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France - 7 décembre 2015 - Réactions du PS et du PCF pour contrer le danger FN (vidéos 3’08 et 3’15)

lundi 7 décembre 2015, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 7 décembre 2015).

Réactions du PS PACA et de Pierre Laurent du PCF

Enregistré sur France 3 vers 23h40

Cliquer sur l’image pour voir la vidéo.


Le PS se desistera quand ce sera nécessaire pour faire barrage au FN

Enregistré sur France 3 le 6 décembre 2015 vers 23h20

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Élections régionales - 6 décembre 2015 - Scandale à la télévision ! sur FR3, Marine la Haine est le centre du monde :

http://mai68.org/spip/spip.php?article9637

Les seules régions où la gauche arrive en tête au premier tour des élections régionales 2015 sont les régions à fort mouvement indépendantiste : la Corse, la Bretagne et le pays Basque :

http://mai68.org/spip/spip.php?article9643

5 Messages de forum

  • Le PS du Grand Est se maintient malgré les appels au retrait

    http://fr.reuters.com/article/topNews/idFRKBN0TQ1FC20151207

    Lundi 7 décembre 2015 13h52

    PARIS (Reuters) - Jean-Pierre Masseret, tête de liste du Parti socialiste en Alsace-Lorraine-Champagne-Ardenne, a annoncé lundi son maintien au second tour des régionales en dépit des appels au retrait des responsables de sa formation.

    "Nous nous maintenons et nous pensons que c’est la meilleure façon de nous opposer au Front national. Nous pensons que c’est en siégeant dans l’assemblée territoriale que nous pourrons le mieux faire reculer le Front national, en occupant la place dans l’opposition", a-t-il dit.

    Le Premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis, a rappelé lundi matin la position adoptée par le bureau politique la veille au soir, à savoir le retrait des listes socialistes arrivées en troisième position là où le FN peut l’emporter au deuxième tour des régionales.

    La liste dirigée par Jean-Pierre Masseret est arrivée en troisième position du premier tour avec 16,11% des suffrages, loin derrière celles des Républicains (25,83%) et du Front national, qui est en tête avec 36,06% des voix.

    L’ancien secrétaire d’Etat aux Anciens combattants a indiqué que sa décision avait été "très difficile" à prendre.

    "Mais nous pensons que dans la conjoncture politique actuelle (…) cette stratégie d’évitement n’est pas une stratégie qui réussit puisqu’à chaque fois on constate que le Front national continue de marquer des points. Donc il faut en tirer les conséquences", a-t-il dit.

    "C’est pas l’évitement qui évite le Front national, c’est l’affrontement avec le Front national qui fera reculer ce parti et c’est à l’intérieur de cette assemblée territoriale que ces choses doivent se poser".

    (Yann Le Guernigou, édité par Yves Clarisse)

  • Le "ni ni" de Nicolas Sarkozy validé malgré les divergences

    http://fr.reuters.com/article/topNews/idFRKBN0TQ17920151207

    Lundi 7 décembre 2015 13h56

    PARIS (Reuters) - La stratégie de Nicolas Sarkozy pour le second tour des élections régionales - ni retrait ni fusion des listes pour faire barrage au Front national - a été validée lundi lors d’un bureau politique des Républicains où les critiques ont été mises en sourdine, a-t-on appris auprès de participants.

    La doctrine du "ni ni", réaffirmée dimanche soir par le président des Républicains à la suite de résultats décevants pour la droite, en tête dans seulement quatre des 13 régions métropolitaines alors que le FN est premier dans six, a été votée à l’unanimité, moins les voix de Nathalie Kosciusko-Morizet, numéro deux du parti, et Jean-Pierre Raffarin.

    Alain Juppé et François Fillon, adversaires de Nicolas Sarkozy pour la primaire de 2016 à droite, se sont ralliés à l’ancien chef de l’Etat en souhaitant que les "examens de conscience" politiques et autres clarifications sur la ligne idéologique du parti soient renvoyés après les régionales, dont le second tour se déroule dimanche prochain.

    A contrario, et à l’instar des centristes de l’UDI et du MoDem, l’ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin a plaidé pour le retrait des listes LR-UDI-MoDem arrivées en troisième position, notamment en Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées où Dominique Reynié, nouveau venu en politique, n’a rassemblé que 18,84% des suffrages.

    Dans cette région, les listes FN emmenées par Louis Aliot recueillent 31,83% devant les listes socialistes de Carole Delga (24,41%).

    "Quand on est troisième on se retire, on fait le front contre les déconstructeurs parce que c’est aujourd’hui qu’il faut reconstruire", avait déclaré le sénateur LR de la Vienne sur France Inter avant la réunion du bureau politique.

    La position de Nathalie Kosciusko-Morizet a irrité au plus haut point Nicolas Sarkozy qui, selon des participants, a rappelé l’échec de la législative partielle dans le Doubs, en février dernier.

    L’ex-UMP avait été éliminée dès le premier tour, laissant le FN et le PS s’affronter, et Nathalie Kosciusko-Morizet, vice-présidente déléguée du parti, avait alors appelé "à titre personnel" à voter pour le candidat socialiste.

    "On serre les dents" jusqu’au second tour, le débat s’ouvrira plus tard, a résumé François Fillon, selon des élus.

    (Sophie Louet, édité par Yves Clarisse)

  • Valls appelle à voter pour Les Républicains dans trois régions

    http://fr.reuters.com/article/topNews/idFRKBN0TQ2DQ20151207

    Lundi 7 décembre 2015 20h41

    PARIS (Reuters) - Manuel Valls a appelé lundi soir les électeurs de gauche à voter pour les candidats du parti Les Républicains (LR) dans trois régions susceptibles d’être remportées par le Front national au second tour des élections régionales.

    Invité du journal de 20h00 de TF1, le Premier ministre français a estimé que la gauche pouvait l’emporter partout ailleurs dimanche prochain. Manuel Valls a appelé à voter pour les candidats LR dans le Nord-Pas-de-Calais-Picardie, en Provence-Alpes-Côte d’Azur et en Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine.

    Dans cette dernière région, le candidat socialiste, Jean-Pierre Masseret, refuse pour l’instant de respecter la consigne de retrait prononcé par les instances du PS.

    "Quand il en va de la République, il faut être désintéressé, il faut être à la hauteur des événements. Quand on aime ce pays, on va droit au but et on appelle à voter pour Les Républicains", a déclaré Manuel Valls.

    "La gauche est rassemblée et peut l’emporter dans toutes les autres régions", a souligné le chef de la majorité, qui ne s’était pas exprimé depuis le premier tour.

    Interrogé sur le cas particulier de Jean-Pierre Masseret, Manuel Valls lui a demandé de "ne pas s’accrocher."

    "Cela ne sert à rien de s’accrocher à un poste. Il faut être digne, il faut être à la hauteur et l’enjeu c’est bien de conforter la République, donc il ne faut pas hésiter", a-t-il dit.

    Pour Manuel Valls, le programme de l’extrême droite, qui est arrivée en tête dans six des treize régions métropolitaines dimanche, n’apporte "aucune solution".

    "Il y a deux visions, et dimanche prochain il faudra choisir entre ces deux visions de la France", a-t-il ajouté.

    (Elizabeth Pineau, édité par Myriam Rivet)

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