Bourdieu en 2006
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Bourdieu en 2006 : Voyez Ségolène Royal ; pour moi, instantanément, on sait qu’elle n’est pas de gauche. Bon, et bien, Rémy Lenoir, qui est un de mes élèves, a été professeur à l’École Nationale d’Administration ; et il m’a dit : « Elle était à l’école à l’ENA, elle s’est posée la question "Est-ce que je suis de droite ou de gauche ?" en terme de plan de carrière ». Et, elle a choisi la gauche parce qu’à l’époque c’était… elle a très bien choisi ; si elle avait choisi la droite, elle serait pas ministre. Voilà ! Ça, je le savais pas, à l’époque, mais beaucoup de gens le savent. Elle a une manière d’être, une manière de parler, qui vous dit : « Elle est de droite » !
Note de do :
Ségolène est d’une famille de droite, dont certains membres sont des militaires.
C’est son frère qui a posé la bombe au Rainbow Warrior le 10 juillet 1985 ; et, après ça, et elle ose parler de terrorisme en assimilant les Blacks Blocs, et donc leurs sympathisants Gilets Jaunes, à des terroristes. Une vidéo le prouve en bas de l’article.
Aymeric Mantoux, l’un des auteurs du livre "Ségolène Royal, la dame aux deux visages", nous apprend que Ségolène est d’une famille de droite, voire d’extrême-droite ; dont certains membres sont des militaires. D’ailleurs, l’un de ses frères posa la bombe qui détruisit le navire de Greenpeace (le "Rainbow Warrior") dans la nuit du 9 au 10 juillet 1985, peu avant minuit (dénoncé par lalibre.be)
Greanpeace essayait, à cette époque, d’empêcher la fRANCE de faire pêter quelques bombinettes (atomiques) à l’autre bout du monde. Et les services secrets français ont cru neutraliser Greanpeace par cette opération tellement brillante — Rappelons qu’un journaliste portugais, Fernando Pereira, fut tué — que l’État français tenta dans un premier temps d’en attribuer le mérite à l’extrême droite néo-calédonienne, puis finalement aux Anglais ! Car, oui ! l’on alla jusqu’à oser nous prétendre que c’étaient les Anglais qui avaient fait exploser le Rainbow Warrior ! (encore un exemple de terrorisme d’État sous faux drapeau).
À la suite de quoi, la fRANCE dut négocier son pardon (et la libération de ses agents secrets) avec l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Ces petites choses furent obtenues en échange de la levée de l’embargo français sur le mouton néo-zélandais. La fRANCE refusait en effet jusqu’alors que le mouton néo-zélandais soit vendu sur son sol pour cause de radio-activité (due bien entendue aux bombes nucléaires que la fRANCE ne s’est jamais privée de faire pêter dans cette lointaine région chaque fois qu’elle en avait envie). Ce qui fait que depuis cette affaire, c’est-à-dire depuis environ 20 ans, on peut acheter dans nos super-marchés du gigot de mouton radioactif congelé venu de Nouvelle-Zélande. Merci aux bombes atomiques bien de chez nous mais dont les essais sont tellement "sans danger" qu’on les fait pêter à l’autre bout du monde, merci aux services secrets français, et merci à la fRANCE !
Quand "Le Parisien" du vendredi 29 septembre 2006 révéla qu’un frère de Ségolène était salement mouillé dans cette histoire, la Nouvelle-Zélande voulut, dans un premier temps, demander l’extradition de celui-ci afin de relancer l’affaire ; mais elle y renonça très vite. Sans doute la fRANCE la menaça-t-elle d’appliquer à nouveau un total embargo sur ses gigots radioactifs… Car c’est ça, la diplomatie, au cas ou vous ne le sauriez pas.
Vous me direz que Ségolène n’a rien à voir avec cette histoire, à part qu’elle provient tout de même d’un milieu sacrément louche pour une personne qui veut faire croire qu’elle est "de gauche". D’ailleurs, Aymeric Mantoux dénonce non seulement que Ségo provient d’une famille très à droite, mais aussi qu’elle essaie de cacher que son prénom officiel n’est pas Ségolène, mais Marie-Ségolène. Après avoir remarqué avec Aymeric Mantoux que Ségolène cherche à se donner une image de Sainte Vierge, on comprend que, par peur du ridicule, cette prétendue "madonne" veuille cacher qu’elle s’appelle Marie. Ne l’appelons donc pas Sainte Marie, mais Sainte Ségolène.
Voyons maintenant, dans un extrait d’une émission de Zalea TV, ce que Bourdieu pense de Sainte Ségolène :
http://kalachnikov.org/ag/1059/Bour…
(C’est la vidéo en streaming ci-dessus)
Il dit :
Voyez Ségolène Royal ; pour moi, instantanément, on sait qu’elle n’est pas de gauche. Bon, et bien, Rémy Lenoir, qui est un de mes élèves, a été professeur à l’École Nationale d’Administration ; et il m’a dit : « Elle était à l’école à l’ENA, elle s’est posée la question "Est-ce que je suis de droite ou de gauche ?" en terme de plan de carrière ». Et, elle a choisi la gauche parce qu’à l’époque c’était… elle a très bien choisi ; si elle avait choisi la droite, elle serait pas ministre. Voilà ! Ça, je le savais pas, à l’époque, mais beaucoup de gens le savent. Elle a une manière d’être, une manière de parler, qui vous dit : « Elle est de droite » !
Et pour compléter Bourdieu, voici une info très importante :
Résumé : anne-marie s’est présentée aux élections, elle a rencontré un candidat qui lui a dit qu’il aurait préféré concourir pour les Verts, mais que la place étant prise, il avait été obligé de se présenter pour le FN !
Comme quoi les personnes qui font carrière dans la politique ne choisissent pas forcément leur parti en fonction de leurs idées !