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Le silence des Églises au N.O.M. de dieu pour les siècles et les siècles ?…

lundi 7 janvier 2019, par jbl1960

NON ! Que la « Parole soit enfin libérée » pour que la vérité vienne sur la Terre ;

Comme au ciel…

Sur ce blog mon dossier complet sur LE SILENCE DES ÉGLISES avec la complicité des États, dans les pensionnats & hôpitaux pour Indiens de 1840 à 1996 au Canada, de 1820 à 1980 aux USA, et partout dans le Monde au N.O.M. de Crimen Sollicitationis y compris en France ! ICI ou

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Pédophilie dans l’Église : les silences du cardinal Barbarin en procès

Publié le dimanche 6 janvier 2019 jour de l’Épiphanie par France Inter

Le procès du cardinal Barbarin et d’autres responsables religieux s’ouvre ce lundi à Lyon. C’est son silence dans l’affaire de pédophilie du père Preynat notamment qui est en cause.

« Je n’ai qu’un seul juge qui est le Seigneur », affirmait récemment, à Lourdes, le cardinal Philippe Barbarin. Lundi, l’archevêque de Lyon doit comparaître devant la justice des hommes, accusé de lui avoir caché le passé pédophile du père Preynat. Avec lui, cinq anciens membres du diocèse, dont l’archevêque d’Auch et l’évêque de Nevers, sont convoqués devant le tribunal correctionnel jusqu’à mercredi pour ne pas avoir dénoncé des agressions sexuelles commises sur de jeunes scouts avant 1991.

Ils sont cités à comparaître pour non-dénonciation d’agressions sexuelles sur mineur. Le préfet du Vatican, poursuivi, ne sera pas présent, le Vatican invoquant son immunité.

Sur le banc des parties civiles, des victimes du Père Preynat, 72 ans, qui ont découvert, adultes, que celui qu’ils accusent de pédophilie était toujours au contact avec des enfants.

Le prélat de 68 ans, en poste à Lyon depuis 2002, incarne en France la crise d’une Église confrontée partout aux déviances des uns et aux silences des autres – que le pape François appelle à rompre tout en soutenant le primat des Gaules quand d’autres réclament sa démission.

Le scandale lyonnais a éclaté en 2015 avec la mise en cause du père Bernard Preynat pour des abus commis un quart de siècle plus tôt. Parce qu’il était au courant de ces agissements anciens, des victimes ont aussi porté plainte contre Mgr Barbarin, estimant qu’il aurait dû lui-même dénoncer le prêtre à la justice. Après six mois d’enquête et dix heures d’interrogatoire du cardinal par la police, le parquet de Lyon a classé l’affaire sans suite à l’été 2016. Mais des plaignants ont lancé depuis une procédure de citation directe devant le tribunal.

Trois d’entre eux ont lancé l’ association La Parole Libérée qui a recensé 85 victimes présumées (les faits sont prescrits pour une majorité). Neuf sont parties civiles à ce procès dont François Devaux, 39 ans.

« Ce n’est pas le procès d’un homme » – le cardinal Barbarin- mais celui d’un système estime immédiatement François Devaux, habitué à ce qu’on l’interroge sur ce face à face attendu au tribunal. « Ce procès c’est la fin d’un combat, un aboutissement » dit François Devaux. Il a fallu effacer la honte pour créer l’association La Parole libérée qui va être mise en sommeil. Il ne reçoit presque plus de menaces mais toujours beaucoup d’appels de victimes. L’Église n’a selon lui pas assez avancé sur la pédophilie « Notre stratégie était d’alerter l’opinion publique et les politiques, on a réussi » poursuit François Devaux et « qu’elle soit l’issue de ce procès, ça ne m’empêchera pas de dormir » ;

Avant même le procès pénal du père Preynat, prévu possiblement pour la fin de l’année, un film de François Ozon va sortir le 20 février le film « Grâce à Dieu ». Il y raconte l’histoire de François Devaux et Alexandre Hesez-Dussot notamment.

Sur Le Pays.fr – Lyon ► Mgr Barbarin devant le tribunal, à partir de lundi 7 janvier 2019

BRÉSIL ► Et rappelez-vous que Jair Bolsonaro a été placé à la tête du Brésil ce 1er janvier 2019, grâce aux représentants de la communauté évangélique : « Le Brésil au-dessus de tout, Dieu au-dessus de tous. » Le slogan choisi par Jair Bolsonaro lors de sa campagne présidentielle, jusqu’à son élection le 28 octobre dernier, laisse présager l’importance de la tribune que le nouveau président, lors de son mandat, entend donner aux représentants religieux. Certains d’entre eux seront au plus près du pouvoir. Ce sera tout particulièrement vrai, bien sûr, de ceux des Églises évangéliques pentecôtistes ► Jair Bolsonaro CONTRE Paulo Freire ; Prêt à servir ses maitres pour les 4 ans qui viennent…

ARGENTINE ► Apostasie collective en Argentine ► Suite au refus de la légalisation de l’avortement, des milliers d’Argentins décident de se faire débaptiser :

Deux semaines après le refus de la loi sur la dépénalisation de l’avortement, un mouvement d’apostasie collective en Argentine prend de l’ampleur. Vendredi, la Coalition argentine pour un Etat laïc (CAEL) a remis à Buenos Aires près de 4000 demandes d’apostasie à la Conférence épiscopale argentine, organisme qui réunit les évêques du pays. « C’est la première vague aussi massive depuis la création de la CAEL en 2009. Nous sommes toutefois limités par nos ressources humaines pour traiter une énorme quantité de dossiers. Mais nous ne sommes pas seuls. D’autres organisations du pays gèrent les demandes », souligne César Rosenstein, cofondateur de la CAEL. Et d’ajouter : « Notre objectif est aussi que l’Eglise efface les données des personnes qui ont rempli les documents d’apostasie. Pour l’instant, elle s’y refuse, ce qui constitue une violation de la loi sur la récolte des données. » « J’ai été licencié 48 heures après avoir annoncé mon apostasie »

Ce combat est partagé par Pao Raffetta, 34 ans, un des pionniers en matière d’apostasie. Aujourd’hui enseignant dans une ONG, il s’est fait débaptiser en 2009, alors qu’il travaillait depuis dix ans dans une école liée aux jésuites. « J’ai été licencié 48 heures après avoir annoncé mon apostasie. J’ai pris ma décision pour deux raisons. D’une part, le refus de l’Église de reconnaître les droits des homosexuels et plus généralement de la communauté LGBT. D’autre part, la complicité de l’Église avec la dictature et les disparitions de bébés. J’ai donc considéré que cette institution ne me représentait pas. Après avoir changé de sexe et de nom en 2016, je me bats pour que l’Église efface toutes les données me concernant », témoigne Pao Raffetta.

De son côté, Emiliano Ramirez, 41 ans, employé au sein du pouvoir judiciaire de Buenos Aires, affirme avoir pris la décision de se séparer de l’Église depuis longtemps. Mais le refus de la loi sur l’avortement a agi comme un déclencheur. « Avec ma femme, nous avons contacté la CAEL et avons trouvé avec cette organisation un moyen de concrétiser notre volonté de quitter l’Église. Comme la majorité des Argentins, nous ne sommes pas des catholiques croyants et n’allons pas à l’église. Nous n’avons aucun lien avec cette institution. Il n’y a donc aucune raison d’en faire partie. D’ailleurs, mon baptême résulte du désir de mes grands-mères, pas de mon propre choix », relève-t-il. Pour lui, le baptême est une question de génération. Ses trois filles ne sont pas baptisées, les enfants de tous ses amis non plus. « La réalité, c’est que la jeune génération ne va pas à l’église », observe Emiliano Ramirez. Toutes les tranches d’âge concernées

Quant à Lau Rameri, psychologue de 33 ans, elle a décidé de se faire baptiser il y a dix ans. « Ma sœur aînée m’a demandé de devenir la marraine de son fils. Mon baptême a été une décision d’amour », raconte-t-elle. Mais les choses ont changé avec le refus de la légalisation de l’avortement. « Avec cette question qui concerne le droit de la femme, je me suis rendu compte du rôle de l’Église. Dans le débat sur l’avortement, sa position constitue une ingérence dans la politique de santé de l’État. L’Église a culpabilisé les femmes et j’ai trouvé cela extrêmement moche, alors que l’avortement clandestin provoque des décès », relève la psychologue. Pour elle, la position de l’Église n’est pas intelligente, elle ne représente pas ses idées. Elle s’est alors retrouvée dans la CAEL, à suivre le slogan de l’apostasie collective « No en mi nombre » (« Pas en mon nom »). « J’ai décidé d’apostasier samedi dernier », confie-t-elle.

Preuve que le mouvement d’apostasie collective concerne toutes les tranches d’âge : Nora Cortiñas, 88 ans, a suivi le mouvement. Symbole de la lutte pour les droits humains en Argentine après avoir perdu son fils durant la dictature, l’octogénaire confie avoir pris sa décision d’apostasier subitement. « Je suis une catholique croyante et je n’avais jamais pensé à l’apostasie. Mais le jour de la votation de la loi sur la légalisation de l’avortement, le cardinal Poli a donné une messe pour qu’elle ne passe pas. C’était un comble pour moi. C’était la goutte qui a fait déborder le vase, alors que des femmes, surtout les pauvres, meurent des suites d’un avortement. L’Église doit être saine, rester discrète. J’accepte qu’elle ne permette pas l’avortement, car c’est son dogme. Mais de là à s’impliquer, non. Cela ne me plaît pas », proteste la cofondatrice de l’association Les Mères de la place de Mai.

Pour César Rosenstein, le mouvement d’apostasie collective se poursuivra ailleurs en Amérique du Sud. Prochainement, assure-t-il, le Pérou, le Chili et l’Équateur suivront l’Argentine.

Source ; Le Temps.ch du 24/08/2018

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Sauf que plus aucune information n’a été relayée sur l’appel à l’apostasie collective !

SILENCE TOTAL !

En France, mon action en débaptisation, qui n’est finalement pas possible, puisque la justice française l’interdit. Seul le reniement de son acte de baptême avec inscription à la marge est autorisé. A conduit à la création par Résistance 71 pour Abolir l’empire : (au) Mouvement pour la répudiation de la doctrine chrétienne de la découverte ;

Et dès que j’ai créée ce blog, j’ai ouvert cette page ; FAIRE TOMBER L’EMPIRE dans laquelle j’explique et prouve comment nous pouvons EFFONDRER l’empire colonial en explosant les bulles papales ; sans arme ni haine ni violence, par apostasie collective TOUS ENSEMBLE & EN MÊME TEMPS et en récusation de la doctrine chrétienne de la découverte.

Cela nous permettra d’enclencher un NOUVEAU PARADIGME, sans dieu ni maitre, sans pour autant empêcher quiconque de pratiquer sa spiritualité en son for intérieur et en lien avec les Natifs et PEUPLES PREMIERS de tous les continents.

Démontrant ainsi notre détermination à rompre définitivement avec le présupposé raciste, eugéniste, ethnocentrique du « l’homme qui n’est pas blanc est inférieur » et sur lequel s’est construit l’Empire et pire cette civilisation occidentale dans laquelle on nous enferme prétendant même qu’il nous est impossible d’en sortir !

Je pense, au contraire, que notre salut et l’avenir de l’Humanité, passe par les peuples occidentaux (nous TOUS) émancipés de l’idéologie et de l’action coloniales, se tenant debout aux côtés, et non plus au-dessus, des peuples autochtones de tous les continents pour instaurer l’harmonie de la société des sociétés sur Terre.

JBL1960

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