1) "Assassiner sauvagement" n’est pas un pléonasme.
2) "Assassiner délicatement" a été la pratique bien connue des empereurs de la Rome antique, au Vatican, avant et après les Borgia, à la cour de France, etc.
Pardonnerait-on mieux aux délicats, qu’aux "sauvages" ?
Faut-il préférer la douceur intimiste de la chambre à gaz d’une prison américaine à la brutalité tranchante d’une guillotine ou perforante du poteau d’exécution ?
La méthode d’exécution rachèterait-elle le crime ?
La loi, les juges et les autres … sont des esthètes.