Besancenot prépare les élections 2017
En léchant le cul du pouvoir !
D’après Besancenot, les "casseurs" sont…
des flics déguisés en manifestants…
Sur BFM le 3 novembre 2014 à 18h12
Cliquer sur l’image pour voir la vidéo.
Salut à toutes et à tous,
Besancenot raconte n’importe quoi ! Il joue visiblement le jeu du pouvoir. Si tout le monde croyait que chaque fois qu’il y a des émeutes, elles sont commanditées par l’État, alors il n’y aurait plus jamais d’émeutes. C’est ça, qui arrangerait le pouvoir ! Mais en disant ce qu’il dit, le petit facteur est sûr qu’on va le faire passer à la télé ! C’est clair, Besancenot prépare les élections de 2017 en léchant le cul du pouvoir !
Le pouvoir tente à chaque fois qu’il y a des émeutes sérieuses de faire croire que ce sont des policiers infiltrés qui sont derrière ; mais, le pouvoir ne peut pas dire cela directement, alors il se débrouille pour que de soit-disant "ennemis du pouvoir" le disent à sa place. Sinon, ce ne serait pas crédible. Ils ont fait le coup pour les gigantesques émeutes de Gênes en 2001, et pour d’autres ensuite.
Si Besancenot était passé à la télévision le 15 juillet 1789, il aurait dit que l’émeute du 14 juillet et la prise de la bastille étaient commanditées par le roi Louis XVI !
Et la prise du palais d’hiver, elle était commanditée par le Tsar, peut-être ?
Bien à vous,
do
http://mai68.org
Rémi Fraisse : des policiers encagoulés "déguisés" en casseurs ?
http://tempsreel.nouvelobs.com/soci…
3 novembre 2014 à 21h47
L’accusation est portée, photos à l’appui, par Olivier Besancenot, qui estime que le gouvernement a intérêt à "organiser directement ou indirectement les violences urbaines".
Olivier Besancenot (NPA) a accusé lundi 3 novembre 2014 sur BFMTV des policiers "d’infiltrer" les casseurs et ainsi de favoriser les violences dans les manifestations organisées après la mort de Rémi Fraisse.
Brandissant une photo prise à Rennes où figurent, selon lui, "des policiers encagoulés" parmi des casseurs, l’ancien candidat trotskiste à l’Elysée a affirmé que, "d’un certain point de vue, le gouvernement, ça l’arrange qu’il y ait des images de violences urbaines, à les entretenir, en les organisant directement ou indirectement, parce que pendant ce temps on ne parle pas du vrai problème : la mort de Rémi Fraisse".