Rothschild, il est gentil, oui, parfaitement !
Enregistré sur France 2 le 20 février 2019 au 20 heures
D’après la télé, une banque comme la BNP ne saurait pas ce qu’est une banque centrale ! Comment croire le reste ?
Sachant que Rothschild est le grand maître du sionisme, en ces temps où le pouvoir veut assimiler l’antisionisme à l’antisémitisme, il ne faut s’étonner de rien.
Mais qu’en est-il en réalité ?
Réponse d’Aline :
Bonjour Do,
Ah, le bourrage de cervelle : "Une banque centrale ne sert qu’à imprimer des billets" ! hahaha. La banque de France d’aujourd’hui n’existe que nominalement, il faut parler de la BCE.
Pour comprendre ce qu’est une banque centrale, je crois qu’aucune explication n’est plus éclairante que ce texte + extrait d’une conférence d’Annie Lacroix-Riz : Les banques centrales - sauf celles des pays de l’UE - sont des banques privées qui dépendent de leurs actionnaires.
http://info-resistance.org/economie/banque-de-france-histoire-honteuse/
A la télé, ils se contentent de réfuter l’affirmation sur les Rothschild. En fait, ils ne sont pas totalement "propriétaires" des banques centrales citées. Pas besoin, il suffit qu’ils y aient des participations et surtout, que la monnaie des dits pays soit liée au dollar, où ils sont maîtres. C’est pourquoi l’euro, le rouble ou le yuan fluctuent par rapport à la valeur de la monnaie de la banque privée - la Fed - où les Rothschild anglais sont tout puissants.
Ils sont donc les maîtres des marchés financiers.
Les seules monnaies qui ne sont pas liées au dollar sont celles de l’Iran, de Cuba et de la Corée du Nord parce que les banques centrales de ces pays sont réellement nationales.
Le fonctionnement de la monnaie est une immense toile d’araignée d’une grande complexité et le coeur en est la BRI à Bâle - les gnômes helvétiques. Je prépare un texte sur ce machin, mais le bouquin est en anglais, ça me ralentit.
En conclusion, les nanas de la télé jouent sur les mots. Une demi-vérité est pire qu’un mensonge.
Pour l’instant…
Bien à toi,
Aline
Conférence d’Annie Lacroix-Riz sur son livre
"Le choix de la défaite"