guadeloupe, 97, secrétaire général de la section CGTG‐INRA.

DIMNET Gilles, Strasbourg, 67, Services Publics, CGT Communauté Urbaine de Strasbourg.

DIOU Florian, Vichy, 03, CGT Territoriaux Vichy.

DUPRE Olivier, Lille, 59, Fédération CGT de l’équipement.

DURAND Jean‐Louis, Lusignan, 86, CGT‐INRA, membre de la CE.

FARGHEOT Fabrice, Clermont‐Ferrand, 63, Secrétaire CGT Valeo Issoire, Secrétaire USTM CGT 63.

FAURE Christine, Clermont‐Ferrand, 63, CGT FAPT 63, secrétaire départementale adjointe.

FERNANDEZ Julia, Chatou, 78, CGT Métallurgie Thales, élue DP et CHSCT.

FIORANI Régine, Marseille, 13, CGT FAPT13, membre du BE Télécom13, BN de l’UFC‐FAPT.

FLEURET Aurore, Châteauroux, 36, secrétaire syndicat CGT territoriaux‐Féd. services publics, membre CE UD‐36 FONT Stéphanie, Perpignan, 66, membre du bureau du CPAM‐CGT66.

FRITEL Bruno, Nantes, 44, CGT Pénitentiaire

GABRELLE Mireille, Lille, 59, CGT Educ’Action Nord, membre de la CE.

GATTULLI Michel, Perpignan, 66, CGT cheminots, membre CE CGT cheminots et UD 66.

GENDROT Gyslaine, Lyon, 69, CGT‐INRA, membre du BN.

GENEIX Christian, Perpignan, 66, UGFS‐CGT, membre du BE UD‐66, responsable DLAJ‐66.

GOUJON Pascal, Nantes, 44, CGT du Conseil Général de Loire‐Atlantique, secrétaire général.

GUILLAUMIN Michel, Cahors, 46, Comité National CGT des Privés d’Emploi et Précaires, membre du Bureau et du Conseil national.

HACENE Otsmane, Marseille, 13, CGT FAPT, Délégué Syndical, membre CE FAPT13 et BE des télécoms.

HARSTER Alain, Strasbourg, 67, secrétaire syndicat CGT‐DIRECCTE Alsace.

HOAREAU Charles, Marseille, 13, CGT Entreprises de propreté, membre du BE UD‐13.

HUCK Freddy, Montreuil, 93, militant syndical de la FNAF‐CGT

IRIARTE ARRIOLA J‐Christophe, Amiens, 80, Union Syndicats Personnels Animation et Organisations sociales sportives et Culturelles , USPAOC‐CGT 80.

JACQUES Alain, Bagneux, 92, Métallurgie‐CGT Thales, ancien permanent, retraité.

JACQUET Patricia, Lyon, 69, CGT‐Juridictions financières.

JACQUOT Clément, Clermont‐Ferrand, 63, SAMA‐CGT Spectacle, membre de la CE UD‐CGT 63.

JAMERON Michel, Nantes, 44, membre de la CE de l’UD‐CGT 44.

JOINEAU Pascal, Châteauroux, 36, CGT Cheminots, secrétaire du syndicat des cheminots de l’Indre .

JOUANNEAU Felix, Rennes, 35, SROS‐35‐CGT, membre du conseil syndical.

JOUANNEAU Maryvonne, Rennes, 35, SROS‐35‐CGT, trésorière.

KARAS Frédéric, Strasbourg, 67, CGT FAPT67, membre du secrétariat départemental et de la CE.

KAUFMANN Carola, Clermont‐Ferrand, 63, Institut d’histoire sociale CGT 63, et CGT Finances publiques.

KONIECZNY François, Le Puy, 43, CGT agroalimentaire, élu Ch. Agriculture 43 collège salariés prod. agricole (3A)

LAMAUD Eric, Villenave d’Ornon, 33, FERC CGT‐INRA, membre de la CE.

LAMURE Simon, Clermont‐Ferrand, 63, CGT‐multipro‐chômeurs‐précaires

LEBAS Pierrot, Le Havre, 76, membre du bureau de l’UL CGT

LECHAT Noël, Sevran, 93, secrétaire général de la fédération des sociétés d’études CGT.

LECOQ Catherine, Marseille, 13, Fédé Spectacle et Audiovisuel, resp. du collectif mixité CGT, membre CE UD 13

LUCARD Josette, Aubière, 63, retraitée éducation, membre du bureau de l’USR 63.

LUNEL Bethsabée, Annecy, 74, membre CE du syndicat CGT de l’Université de Savoie, et du BN de FERC Sup.

MAGNAUDET Julien, Clermont‐Ferrand, 63, CGT‐INRA Clermont, trésorier adjoint

MENARD Jean‐Pierre, Nantes, 44, CGT retraités.

METRAL‐BOFFOD Philippe, Annecy, 74, CGT‐Fapt.

MILLET Jacques, Bouville, 76, BN SNTRS‐CGT, CFC FERC‐CGT, CE UGFF‐CGT, CE UD76‐CGT, CE UL Rouen CGT.

MOUCHONNIER Pascal, Riom, 63, Union locale CGT de Riom, secrétaire.

MOUSSET Claire, Quetigny, 21, FERC‐CGT , membre BN CGT‐INRA et CEF FERC et CESER de Bourgogne.

NADAL Sabine, Perpignan, 66, FERC‐CGT, membre de la CE.

ORJOL Denis, Lannion, 22, Trésorier de l’UL CGT.

OUADFEL Fatima, Gennevilliers, 92, secrétaire générale UL CGT Gennevilliers‐Villeneuve La Garenne.

PAGE Jean‐Pierre, ancien responsable Département International de la CGT, ancien membre CE confédérale

PAGES Jean‐Francois, Clermont‐Ferrand, 63, CGT FAPT63.

PATILLON Franck, Clermont‐Ferrand, 63, CGT Michelin, membre CE UD 63.

PAULIAC Julien, Clermont‐Ferrand, 63, secrétaire général UD CGT 63.

PREBET Christiane, Taluyers, 69, Féd. nationale industries chimiques, section de Rhodia centre de recherche St Fons.

PREVOT Gérald, Chateauroux, 36, Fédération santé‐sociaux CGT de l’Indre.

RACAPé Simone, Rennes, 35, SROS CGT 35, membre du conseil syndical.

RENOU Daniel, Angers, 49, CGT INRA, retraité.

REYES Eddy, Nîmes, 30, CGT, membre de la CE du syndicat cheminots de Nîmes.

RODRIGUEZ Gilbert, Nanterre, 92, Union locale CGT

ROUSSEAU Jeanne, Perpignan, 66, CGT Santé, Hôpital de Thuir, membre de la CE.

SEREZAT J‐Pierre, Lussat, 63, préretraité, CGT Michelin, Fédération de la Chimie.

TRIN Michel, Aurillac, 15, retraité La Post, secrétaire USR CGT Cantal, membre BD UD 15.

VICIANA Stéphane, Clermont‐Ferrand, 63, CGT Hôpital Sainte Marie.

Organisations CGT :

Syndicat des Cheminots de Versailles, CGT.

Syndicat CGT‐INRA.

Syndicat CGT Educ’Action Nord (59).

Syndicat CGT des retraités des organismes sociaux d’Ille‐et –Vilaine (SROS 35).

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