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Révolte contre l’UE et le FMI : la Grèce, l’Islande et la Lettonie pourraient montrer la voie

lundi 8 février 2010 (Date de rédaction antérieure : 8 février 2010).

par Ellen Brown*

Les petits pays d’Europe accablés de dettes pourraient suivre l’exemple de l’Argentine et ignorer leurs dettes. Cela reporterait le fardeau sur les pays créanciers et le problème pourrait être résolu grâce à un simple changement des règles comptables.

la suite ici :

http://www.horizons-et-debats.ch/in…

Document PDF (« Horizons et débats », 10e année, n° 5, 8 février 2010) joint à télécharger ici :

http://www.voltairenet.org/IMG/pdf/…

ou ici :

http://mai68.org/spip/IMG/pdf/HD_05…

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4 Messages de forum

  • http://www.voltairenet.org/article1…

    Horizons et débats est un hebdomadaire publié en allemand et en français. Une sélection bimensuelle est disponible en anglais.

    Pour une lecture plus confortable qu’à l’écran, abonnez-vous à la version papier d’Horizons et débats. Tarifs 2010 :

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      Horizons et débats, Case postale 729, CH-8044 Zurich. CCP 87-7484485-6
  • Effectivement, et cela a déjà commencé. Les premières manifs sont je l’espère les prémices de beaucoup d’autres.

    Papandréou est coincé entre l’UE qui veut acheter la Grèce pour pas cher et son peuple qui n’a pas envie de payer pour les conneries de ses dirigeants.

    Quand je dis "acheter la Grèce", c’est l’obliger à sacrifier ses services publics - et d’une manière générale tout ce qui a trait à l’argent public (salaires, retraites, éducation, soins, etc.) pour ensuite laisser des sociétés privées prendre le relais dans les secteurs juteux (desquels vous l’aurez deviné ne figurent ni les retraites ni des salaires décents).

    Et ça nous pend au nez aussi en fRance (source : lien ci-dessous).

    Liste des dettes et déficits publics classés par déficits décroissants :

    GRÈCE. Déficit public 12,9 % Dette publique 112,6 % du PIB.

    IRLANDE. Déficit public 12,5 % Dette publique à 65,8 % du PIB.

    ESPAGNE. Déficit public 11,2 % Dette publique à 54,3 % du PIB.

    FRANCE. Déficit public 8,3 % Dette publique à 76,1 % du PIB.

    PORTUGAL. Déficit public 8 % Dette publique à 77,4 % du PIB.

    ITALIE. Déficit public 5,3 % Dette publique à 114,6 % du PIB.

    ALLEMAGNE. Déficit public 3,4 % Dette publique à 73,1 % du PIB.

    J’ai classé la liste ainsi car elle montre mieux la vitesse d’augmentation de la dette publique. On y voit que la fRance est en très bonne position par rapport aux tant décriés trois premiers.
    Mais les médias aux bottes du nain préfèrent montrer du doigt la Grèce et l’Italie.

    C’est tellement plus simple…

    Didier

    Voir en ligne : France-Soir

  • Voici l’article de France-Soir :

    Crise - L’Union européenne au chevet de la Grèce

    Gaëtane Morin, le jeudi 11 février 2010 à 04:00

    http: www.francesoir.fr/politique/…

    Les dirigeants des 27 pays européens se réunissent jeudi à Bruxelles pour exprimer leur solidarité avec Athènes, confronté à une crise budgétaire sans précédent.

    294 milliards d’euros : c’est la dette – abyssale – qui menace d’engloutir la Grèce, dont le déficit public s’élèverait, fin 2009, à 12,7 % du PIB (contre 3,7 % prévus au début de l’année).

    Révélée en octobre par le nouveau gouvernement socialiste, cette crise budgétaire fait jeudi trembler la zone euro, dont la monnaie est l’objet de spéculations sur les marchés financiers. L’heure est suffisamment grave pour que la question ait fait l’objet, mercredi, d’une réunion d’urgence des ministres des Finances européens.

    Et les discussions se sont multipliées tous azimuts : après avoir reçu à déjeuner le Premier ministre grec, Georges Papandreou, Nicolas Sarkozy s’est entretenu avec la chancelière allemande, Angela Merkel, et le président de l’Union européenne, Herman Van Rompuy.

    « Nous sommes prêts à prendre toutes les mesures nécessaires afin d’être sûrs que soit atteint notre objectif de réduire notre déficit de 4 points en 2010, à 8,7 % », a déclaré Georges Papandreou à sa sortie de l’Elysée, avant de rappeler que son gouvernement avait décrété, mardi, un plan d’austérité (âge moyen de départ à la retraite retardé de deux ans, gel des salaires et des embauches dans la fonction publique…). Une politique contre laquelle des milliers de fonctionnaires ont manifesté mercredi dans les rues d’Athènes.

    L’UE devrait décider d’une aide financière

    Cette fermeté pourrait ne pas suffire à rassurer les marchés financiers. « Maintenant, il y a des attaques contre la monnaie d’Etats européens, a observé Pierre Lellouche, secrétaire d’Etat aux Affaires européennes. Il faut que l’Europe s’affirme. »

    Les 27 pays membres de l’UE semblent en avoir pris conscience : ils se réunissent jeudi, à Bruxelles, autour du président de la Banque centrale européenne, Jean-Claude Trichet, pour témoigner de leur solidarité envers la Grèce. Jusqu’alors réticente à soutenir Athènes, l’Allemagne se serait ralliée à l’idée d’une aide financière, dont les modalités restent à définir.

    Car le spectre d’une intervention du Fonds monétaire international (FMI) fait craindre un aveu de faiblesse politique de l’UE.

    Des déficits exorbitants

    Le pacte de stabilité européen fixe, en principe, la limite annuelle des déficits publics à 3 % du produit intérieur brut (PIB) et celle de la dette publique à 60 % du PIB pour chaque pays. Or, Bruxelles a engagé une procédure pour déficit excessif à l’encontre de 20 des 27 pays de l’Union européenne. Voici les sept cas les plus problématiques :

    GRÈCE. déficit public 12,9 % du PIB et la dette publique à 112,6 % du PIB.
    ESPAGNE. déficit public 11,2 % du PIB, dette publique à 54,3 % du PIB.
    PORTUGAL. déficit public 8 % du PIB, dette publique à 77,4 % du PIB.
    IRLANDE. déficit public 12,5 % du PIB, dette publique à 65,8 % du PIB.
    ITALIE. déficit public 5,3 % du PIB, dette publique à 114,6 % du PIB.
    FRANCE. déficit public 8,3 % du PIB, dette publique à 76,1 % du PIB.
    ALLEMAGNE. déficit public 3,4 % du PIB, dette publique à 73,1 % du PIB.

    Edition France Soir du jeudi 11 février 2010 page 4

  • Oui…

    Après lecture de l’article de France-Soir, on dirait que ça pue la mise en scène et la manipulation à plein nez. Guy Debord parlerait de spectacle. Voici, dévoilée par John Perkins, le principe même de ce genre de manipulation :

    http://mai68.org/spip/spip.php?article910

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