"Si le roi n’avait pas été là ce 23 février, le coup d’Etat militaire aurait triomphé, cela ne fait aucun doute à mes yeux", avait confié en 2001 à Reuters Santiago Carrillo, grande figure du Parti communiste espagnol contraint sous Franco à une quarantaine d’années en exil.
Suivant divers auteurs, ce coup d’Etat a été un montage des monarchistes et du Roi lui-même ; Préoccupé par le manque de légitimité et le peu de popularité de Juan Carlos, ils auraient monté ce film pour le faire passer pour le sauveur du pays.
Quoi qu’il en soit, pour moi, Santiago Carrillo n’est qu’un pantin infréquentable depuis qu’il avait accepté la monarchie et baisé la main de la reine en tant que patron du PCE. Contre espèces sonnantes et trébuchantes, reconnaissance officielle et prestige national et international : l’eurocommunisme !!… Son témoignage, je me le passe entre les fesses…
Xarlo
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