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France - 13 avril 2015 - 26 juin 2015 - Un texte de loi anticonstitutionnel pour renforcer le fascisme technologique

vendredi 26 juin 2015, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 17 mars 2015).

La dictature sioniste veut supprimer la séparation des pouvoirs, détruisant ainsi le principe fondamental de la république :

Suppression de la séparation entre pouvoir exécutif et pouvoir judiciaire, le pouvoir exécutif s’arrogeant le pouvoir judiciaire, faisant ainsi de la France une dictature vraiment digne de ce nom :

17 mars 2015 : Aux termes de ce texte établi sous l’égide du député soit-disant "socialiste" Jean-Jacques Urvoas et dont l’examen devrait débuter en avril 2015 à l’Assemblée, les agents du renseignement n’auront plus à solliciter l’autorisation d’un juge pour des missions de surveillance et d’infiltration. Des autorisations administratives suffiront. C’est-à-dire des autorisations ou des ordres donnés par le pouvoir exécutif !


Un texte pour renforcer le renseignement français

http://fr.reuters.com/article/topNews/idFRKBN0MD1C820150317?sp=true

Mardi 17 mars 2015 13h03

PARIS (Reuters) - La France s’apprête à se doter d’un arsenal juridique renforçant les moyens des services de renseignement pour surveiller, notamment, d’éventuels "djihadistes", deux mois après les attentats qui ont fait 17 morts.

Le projet de loi, qui fixe les "principes et finalités de la politique publique du renseignement" et dont les grandes lignes sont dévoilées mardi dans Le Figaro, sera présenté jeudi en conseil des ministres.

Aux termes de ce texte établi sous l’égide du député socialiste Jean-Jacques Urvoas et dont l’examen devrait débuter en avril à l’Assemblée, les agents du renseignement n’auront plus à solliciter l’autorisation d’un juge pour des missions de surveillance et d’infiltration. Des autorisations administratives suffiront.

L’exécutif français entend mettre l’accent sur la prévention, après les failles mises au jour par l’itinéraire des tueurs de janvier.

Face à l’inquiétude des associations de défense des droits de l’Homme, qui redoutent de multiples atteintes à la vie privée et au secret des correspondances, le texte précise que les intrusions de cette nature ne seront permises "que dans les seuls cas de nécessité d’intérêt public prévus par la loi, dans le respect du principe de proportionnalité".

Ainsi sont retenus les motifs de défense nationale, les intérêts de politique étrangère, les intérêts économiques ou scientifiques majeurs, ainsi que "la prévention du terrorisme, la prolifération des armes de destruction massive et des violences collectives pouvant porter gravement atteinte à la paix publique".

En pratique, les services pourront effectuer des "interceptions de sécurité" sur les mails et les conversations téléphoniques, poser des balises sur les voitures des suspects, des micros ou des caméras à leur domicile, ou encore installer des "keyloggers", des logiciels permettant de lire et d’enregistrer en temps réel ce qu’une personne tape sur le clavier de son ordinateur.

Cette dernière mesure est prévue pour être limitée à deux mois.

Le projet de loi prévoit en outre d’autoriser le recours exceptionnel et restreint à des appareils espions tels que l’"Imsi Catcher", une forme de relais de téléphone mobile qui permet d’intercepter sans distinction la totalité des communications téléphoniques, SMS, trafic internet dans un large rayon.

Ce dispositif, qui dans ce cas ne captera pas le contenu des conversations et des métadonnées, est jugé attentatoire aux libertés par des associations.

Le texte, toujours selon Le Figaro, stipule que les renseignements recueillis devront "être détruits au terme d’une durée de 12 mois à compter de leur recueil".

Cette durée pourrait être réduite à un mois s’il s’agit d’interceptions de sécurité ou portée à cinq ans s’il s’agit de données de connexions.

(Sophie Louet, édité par Yves Clarisse)

EI - Daech - 911 - Le pouvoir veut profiter du terrorisme qu’il a lui-même commandité pour censurer internet ! (vidéo 17’’)

Le célèbre sénateur américain McCain décorant un djihadiste

14 septembre 2014 : L’EI, État Islamique, a été financé, soutenu, armé et entraîné par les services secrets occidentaux en général, et français en particulier. Le pouvoir a donc fabriqué de toutes pièces cette armée de mercenaires terroristes et "islamistes". L’article fournit les preuves.

Dans un premier temps, il s’agissait d’essayer de détruire la Syrie antisioniste de Bachar el-Assad. Mais, avec l’aide de l’ensemble de la population syrienne, et avec l’aide de l’Irak de Maliki, qui contrôlait la frontière syro-irakienne afin que les terroristes islamistes ne puissent se servir facilement de l’Irak comme d’une base arrière, l’EI a été quasiment vaincue en Syrie ; d’ailleurs, son chef dans ce pays a été tué il y a quelques semaines.

L’impérialisme américano-franco-sioniste s’est donc rendu compte qu’il faudrait d’abord forcer l’Irak à cesser d’aider la Syrie antisioniste de Bachar el-Assad s’il voulait avoir une chance de la vaincre, et qu’il fallait pour cela reprendre le pouvoir en Irak en fomantant un coup d’État contre Maliki.

C’est pourquoi l’Amérique a envoyé l’EI en Irak afin de s’en servir comme d’une bonne excuse pour virer Maliki ; en osant prétendre que c’était à cause de son incompétence, et de son soit-disant sectarisme religieux, que l’EI s’était à ce point développé en Irak. Les Amerloques ont ainsi pu remplacer Maliki par un gauleiter aux ordres.

Maintenant, ils veulent se servir de l’excuse EI pour bombarder la Syrie, alors que l’EI a quasiment disparu de Syrie suite à ses cuisantes défaites. Ce qui montre bien que la vraie raison pour laquelle ils veulent bombarder la Syrie, ce n’est pas la présence de l’EI dans ce pays, mais au contraire le fait que l’EI, qui n’est qu’un ramassis de mercenaires islamistes au service de l’impérialisme occidental, n’a pas réussi à virer l’antisioniste Bachar el-Assad.

Et bien entendu, comme ils l’avaient fait à l’époque du 11 septembre 2001, ils veulent se servir du terrorisme de l’EI, qu’ils ont eux-mêmes commandité, comme d’une excuse pour réduire les libertés publiques en Occident en général, et en France en particulier, sous prétexte de lutter contre le terrorisme ! Ils veulent notamment en profiter pour justifier la censure sur internet. Leur échec dans ce projet répressif dépendra de l’ampleur de la dénonciation qui, je l’espère, va s’amplifier, et du nombre de personnes qui refuseront de se laisser berner par leurs mensonges et magouilles.

Toutes les preuves sont fournies dans l’article :

http://mai68.org/spip/spip.php?article7921

France - 17 mars 2015 - La dictature sioniste prend prétexte du djihadisme, qu’elle a elle-même commandité, pour censurer interne

Il s’agit d’un blocage administratif, sans l’intervention d’un juge, ce qui laisse le ministère de l’Intérieur seul juge des critères justifiant une telle mesure.

Le 16 mars 2015, un peu plus d’un mois après la promulgation du décret de la loi permettant le blocage de sites faisant l’apologie du terrorisme, le ministère de l’Intérieur français est passé aux actes avec une première vague de cinq plates-formes.

"Ils servent de rodage, il y aura d’autres vagues pour perfectionner le système", ajoute-t-on au ministère de l’intérieur !

Ils font semblant de s’attaquer dans un premier temps à des sites présentés comme "djihadistes", ou faisant soit-disant de la propagande pour le terrorisme, mais en réalité, tout le monde est visé. Et ces gens-là, tous ces Charlie qui prétendent dénoncer de prétendues dictatures dans le monde entier voient la paille dans l’oeil des autres mais pas la poutre qui est dans le leur.

Tous ces Charlie prétendent défendre la liberté d’expression, mais il s’agit en réalité d’une liberté d’expression réservée purement et simplement au pouvoir et au sionisme.

Qu’ils commencent donc par censurer tous ces sites internet qui font de la propagande auprès des Juifs français pour aller tuer du Palestinien en Palestine occupée ! et qu’ils interdisent tant qu’ils y sont toutes ces fêtes qui ont lieu en France et qui ont pour but de financer les guerres israéliennes destinées à spolier toujours plus les Palestiniens ! Et qu’ils censurent donc toutes ces propagandes sionistes à la télévision destinées à envoyer les Juifs de France en Israël pour aller voler un peu plus les terres des Palestiniens, au besoin en assassinant ceux-ci !

Car, au fond, QUI fait le plus de propagande en France pour le DJIHAD, c’est-à-dire pour la guerre, les islamistes, ou les sionistes ?

Et avec ça, QUI s’est débrouillé pour faire monter la sioniste Marine le Pen à 30% ?

Ce qui se passe en France est un vrai scandale !

À quand la levée en masse ?

Cliquer ici pour l’article et les commentaires

Le général Desportes explique aux sénateurs français : « les États-Unis ont créé Daesh » :

http://mai68.org/spip/spip.php?article8463

Daech - 911 - l’ex-agent de la NSA, Edward Snowden, révèle que le chef de l’EI travaille pour les USA et Israël :

http://mai68.org/spip/spip.php?article7949

Irak - 9 mars 2015 - Certains membres de DAECH capturés sont israéliens et américains :

http://mai68.org/spip/spip.php?article8600

Irak - 22 septembre 2014 - Comme prévu, Au lieu de bombarder Daech, les avions US bombardent le Hezbollah :

http://mai68.org/spip/spip.php?article7967

Irak - 27 février 2015 - le Hezbollah abat un avion US transportant des armements, à destination de Daesh :

http://mai68.org/spip/spip.php?article8560

Syrie - 28 septembre 2014 - Turquie et Israël protégent Daech, Nosra et autres terroristes dans une zone tampon :

http://mai68.org/spip/spip.php?article8004

Daech, EIIL, EI, ISIS, IS, etc. est un agent du colonialisme occidental (vidéo 41’07) :

http://mai68.org/spip/spip.php?article7759

(Révélations d’un ancien cadre d’al-Qaïda sur l’EIIL. Le chef de l’EIIL, qui se fait appeler Abou Bakr al-Baghdadi s’appelle en réalité Simon Elliot, il est de père et mère juifs, et Snowden confirme qu’il a été formé par le Mossad !)

Daech - Syrie - Irak - 28 septembre 2014 - Français, un Algérien vous parle, Écoutez ! (vidéos 5’23 et 43’10) :

http://mai68.org/spip/spip.php?article8009

3 Messages de forum

  • « poser des balises sur les voitures des suspects »

    je pourrais t’en raconter là-dessus, au pays basque.

    Il y a eu des plaintes auprès de la police, du procureur, que sais-je encore… Toujours archivées…

    Moi-même…

    A tel point que nous avions des appareils de détection que nous nous passions des uns aux autres… Des fois, c’était chaud, vois-tu…

  • La loi renseignement adoptée par l’Assemblée

    http://fr.reuters.com/article/topNews/idFRKBN0NQ1JG20150505?sp=true

    Mardi 5 mai 2015 18h32

    PARIS (Reuters) - Les députés français ont adopté mardi en première lecture, par 438 voix contre 86, le projet de loi sur le renseignement qui suscite de nombreuses critiques de la part des associations de défense des libertés et d’une partie la classe politique.

    Les groupes socialiste, radicaux de gauche et UMP, à l’exception de quelques récalcitrants, ont voté ce texte qui vise notamment à légaliser les pratiques clandestines des services de renseignement, principalement dans la lutte contre le terrorisme, après les attentats de janvier dernier.

    Les groupes Front de gauche et écologiste ont voté contre tandis que les centristes de l’UDI se sont divisés.

    Au groupe PS, 10 députés ont voté contre et 17 se sont abstenus. A l’UMP, 35 ont voté contre et 20 se sont abstenus.

    Le député socialiste Lionel Tardy a déclaré dans Le Figaro de mardi qu’il voterait contre, faute garde-fous.

    "Si la droite avait proposé ne serait-ce qu’un quart de ce qui est en projet ici, la gauche aurait hurlé", a-t-il écrit dans une tribune. "Si le système tombe entre de mauvaises mains, le pire devient possible."

    Nicolas Sarkozy, le président de l’UMP, qui assistait mardi à la réunion hebdomadaire du groupe, a dit soutenir le texte qui est toutefois loin de faire l’unanimité de ses troupes, son ancien conseiller spécial à l’Elysée, Henri Guaino, reprochant au projet de loi d’aller au-delà de la sécurité de l’Etat.

    Les députés UMP Pierre Lellouche et Laure de la Raudière ont même annoncé qu’ils allaient tenter de réunir soixante signatures de députés afin de pouvoir déposer un recours auprès du Conseil constitutionnel, ce que François Hollande lui-même a déjà promis de faire, signe des interrogations qui fusent.

    L’UMP Thierry Solère a annoncé avoir saisi avec l’eurodéputé Philippe Juvin la Commission européenne sur ce texte "contraire à la Charte des droits fondamentaux de l’Union".

    "VALISES ESPIONNES"

    Une journée de mobilisation contre le projet de loi a eu lieu lundi à Paris et a rassemblé Europe Ecologie-Les Verts (EELV), le Parti communiste ainsi que des organisations comme Amnesty et le Réseau Education sans frontières (RESF).

    L’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, où siègent les législateurs de 47 pays, a affirmé son opposition aux techniques de surveillance massives prévues par le texte comme moyen de lutte contre la criminalité et le terrorisme.

    La Commission consultative des droits de l’homme (CNCDH) a également critiqué ce texte qui, estime-t-elle, met en place un système de "surveillance généralisée et indifférenciée".

    Des accusations rejetées par le ministre de l’Intérieur dans une lettre adressée à la CNCDH dans laquelle il affirme que les libertés fondamentales seront totalement préservées.

    Le texte, préparé depuis plus d’un an et relancé au lendemain des attentats de janvier à Paris, prévoit que les opérateurs télécoms, les hébergeurs et les réseaux du net devront installer des "boîtes noires" contenant des algorithmes destinées à filtrer les communications.

    Les services pourront utiliser des "Imsi-catchers", des "valises espionnes" jusqu’ici réservées à la justice qui permettent de capter des conversations dans un rayon de 500 m.

    De plus, et contre l’avis de la ministre de la Justice, les agents de l’administration pénitentiaire pourront utiliser en prison des techniques de renseignement.

    Le texte prévoit la création d’une Commission nationale de contrôle des techniques de renseignement (CNCTR), fixe la durée de conservation des données selon leur mode d’interception et crée un statut de "lanceur d’alerte" dans le but de protéger un agent de renseignement témoin de pratiques illégales.

    Manuel Valls, qui a participé au début et à la fin de l’examen du texte, a souhaité un vote massif du projet de loi.

    "Il y a ceux qui ont le sens de l’Etat, le sens de l’intérêt général et ceux qui parfois, malheureusement, ne l’ont pas", a-t-il lancé à l’adresse des opposants.

    Le Sénat devrait examiner à son tour ce projet de loi en juin, l’objectif étant une adoption définitive avant août.

    (Emile Picy, édité par Yves Clarisse)

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