VIVE LA RÉVOLUTION
Accueil du site > Comment publier un article > Syrie - 16 mars 2015 - Les Amerloques admettent devoir dialoguer avec (...)

Syrie - 16 mars 2015 - Les Amerloques admettent devoir dialoguer avec Bachar el-Assad

lundi 16 mars 2015, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 16 mars 2015).

Selon John Kerry, Washington doit dialoguer avec le président syrien pour mettre fin à la guerre civile

http://fr.sputniknews.com/international/20150315/1015180749.html

14:43 15.03.2015(mis à jour 15:02 15.03.2015)

Les autorités américaines doivent dialoguer avec le président syrien Bachar el-Assad pour mettre un terme à la guerre civile en Syrie, a déclaré dimanche le secrétaire d’Etat américain John Kerry.

"Au final, il faudra négocier. Nous avons toujours été pour les négociations dans le cadre du processus (de paix) de Genève I", a déclaré M. Kerry dans une interview diffusée sur la chaîne CBS dimanche, ajoutant que Washington travaillait d’arrache-pied pour "relancer" les efforts visant à trouver une solution politique au conflit.

Depuis 2011, la Syrie est le théâtre d’affrontements violents entre les troupes gouvernementales et des groupes armés de différentes provenances réunissant, entre autres, des mercenaires étrangers. Selon l’Onu, le conflit a déjà fait plus de 200.000 morts. Plus de 7 millions de Syriens ont dû quitter leurs foyers pour s’installer dans d’autres régions du pays et près de 4 autres millions se sont réfugiés à l’étranger.


Bachar el-Assad est une figure incontournable dans le règlement de la crise en Syrie, affirme l’émissaire de l’Onu Staffan de Mistura.

http://fr.sputniknews.com/international/20150213/1014665956.html

13:30 13.02.2015(mis à jour 13:48 13.02.2015)

Bachar el-Assad demeure l’une des figures clés capables d’apporter une solution à la crise syrienne, estime l’envoyé spécial de l’Onu en Syrie Staffan de Mistura.

Ce dernier a rencontré vendredi à Vienne le ministre autrichien des Affaires étrangères Sebastian Kurz. A l’issue de cette rencontre, le diplomate italien a annoncé aux journalistes qu’il s’était récemment entretenu avec Bachar el-Assad et qu’il envisageait de poursuivre ces contacts.

"Je continuerai à avoir des discussions importantes avec lui, car il fait partie de la solution", a déclaré Staffan de Mistura cité par Associated Press.

Plus de 30 représentants de l’opposition syrienne, dont des militants vivant à l’étranger, ont tenu à Moscou des négociations qui ont pris fin le 29 janvier. Ces pourparlers, qui ont duré quatre jours, ont abouti à l’adoption des "principes de Moscou" prévoyant la mise au point d’une plate-forme politique d’unité nationale.

La délégation du gouvernement syrien, qui a également participé à ce forum, a soutenu la proposition de Moscou de réunir une deuxième rencontre intersyrienne dans la capitale russe. Selon Qadri Jamil, membre de la présidence du Front populaire pour le changement et la libération, cette rencontre est prévue en mars.

La Syrie est le théâtre d’un conflit armé qui se poursuit depuis mars 2011 et qui a déjà fait plus de 200.000 morts, selon l’Onu.

1 Message

  • Le Royaume Uni a répété dimanche que Bachar al-Assad n’avait aucun rôle à jouer dans le futur de la Syrie, alors que les Etats-Unis ont concédé que des négociations avec le président syrien semblent inévitables, après cinq ans de guerre civile.
    "Assad n’a pas sa place dans le futur de la Syrie", a déclaré une porte-parole du ministère britannique des Affaires étrangères, en réaction aux déclarations du secrétaire d’Etat américain John Kerry.
    "Comme l’a dit le secrétaire (britannique) aux Affaires étrangères la semaine dernière, nous continuerons de mettre la pression sur ce régime par des sanctions, jusqu’à ce qu’il mette un terme aux violences et engage de réelles négociations avec l’opposition modérée", a ajouté la porte-parole.
    Après plusieurs années passées à répéter que les jours de Bachar El Assad étaient comptés, John Kerry a déclaré dimanche que Washington devrait négocier avec l’homme fort de Damas pour trouver une issue à cette guerre.
    "Au final, il faudra négocier. Nous avons toujours été pour les négociations dans le cadre du processus (de paix) de Genève I", a déclaré M. Kerry dans une interview diffusée sur la chaîne américaine CBS.
    Des membres du ministère britannique ont rappelé que la porte-parole du département d’Etat américain, Marie Harf, a nié que ces déclarations de M. Kerry marquent un changement dans la politique américaine concernant la Syrie. "La position inchangée et réitérée de John Kerry est que le régime doit être présent à la table des négociations - il n’a pas dit que nous négocierions directement avec Assad", a relativisé Mme Harf sur le réseau social Twitter.
    Les Etats-Unis avaient participé à l’organisation de pourparlers entre l’opposition syrienne et des émissaires de Damas à Genève au début de l’année dernière.

    http://www.lorientlejour.com/articl…

SPIP | squelette | | Plan du site | Suivre la vie du site RSS 2.0