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Affaire Richard Ferrand - 31 mai 2017 - Macron ordonne à la presse de fermer sa gueule

mercredi 31 mai 2017, par do

Après avoir viré Pujadas,
Macron ordonne à la presse de fermer sa gueule !

Bonjour à toutes et à tous,

Le mythe de l’honnêteté sans reproche du gouvernement Macron, c’est déjà fini !

Aussi, Macron ordonne-t-il à la presse de fermer sa gueule !

"On" nous avait dit que si Macron avait retardé d’un jour la nomination de son gouvernement, c’était seulement pour s’assurer de la probité de ses ministres. C’était évidemment une explication bidon. Aujourd’hui, on le voit bien : Il y a l’affaire Richard Ferrand, il y a aussi l’affaire Sarnez ; et, en plus, vient de se rajouter un problème d’indépendance de la justice puisque Bayrou, garde des sceaux, c’est-à-dire ministre de la prétendue "justice", a envoyé des tweets pour soutenir Sarnez ! Et, après s’être rendu compte qu’il s’était ainsi dénoncé lui-même, Bayrou a trafiqué son compte tweeter en remplaçant sa dénomination "ministre de la justice" par "maire de Pau". C’est-à-dire qu’en plus il nous prend vraiment pour des cons. Si la prétendue "justice" est aussi indépendante que ce genre de tweets et de traficage le laisse entendre, il n’est en rien étonnant qu’aucune information judiciaire n’ait été ordonnée à l’encontre de Richard Ferrand !

Le mythe de l’honnêteté sans reproche du gouvernement Macron, c’est déjà fini !

Aussi, Macron ordonne-t-il à la presse de fermer sa gueule ! ainsi je viens d’entendre à France-Info (31 mai 2017 vers 15 heures) que Macron avait officiellement pris la parole pour demander aux journalistes de ne pas se comporter en juges !

Bien à vous,
do
31 mai 2017
http://mai68.org


Le communiqué de Marielle de Sarnez, dans lequel elle développe sa défense, a été retweeté par le compte personnel de François Bayrou. Emoi dans la magistrature.

http://www.leparisien.fr/politique/…

30 mai 2017

Jean-michel Decugis et Eric Pelletier

Le compte personnel de François Bayrou, qui compte 610 000 abonnés, a liké et retweeté (voire capture ci-dessous) dans la nuit de lundi à mardi le communiqué que venait de rendre public Marielle de Sarnez. Cette initiative, destinée à soutenir son ancien bras droit au Modem, par ailleurs ministre des Affaires européennes dans le même gouvernement que lui, crée l’émoi dans les rangs de la magistrature. Venant du ministre de la Justice, celle-ci pourrait en effet être interprétée comme une forme de pression sur les magistrats chargés d’enquêter.

Comme 18 autres députés ou ex-députés européens, Marielle de Sarnez est visée par une enquête préliminaire portant sur l’emploi d’un collaborateur au Parlement européen. Elle dément toute infraction. C’est d’ailleurs tout le sens de son communiqué de la nuit dernière, qui détaille les arguments de sa défense.

Interrogé sur la raison pour laquelle le communiqué a été relayé presque en temps réel sur le compte personnel de François Bayrou, le cabinet du garde des Sceaux précise « qu’il s’agit de son compte personnel » et non pas de celui du ministre et « qu’il n’y a aucune critique concernant la Justice ». La mention « Garde des Sceaux » a été effacée de ce compte qui ne retient que la qualité de « maire de Pau » de François Bayrou.

Le syndicat FO magistrats, pour sa part, s’interroge : « Comment interpréter le fait que le Garde des Sceaux, qui s’est abstenu de tout commentaire dans l’affaire Ferrand au nom de l’indépendance de la Justice, tweete en faveur d’une collègue ministre alors qu’elle est sur le point de lancer une procédure judiciaire ? »


Pour défendre de Sarnez, sur Twitter, Bayrou n’est plus ministre de la Justice

http://www.lexpress.fr/actualite/po…

Par LEXPRESS.fr , publié le 31/05/2017 à 10:44 , mis à jour à 10:51

La mention "garde des Sceaux" a disparu du compte Twitter de François Bayrou après son retweet de son bras droit, Marielle de Sarnez. Car selon son cabinet, il s’agit de son compte personnel et non celui du ministre.

Un tweet qui passe mal. Mardi, François Bayrou a provoqué la colère des magistrats en retweetant et likant avec son compte Twitter le message de défense de Marielle de Sarnez, visée avec 18 autres eurodéputés par une enquête préliminaire. Une forme de soutien dans une affaire judiciaire, inappropriée de la part d’un garde des Sceaux, selon les syndicats.

Surement pas un hasard, pendant la nuit de mardi à mercredi, la biographie Twitter du président du Modem a été modifiée. Les mentions "ministre d’État, garde des Sceaux, ministre de la Justice" y ont disparu. Ne reste plus que la mention "maire de Pau".

"Il n’y a aucune critique concernant la Justice"

Selon le cabinet du ministre, qui a réagi auprès du Parisien, "il s’agit de son compte personnel", et non pas celui du ministre. "Il n’y a aucune critique concernant la Justice", assurent ses collaborateurs.

Pour retrouver les tweets officiels de François Bayrou-garde des Sceaux, il faudra désormais se référer au compte du ministère de la Justice.

Invitée d’Europe 1 ce mercredi, Marielle de Sarnez a également défendu le procédé. "François Bayrou c’est aussi un homme public, c’est aussi un homme politique, c’est aussi un citoyen et il a le droit de s’exprimer sur Twitter en tant que tel".


Macron : « les choses ne vont pas forcément bien quand la presse devient juge »

Macron exige la solidarité de ses ministres sur le cas Ferrand

http://fr.reuters.com/article/topNews/idFRKBN18R0SV-OFRTP?sp=true

Mercredi 31 mai 2017 15h00

Le ministre de la Cohésion des territoires, Richard Ferrand, mis sous pression par des informations sur ses activités passées à la tête des Mutuelles de Bretagne et comme député, a déclaré mercredi qu’il n’entendait pas démissionner. /Photo prise le 10 avril 2017/ REUTERS/Philippe Wojazer

PARIS (Reuters) - Emmanuel Macron a pressé mercredi le gouvernement d’être solidaire face aux difficultés rencontrées par Richard Ferrand et de faire le tri entre le grain et "l’avanie", soulignant que seule la justice pouvait dire ce qui constituait "une affaire".

Le ministre de la Cohésion des territoires est mis sous pression depuis dix jours par des informations sur ses activités passées à la tête des Mutuelles de Bretagne et comme député.

Ce fidèle de la première heure du chef de l’Etat, qui a reçu mardi soir le soutien du Premier ministre, Edouard Philippe, a indiqué mercredi matin sur France Inter qu’il n’avait pas l’intention de démissionner.

Face à ce qui est considérée comme la première épreuve du quinquennat, Emmanuel Macron a tenu lors du conseil des ministres "à appeler à la solidarité, à la responsabilité au sein du conseil des ministres, à faire le tri en le grain et l’ivraie voire quelquefois l’avanie", a fait savoir le porte-parole du gouvernement, Christophe Castaner.

Emmanuel Macron a ajouté que "seule la justice dans ce pays est habilitée à décider ce qui relève d’une affaire, donc d’une instruction, d’une enquête", a-t-il poursuivi lors du compte rendu du conseil.

L’exécutif ne doit jamais "gêner une quelconque procédure", a dit le chef de l’Etat, en ajoutant que "les choses ne vont pas forcément bien quand la presse devient juge", a-t-il ajouté.

Le Parquet national financier et le parquet de Brest ont jusqu’à présent refusé d’ouvrir une enquête sur des faits qui, selon eux, ne le justifient pas.

Au coeur de la polémique éclaboussant le ministre de la Cohésion des territoires, la création d’une société civile immobilière (SCI) qui a permis à la compagne de Richard Ferrand, Sandrine Doucen d’acquérir à bon compte des locaux loués par les Mutuelles de Bretagne quand il les dirigeait.

Le Monde a pour sa part décrit mardi ce qu’il a présenté comme le "système Ferrand", "mélange des genres entre intérêts publics et privés" sur 20 ans.

LE DOUTE, "POISON DE LA DÉMOCRATIE"

Prié de dire s’il avait proposé au chef de l’Etat de se retirer, l’ancien député socialiste a répondu à France Inter :

"Je ne le ferai pas pour deux raisons : d’abord j’ai ma conscience pour moi, je ne suis pas mis en cause par la justice de la République (…) Et puis j’ai une mission très importante, celle de la cohésion des territoires."

Sept Français sur dix jugent que Richard Ferrand, devrait démissionner, selon un sondage Harris Interactive pour RMC et Atlantico.

"Je comprends que petit à petit le doute a été créé et le doute c’est un poison, la suspicion c’est un poison de la démocratie et c’est normal que les Française et les Français s’interrogent", a déclaré Richard Ferrand.

Il a dit vouloir répondre aux interrogations des Français, dont il a admis qu’ils pouvaient être "déçus" après les promesses de moralisation de la vie publique faites par Emmanuel Macron pendant la campagne de l’élection présidentielle.

"Je ne suis pas un faux-cul, je sais qu’il faut répondre aux questions des Françaises et des Français", a-t-il déclaré.

"Ce que je lis (…) laisse apparaître des soupçons de duplicité, de vénalité et donc cela peut créer de la déception", a-t-il poursuivi. Mais "nous n’avons rien trahi."

S’il s’est abrité derrière le fait que la justice n’ait pas trouvé jusqu’ici matière à enquêter dans les informations publiées par la presse, il a néanmoins dit que, "par définition, il n’y a que la justice qui puisse lever le soupçon".

Le ministre a toutefois ajouté : "Tout ce que j’ai fait dans ma vie professionnelle est légal, public, transparent (…) Je suis un homme honnête." Et il a dit vouloir désormais se consacrer aux priorités de son ministère.

L’association Front républicain d’intervention contre la corruption a annoncé son intention de déposer une plainte en début de semaine prochaine auprès du procureur de Brest, pour délit d’entrave aux fonctions de commissaire aux comptes.

"Elle estime que les Mutuelles de Bretagne et leur directeur de l’époque Richard Ferrand auraient dû faire valider le montage immobilier permettant à la SCI de sa compagne de louer un local au réseau mutualiste par les commissaire aux comptes, ce qui n’a pas été le cas", écrit-elle sur son site internet.

(Jean-Baptiste Vey, Marine Pennetier et Emmanuel Jarry, édité par Yves Clarisse)

Pujadas s’est virer parce qu’il a dénoncé que Macron travaille pour Rothschild

La VRAIE raison pour laquelle Pujadas s’est virer,

C’est qu’il a dénoncé que Macron travaille pour Rothschild !

Macron ne travaille pas pour la France, mais pour Rothschild !

Voici la preuve :

http://mai68.org/spip/spip.php?article7834

2 Messages de forum

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