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La vérité se fraye un chemin au sujet de la chute de l’URSS - (Les aveux de Gorbatchev)

samedi 14 juillet 2018, par Luniterre (Date de rédaction antérieure : 14 juillet 2018).

Bush/Gorbatchev

La vérité se fraye un chemin

au sujet de la chute de l’URSS

__Se abre paso la verdad sobre la caída de la URSS.

Arthur González

__’My Ambition was to Liquidate Communism’

Mikhail Gorbachev

Le site « les vrais amis de l’URSS » vient de republier, sous le titre : « GORBATCHEV AVOUE : "Le but de ma vie était l’anéantissement du communisme" » un article repris récemment sur différents sites, dont celui de Danielle Bleitrach. Le voici donc à nouveau, avec, tout d’abord, la présentation critique du site « les vrais amis de l’URSS », ensuite, celle de Danielle Bleitrach. Enfin, à la suite de l’article, dans sa version française, notre propre commentaire.

La traduction choisie ici, avec quelques retouches, est celle de Michel Taupin, plus fidèle au texte d’Arthur Gonzales que celle de Danielle Bleitrach. Même s’il connaît un regain d’intérêt suite à sa reprise nouvelle dans la presse cubaine, ce texte a été publié originellement en espagnol en Septembre 2017, sur le site de l’auteur, El Heraldo Cubano, basé en Espagne, semble-t-il. En pièce jointe PDF, la version publiée sur le site Radio Habana Cubana, et qui semble avoir été la référence pour Danielle Bleitrach.

Les propos cités de Gorbatchev auraient été prononcés en 1999, et le texte semble encore en être reproduit dans un article en anglais sur le site indien « Revolutionary Democracy », généralement fiable comme source. Nous le joignons à la suite du texte espagnol.

Présentation « les vrais amis de l’URSS » :

Un article intéressant, même s’il occulte le fait que le capitalisme avait déjà fait son retour en URSS avec Khrouchtchev.

Comme précisé dans d’autres articles, ce retour du capitalisme sous Khrouchtchev était embryonnaire et l’accumulation du capital faible.

(http://lesvraisamisdelurss.eklablog…)

Khrouchtchev était déjà le pion de la CIA, mais les résultats de cette première tentative réussie n’allait pas assez vite aux yeux des USA. Il fallait donc faire en sorte de précipiter les choses.

C’est ce qu’a mis en oeuvre la CIA du temps de Gorbatchev.

Je précise que je ne partage pas complètement l’introduction de Danielle Beitrach, par exemple la Chine n’a jamais été un pays socialiste ! »

http://lesvraisamisdelurss.eklablog…

Présentation D. Bleitrach :

« Les Cubains, auteurs de l’article, disent de Gorbatchev qu’il est un « hijo de puta » et ils donnent ici des preuves de la manière dont il a été l’instrument de la CIA. Il n’y a pas eu effondrement spontané mais bien trahison au profit de la CIA, de celui qui était à la tête de l’Etat, capable donc comme le dit le texte d’y imposer un personnel à sa botte, non seulement en URSS mais dans toute l’Europe.

Des partis ont résisté comme les Chinois en pleine scission, mais aussi le parti communiste cubain, à cause de sa volonté d’indépendance et son recentrage sur le tiers monde et l’Amérique latine. Les Russes savent tout cela et leur rancune à l’égard du parti communiste qui de fait les a trahi explique les difficultés des communistes dans un pays qui regrette massivement l’URSS. L’histoire du PCF reste à écrire dans le cadre de cette trahison, comme celle de bien des partis européens étroitement liés à Moscou. j’ai personnellement vécu ces moments et peu à peu ils prennent sens (note de Danielle Beitrach). »

https://histoireetsociete.wordpress…

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Se abre paso la verdad sobre la caída de la URSS.

Par Arthur González, traduction Michel Taupin

Gorbatchev a avoué lors d’un discours à l’Université américaine en Turquie :

"L’objectif de ma vie était la destruction du communisme … ma femme m’a soutenu pleinement et l’a même compris avant que j’ai réussi à trouver des camarades de lutte, parmi eux A.N. Yakovlev et Shevardnadze."

Récemment, la CIA a déclassifié certains documents qui stipulent que "le magnat de la finance George Soros et la CIA, ont aidé Gorbatchev à dissoudre l’URSS".

A leur sujet, l’analyste et ancien employé de la NSA, l’Agence nationale de sécurité, Wayne Madsen, a déclaré que le milliardaire George Soros, avait fourni en 1987 une couverture économique au gouvernement de Mikhaïl Gorbatchev, à travers une ONG de la CIA connue sous le nom d’Institut d’études de sécurité est-ouest, IEWSS, pour son acronyme en anglais.

Les informations stipulent que Soros et la CIA ont favorisé la promotion de deux termes orchestrés par l’occident dans ces années, la "perestroïka" (ouverture) et "Glasnost" (transparence) de sorte que les deux expressions servaient de déstabilisant pour accélérer la disparition de l’URSS .

Ces documents de la CIA prouvent que ce qui est arrivé n’a pas été le résultat d’un acte "spontané et démocratisant" de Gorbatchev parce que le système socialiste était "épuisé et brisé", comme ils veulent faire croire au monde.

En Turquie, Gorbatchev lui-même a déclaré :

"Pour l’atteindre, j’ai profité de ma position dans le parti et le pays, je devais remplacer toute la direction du PCUS et de l’URSS ainsi que la direction de tous les pays socialistes de l’Europe."

La vérité est que c’était la CIA avec l’argent de l’Organisation Soros, qui a conçu et exécuté cette grande opération, avec tout le soutien du leader soviétique d’alors.

Gorbatchev et Bush père, tous deux ont joué le rôle de fossoyeurs de l’URSS.

L’ancien analyste Wayne Madsen affirme que le plan visant à éliminer le bloc socialiste en Europe de l’Est, a été organisé par les deux coprésidents de l’IEWWS de Soros, Joseph Nye, économiste de Harvard, et Whitney MacMillan, président de la multinationale de l’agro-industrie Cargill, qui avait entretenu des relations commerciales avec l’Union soviétique dans les années soixante-dix.

Non satisfait des résultats obtenus en 1991, la CIA et Soros ont concentré leurs efforts à provoquer un coup d’état dans la nouvelle Fédération de Russie, et à encourager le séparatisme dans ses régions afin de l’affaiblir au maximum.

Le rapport Nye et MacMillan, laisse présager la fin de l’Union soviétique et les éléments du nouveau modèle pour les futures relations de Moscou avec les États-Unis, pour passer à l’ère capitaliste, et ils disent : "Toute nouvelle évaluation des relations de l’Occident avec une Union Soviétique ouverte doit partir d’une position de force au lieu d’un équilibre des forces."

Le rapport de l’IEWWS daté de 1987, et son application pratique, était une façon sans effusion de sang, de dépecer l’URSS par étapes.

Ce document exhorte l’Occident à prendre des avantages sur l’Union soviétique agonisante, dans la nouvelle carte géopolitique qui s’approchait, en particulier dans le Tiers Monde, une région qui jusque-là était sous influence soviétique.

Madsen note que Soros et ses organisations alliées "des droits de l’homme", ont travaillé activement pour détruire la Fédération de Russie, en appuyant les mouvements indépendantistes dans Kuzbass (Sibérie), à travers les droites allemandes qui cherchaient à restaurer Königsberg et la Prusse orientale, et qui ont financé les nationalistes de Lituanie et d’autres nationalistes de républiques et régions autonomes comme le Tatarstan, l’Ossétie du Nord, l’Ingouchie, la Tchétchénie, entre autres, dans le but d’encourager le séparatisme dans les républiques autonomes socialistes soviétiques.

L’activité d’ingérence de Soros contre la Russie n’a pas cessé, elle a même augmenté grâce à ses bases opérationnelles réparties sur les territoires environnants, en particulier l’Ukraine, l’Estonie, la Lettonie, la Lituanie, la Finlande, la Suède, la Moldavie, la Géorgie, l’Azerbaïdjan, la Turquie, la Roumanie, la Mongolie, le Kirghizistan, le Kazakhstan, le Tadjikistan et l’Ouzbékistan en relation avec des groupes terroristes unis aux fascistes ukrainiens et aux néo-nazis moldaves sionistes.

Récemment, le président russe Vladimir Poutine, a expulsé plusieurs organisations de Soros, l’Open Society Foundation et d’autres ONG de la CIA qui opèrent dans des circonstances similaires sur le territoire russe, y compris la NED (National Endowment for Democracy), l’Institut républicain International, la Fondation MacArthur et la Freedom House (Maison de la liberté), les considérant comme indésirables et une menace pour la sécurité de l’Etat russe.

Ce n’est pas pour le plaisir que Mikhaïl Gorbatchev a reçu le prix Nobel de la paix, c’est parce qu’il a suivi avec diligence les directives de la CIA et de George Soros.

La CIA ne se repose pas et a l’intention d’éliminer toute trace de socialisme sur terre, c’est pourquoi ses plans contre Cuba et maintenant contre le Venezuela, où rien ne survient par la grâce du saint-esprit, mais comme l’a dit saint Jean : "Et vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous libérera." 8-32.

C’est pourquoi chaque jour le monde vérifie ce dont les Yankees sont capables pour étendre leurs intérêts hégémoniques, et des mensonges qu’ils inventent, créant des modèles préconçus parmi les masses, au moyen de campagnes de presse, il en résulte ce que José Martí a ainsi sagement affirmé : "Trouver une vérité réjouit tout autant que de voir naître un enfant".

http://mesactus.canalblog.com/archi…

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Notre commentaire sur TML :

Bonjour, camarades

Effectivement, la bourgeoisie bureaucratique khrouchtchevienne était encore une bourgeoisie nationale de gagne-petits, formée en marge de l’échelle des salaires relativement ouverte, sous la forme d’une petite bourgeoisie bureaucratique, déjà sous Staline. La thèse albanaise d’une fourchette salariale « réduite » sous Staline ne correspond pas à la réalité historique, et, quoi qu’il en soit, c’était essentiellement un artifice de propagande, de la part des albanais, parmi d’autres, et peu efficaces, finalement, en ce qui concerne la survie et le renouvellement du mouvement ML, malheureusement, de toutes façons.

Que cette faction khrouchtchevienne ait été instrumentalisée par les américains, cela ne faisait déjà plus guère de doutes, selon les historiens russes qui ont étudié sérieusement la question. Néanmoins, c’était une faction qui voulait simplement jouir de ses privilèges bureaucratiques sans être inquiétée pour cela, et cherchait un modus vivendi avec l’Occident, sans renoncer pour autant à une relative indépendance de l’URSS.

Alors que Staline voulait non seulement une indépendance radicale à l’égard du dollar, comme monnaie de réserve internationale, mais aussi en revenir radicalement aux principes de le l’économie de transition socialiste, tels que ceux de la Critique du Programme de Gotha, qui sont à la base de son livre « Les problèmes économiques du socialisme en URSS » et des débats du 19e et dernier Congrès du Parti Bolchevique, en 1952. C’eut été, effectivement, la fin de la petite bourgeoisie bureaucratique qui s’était incrustée en parasite dans l’État socialiste.

Khrouchtchev offrait donc des garanties de continuer avec le dollar comme monnaie de réserve, ce qui devait, à moyen terme, aboutir à une liquidation de l’URSS en tant que groupe de nations indépendantes. Néanmoins il est avéré que la bureaucratie khrouchtchevienne ne l’entendait pas exactement ainsi, et, tout en négociant une nouvelle forme de « coexistence pacifique », elle a fait « rapatrier » dans ses propres banques « européennes », entièrement sous son contrôle, la parties « américaine » de ses réserves en dollar, ce qui a contribué à déstabiliser l’équilibre de la finance US (Naissance des « euro-dollars »).

A ce sujet, voir la thèse de Flora Sfez :

https://tribunemlreypa.files.wordpr…

Il est avéré, aujourd’hui, que l’URSS n’a pas profité directement de cette spéculation, mais qu’elle a profité de l’affaiblissement financier US qui en a résulté. Il y a donc un jeu de rapport de force où l’URSS joue sa place comme nation « concurrentielle », mais en ayant renoncé, au départ, à un affrontement sur les fondamentaux, aussi bien politiques que économiques, et se comporte donc en nation capitaliste nationale-bureaucratique.

Une amorce de spéculation financière internationale n’a commencé effectivement en URSS que sous l’ère Gorbatchev.

Ce sont ces facteurs, entre autres, qui déterminent la nature de classe de la bourgeoisie khrouchtchevienne comme nationale-bureaucratique, et non comme « sociale-impérialiste ».

Un autre facteur essentiel de désagrégation de l’économie soviétique est l’émergence de la mafia, avec la « libération » des goulags, constitués, en réalité et à 80%, de détenus de droit commun. A noter que la première « libération » massive de cette engeance a eu lieu à l’initiative de Beria, peu avant sa mort, et alors qu’il entrait en lutte pour le pouvoir, avec l’aide de sa propre faction, contre celle de Khrouchtchev, après avoir été son allié, dans l’après guerre, contre Andreï Jdanov.

L’émergence de la mafia, en collusion avec une partie de la bureaucratie, se poursuivra au fil des années, au point de contrôler, sous Gorbatchev, l’essentiel des secteurs « rentables » de l’économie, et notamment, via le racket, la quasi totalité des entreprises nouvelles crées sous la « perestroïka ». C’est le facteur essentiel qui a poussé à la « compradorisation » de l’économie russe, sous Eltsine.

Il y a donc, au fil de l’histoire de l’URSS révisionniste, une lente désagrégation de l’économie soviétique, une « décentralisation », en partie voulue par les « réformes » khrouchtcheviennes et suivantes, en partie forcée, sous la pression de la mafia montante, et donc il n’y a pas de constitution, à aucune étape, d’un capitalisme financier caractéristique d’un capitalisme monopoliste d’État. Il n’y a donc pas non plus de relation de type « social-impérialiste » dont la bourgeoisie bureaucratique aurait retiré un bénéfice financier quelconque.

Il y a recherche d’alliance avec d’autres bourgeoisies nationales-bureaucratiques du même type, et cela inclut aussi des rapports de hiérarchie, et même de rivalité, avec la bourgeoisie nationale-bureaucratique maoïste, par exemple. Recherche d’une zone d’influence, également, via le soutien aux luttes de libération nationales, mais cela ne peut pas être assimilé à une forme d’impérialisme, au sens ML du terme.

Il est important de comprendre cela pour pouvoir comprendre la situation actuelle, notamment le rôle actuel de la Russie sous Poutine, et les rapports de forces internationaux.

Luniterre

https://tribunemlreypa.wordpress.com/2018/07/13/la-verite-se-fraye-un-chemin-au-sujet-de-la-chute-de-lurss-les-aveux-de-gorbatchev/

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Se abre paso la verdad sobre la caída de la URSS.

Arthur González

En PJ PDF, sur Radio Habana :

articulo radio habana sobre Gorbatchov

http://www.radiohc.cu/especiales/ex…

Gorbachov confesó durante un discurso en la universidad norteamericana de Turquía :

“El objetivo de mi vida fue la aniquilación del comunismo…mi esposa me apoyó plenamente y lo entendió incluso antes que yo […] para lograrlo logré encontrar compañeros de lucha, entre ellos A.N. Yakovlev y E. A. Shevardnadze”.

Recientemente la CIA desclasificó algunos documentos donde se afirma que “el magnate financiero George Soros y la CIA, ayudaron a Gorbachov a proporcionar la posterior disolución de la URSS.

Sobre ellos el analista y ex empleado de la NSA, Agencia de Seguridad Nacional, Wayne Madsen, afirmó que el multimillonario George Soros, proporcionó en 1987 cobertura económica, al gobierno de Mijaíl Gorbachov, a través de una ONG de la CIA conocida como el Instituto de Estudios de Seguridad Este-Oeste, IEWSS, por sus siglas en inglés.

La información expone que Soros y la CIA promovieron la difusión de dos términos orquestados desde Occidente en aquellos años, la “perestroika” (apertura) y la “glasnost” (transparencia) para que ambas sirvieran como ente desestabilizador en acelerar la desaparición de la URSS.

Esos documentos de la CIA prueban que lo sucedido no fue producto de un acto “espontáneo y democratizador” de Gorbachov, debido a que el sistema socialista estaba “agotado y quebrantado”, como quieren hacerle creer al mundo.

En Turquía el propio Gorbachov afirmó :

“Para lograrlo aproveché mi posición en el Partido y en el país, tuve que sustituir a toda la dirección del PCUS y de la URSS, así como a la dirección de todos los países socialista de Europa”.

La verdad es que fue la CIA con el dinero de la Organización Soro, quien diseñó y ejecutó esa gran operación, con todo el apoyo del entonces líder soviético.

El ex analista Wayne Madsen asegura que el plan diseñado para eliminar el bloque socialista de Europa oriental, fue organizado por dos copresidentes del IEWWS de Soros, Joseph Nye, economista de Harvard, y Withney MacMillan, presidente del agro multinacional Cargill, quien había mantenido relaciones comerciales con la Unión Soviética en los años setenta del siglo XX.

No satisfechos con los resultados alcanzados, en 1991 la CIA y Soros centraron sus esfuerzos en provocar un fuerte golpe en la nueva Federación de Rusia, estimulando el separatismo en sus regiones con el fin de debilitarla al máximo.

El informe de Nye y MacMillan, augura el fin de la Unión Soviética y los elementos del nuevo modelo para las futuras relaciones de Moscú con Estados Unidos, para pasar a la era capitalista, y, según ellos, “cualquier nueva evaluación de las relaciones de Occidente con una Unión Soviética aperturista, tiene que partir de una posición de fuerza en vez de un equilibrio de poder”.

El informe del IEWWS fechado en 1987, y su aplicación práctica, fue una forma incruenta de ir despedazando a la URSS por etapas.

En dicho documento se exhorta a Occidente a tomar ventajas respecto de la agonizante Unión Soviética, en el nuevo mapa geopolítico que se avecinaba, en particular en el Tercer Mundo, un área que hasta entonces había sido de influencia soviética.

Madsen apunta que Soros y sus aliadas organizaciones de “derechos humanos”, trabajaron activamente para destruir la Federación de Rusia, apoyaron los movimientos independentistas en Kuzbass (Siberia), a través de los derechistas alemanes que buscaban restaurar Konigsberg y Prusia Oriental, y estos financiaron a nacionalistas lituanos y de otras repúblicas autónomas y regiones como Tatarstán, Osetia del Norte, Ingushetia, Chechenia, entre otras, con el propósito de estimular el separatismo en las llamadas Repúblicas Autónomas Socialistas Soviéticas.

La actividad injerencista de Soros contra Rusia no se ha detenido, se ha incrementado provocativamente a través de sus bases operativas repartidas en los territorios aledaños, en particular Ucrania, Estonia, Letonia, Lituania, Finlandia, Suecia, Moldavia, Georgia, Azerbaiyán, Turquía, Rumania, Mongolia, Kirguistán, Kazajstán, Tayikistán y Uzbekistán, unido a grupos de corte terroristas en coalición con fascistas ucranianos y neonazis moldavos sionistas.

Recientemente, el presidente ruso Vladimir Putin, expulsó a varias organizaciones de Soros como, la Fundación Open Society Foundation y otras ONG de la CIA que operaban en similares circunstancias en territorio ruso, incluidas la NED (Fundación Nacional para la Democracia), el Instituto Republicano Internacional, la Fundación MacArthur y la Freedom House, considerándolas como indeseables y una amenaza para la seguridad del Estado ruso.

No por gusto Mijaíl Gorbachov fue premiado con el Nobel de la Paz, pues siguió diligentemente las orientaciones de la CIA y de George Soros.

La CIA no descansa y pretende eliminar todo vestigio de socialismo en la tierra, por eso sus planes contra Cuba y ahora en Venezuela, donde nada es casual ni por obra y gracias del espíritu santo, pero como dijo San Juan : 8-32, “Y conoceréis la verdad y la verdad os hará libres”.

Por eso cada día el mundo comprueba de lo que son capaces los yanquis para lograr sus intereses hegemónicos y las mentiras que tejen, creando patrones preconcebidos entre las grandes masas mediante sus campañas de prensa ; de ahí que sabiamente José Martí afirmara :

“Hallar una verdad regocija tanto como ver nacer un hijo”.

https://heraldocubano.wordpress.com…

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’My Ambition was to Liquidate Communism’

Mikhail Gorbachev

My ambition was to liquidate communism, the dictatorship over all the people. Supporting me and urging me on in this mission was my wife, who was of this opinion long before I was. I knew that I could only do this if I was the leading functionary. In this my wife urged me to climb to the top post. While I actually became acquainted with the West, my mind was made up forever. I decided that I must destroy the whole apparatus of the CPSU and the USSR. Also, I must do this in all of the other socialist countries. My ideal is the path of social democracy. Only this system shall benefit all the people. This quest I decided I must fulfil.

I found friends that had the same thoughts as I in Yakovlev and Shevernadze, they all deserve to be thanked for the break-up of the USSR and the defeat of Communism.

World without communism is going to be much better. After year 2000 the world will be much better, because it shall develop and prosper. But there are countries which shall try to struggle against this. China for one. I was in Peking during the time of the protests on Tienanmen Square, where I really thought that Communism in China is going to crash. I sternly demanded of the Chinese leadership that I want to speak to the protesters, but they did not allow me to do so. If Communism would fall in China, all the world would be better off, and on the road to peace.

I wanted to save the USSR, but only under social democracy rule. This I could not do. Yeltsin wanted power, he did not know anything about democracy or what I intended to do. We wanted the democratic USSR to have rights and freedom.

Then Yeltsin broke up the USSR and at that time I was not in the Kremlin, all the newspaper reporters asked me whether I shall cry ? I did not cry, because I really managed to destroy Communism in the USSR, and also in all other European Socialist countries. I did not cry, because I knew that I fulfilled my main aim, that was the defeat of communism in Europe. But you must also know, that communism must be defeated in Asia also, to make the transition quicker to democracy and freedom in the whole world.

The liquidation of the USSR is not beneficial to the USA, since they have now no mighty democratic country (the former USSR) which I wanted to call the Union of Independent Sovereign Republics. I could not accomplish all of this. All the small countries now are thanking the USA for the help. I wanted the USA and the former USSR to be partners without the scourge of Communism, these could have been the ruling countries of the world. The road towards democracy will be a long one, but it is coming very quickly. The whole world must now defeat the last remnants of communism !

This is from an interview by newspapers with Gorbachev in Ankara, Turkey where he was a guest at a seminar at the American University. It was published in the ’Dialog’ newspaper in the Czech Republic. Courtesy : ’Northstar Compass’, Toronto, February, 2000.

http://www.revolutionarydemocracy.o…

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SOURCES SUR TML :

https://tribunemlreypa.wordpress.com/2018/07/13/la-verite-se-fraye-un-chemin-au-sujet-de-la-chute-de-lurss-les-aveux-de-gorbatchev/

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