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Le capitalisme contre l’écologie

mercredi 15 mai 2019, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 15 mai 2019).

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7 Messages de forum

  • Mythème de l’urgence des temps = hystérie urgentiste = apocalypse de Saint Jean l’évangéliste !

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    • Le capitalisme contre l’écologie 18 mai 2019 03:56, par Dominique

      Tu te trompes d’évangile. Celui des temps modernes, c’est-à-dire celui de la civilisation industrielle de consommation, d’exploitation et de destruction de masse, c’est la publicité. Il a un message unique qui tient en deux mots : "Consommez plus !". Quand a sa conséquence elle tient en trois mots : "Niquons la planète !". On a pas trouvé mieux pour cela, la dernière mode techno-industrielle est de tout repeindre en vert, new green deal, greenwashing planétaire, panneaux solaires pour tous, turbines géantes pour les poissons, plantations d’arbre OGM à tout va, animaux en plastic dans les zoos, à non là je retarde, le plastic c’est ringard, vive la réalité virtuelle en 5G, faut bien que les panneaux solaires, les éoliennes et les turbines qui ne remplacent (et ne remplaceront jamais) ni le pétrole ni le nucléaire servent à quelque chose.

      Mes biens chers frères, mes bien chères soeurs, n’oubliez pas de regarder votre quart d’heure journalier de publicité ! Aucun écart ne sera toléré ! Allez les verts ! On va la niquer jusqu’au trognon ! jusqu’à l’os !

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      • Bof ! Pas mobilisateurs, ces propos "fin du monde" + "urgence des temps", puent la morale et l’apocalypse du Saint Jean l’évangéliste. C’est surtout la petite bourgeoisie qui, à travers l’écologisme, rêve de diriger "la révolution qui vient" et de niquer le prolétariat. Alors j’espère que le grand capital va, comme d’habitude, paupériser et marginaliser cette petite bourgeoisie arrogante et fascisante, ces vegans de mes c…, ces petits marquis qui affichent un rictus méprisant lorsqu’ils prononcent le mot industrie, ces donneurs de leçons qui finissent chez Macron (Hulot, de Rugy aujourd’hui, Jadot et Barrau demain).

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        • Le capitalisme contre l’écologie 18 mai 2019 18:44, par Qui êtes-vous ? Moi

          Suis-je rien.

          Suis-je un salaire, un emploi, un travail, une statistique, un argument, une digression, un chiffre, un troll sociétal, rien …?
          Je suis pauvre, je suis au RSA 461,26 € / mois ( à chacun s’il le souhaite d’annoncer la couleur !) et je m’en fout d’apparaître ou de disparaître sur les tablettes de Pôle Emploi, je ne suis pas un chiffre, un pourcentage, une courbe pour rassurer les ménages de la qualité de leur consommation. J’en ai ras le bol depuis que je suis né qu’on me dise de droite comme de gauche que le travail c’est comme ça, c’est normal, c’est la santé, c’est la vie .

          Si vous avez pris votre pied, du plaisir ou même pourquoi pas joui pendant vos journées de travail et bien tant mieux pour vous ! Mais cela n’est pas le cas de tout le monde, pour ma part, je considère avoir été violé dans mon intégrité physique ( 4 fois sur le billard ) et mental ( la tête dans la pharmacie ). Et arrêtez SVP avec vos discours culpabilisateurs, ah ! Le travail c’est noble, c’est sacré, à prier sur le même refrain que les patrons en chefs de chorales, appuyés aux chœurs par de trop nombreux prolétaires aussi bien de droite qu’hélas de gauche, voir plus… Et pourquoi pas pousser la morale de la gloire du travail sur un l’hymne, du genre : Le travail rend libre d’Auschwitz à Dachau, bon titre, non ?

          J’ai bossé assez longtemps en usine comme manœuvre ou ouvrier pour connaître la mentalité et l’état des lieux qui s’en dégage. La servitude, la concurrence entre les ouvriers , petits chefs , plus grands chefs , chefs de chefs , patrons , et travail / famille / patrie qui finit par avilir toutes personnes dans une collaboration coercitive à l’encontre de tous contre tous , c’est à vomir ou à se suicider ( eh oui ! Cela arrive, malheureusement )

          Vous pensez peut être que les ouvrières chinoises sont heureuses que les manœuvres, manutentionnaires du Vietnam, du Bangladesh ou les techniciens high-tech ultra-compétitifs, sélectionnés depuis leurs naissances de la Corée du sud sont heureux ? Non, c’est de l’esclavage, le travail, le salariat, l’employabilité ou peut importe comment vous le nommez cela reste toujours de l’esclavage. Le travail est subi contre son gré, ses propres envies, ses aspirations, géré par et dans la peur, la crainte, la violence et le chantage à ne pas crever de faim par plus de la majorité de la population mondiale qui d’ailleurs reste quoi qu’il en soit toujours pauvre.

          Si vous aimez le travail, commencez donc par envoyer vos propres enfants en première ligne se défoncer le dos, les tripes, patauger dans la merde chimique ou travailler à la chaîne ou au grand air sous une pluie battante, dans un froid glacial ou sous un soleil de plomb en pleine canicule ou dans d’immenses chambres froides ou devant d’immense fours qui d’ année en année vous assèche les entrailles et apprenez, bien à dire : Merci, en courbant le dos , en baisant les yeux . Allez, allez, allez, envoyer vos enfants et voyez par vous même si dans 10 ou 20 ans ils seront heureux ou mort d’un cancer .

          Le travail c’est le poison rampant de notre civilisation basé sur la fabrication d’une multitudes d’objets d’inutiles à indispensables suivant les goûts de chacun mais ceux qui les fabrique sont les moins payé, les moins considéré, les damnés, les condamnés d’avances, les sacrifiés. L’usine, c’est la soumission, la mort, Non à la guerre, Non au travail, travail je te hais.

          La mutation de la technologie entraîne une mutation de la société ou devait le faire, il suffit de regarder les changements apparus depuis 35 ans, robotique, informatique, numérique, etc… L’homme à marché sur la lune mais la condition humaine est restée coincée sous le regard inquisiteur du travail de la première « révolution » industrielle. Donc :
          => En finir avec le patronat, l’actionnariat suceur de sang de l’humanité et leur fameux sans nous vous êtes rien, alors que sans eux nous sommes tout.
          => Redistribution des richesses acquisses par la productivité des robots numériques en évolution constante et rapide aux peuples. Pour en finir avec la condition, salariat / esclavage ( ou son déni ), l’asservissement, le conditionnement psychologique, physique du prolétariat et le chantage à l’encontre de nos vies du type, « gagner sa vie » comme si vivre cela se mérité par le fait de souffrir ou de se battre .

          L’homme ou la femme n’ont pas inventé la charrue pour devenir son tracteur ou la roue pour devenir son pneu. 

          Devant les « grands » penseurs actuellement en ligne qui bien évidement trouveront ce texte puéril (mais qui jamais n’ont mis leur propre vie en usines). 
          Je citerai Che Guevara puisqu’il faut anoblir sa pensée avec des personnages historiques morts de préférence quand on est rien :
          Soyez surtout capables de ressentir, au plus profond de vous-mêmes, toute injustice commise contre quiconque en quelque partie du monde. C’est la plus belle vertu d’un révolutionnaire. 
          Et j’ose parole de sous-prolétaire, c’est la plus belle vertu d’un humain.

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        • Le capitalisme contre l’écologie 18 mai 2019 20:10, par Qui êtes-vous ? Moi

          Acte 27 : « Macron dirige la France comme une entreprise. Le dialogue n’existe pas » (3:40)
          https://www.youtube.com/watch?v=WnS…

          Et l’industrie c’est quoi sinon des entreprises ou le prolétaire doit produire et fermer sa gueule.
          L’industrie porte en elle l’autoritarisme puis le fascisme .
          Sans l’industrie est son aliénation est-ce qu’il aurait eu la 1er et 2e guerre mondiale.

          Il faut détruire le mythe de l’industrie " pseudo avant garde de la modernité" mais bien unidirectionnelle de mort physique et créative. il faut redonner aux ouvriers (le prolétariat subordonné actuel) par l’autogestion toute la place créative qui leur a été volé, spolié, détourné depuis la révolution industrielle.

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          • Dans les pays peu ou mal industrialisés, la situation est pire que dans les grands pays industrialisés depuis longtemps. Famine + privations + dictature + religion et traditions débiles + allégeances multiples sont des réalités que seul le mouvement ouvrier et ses expressions politiques peuvent affaiblir.
            On constate d’ailleurs que l’actuelle désindustrialisation, en France et en Angleterre par exemple, permet des atteintes aux libertés politiques et syndicales qui auraient été difficiles à imposer face à 35 % d’ouvriers industriels dans la population active !

            Le despotisme de fabrique existe moins souvent et moins fortement dans les grands groupe industriels que dans les PME / TPE, et il ne revient en force, comme le montre l’affaire des suicides chez France Télécom, que depuis la disparition du syndicalisme de classe et des communismes vérolés par l’écosocialisme et toutes les niaiseries petites bourgeoises.

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  • Ce texte est RELIGIEUX ! Les "équilibres naturels" n’existent pas, ils sont une croyance. La nature obéit passivement aux lois de la physique d’abord, de la chimie ensuite, puis de la biologie. Donc elle est en perpétuelles transformations, elle s’auto détruit et se reconstruit en permanence, à petite échelle ou a grande échelle. NB : l’irruption des volcans LAKI en 1783 a provoqué une modification totale des écosystèmes bien plus grave que les pires infamies de l’agriculture FNSEA ! Et une explosion type Yellowstone il y a 640000 ans serait bien pire ! La dérive des continents détruira la mer Méditerranée dans 2 millions d’années. Les dinosaures ont disparu 3 fois, 2 fois partiellement à cause de phénomènes terrestres et 1 fois totalement à cause d’un météorite géo croiseur …etc.

    Ce n’est pas une excuse valable pour balancer de la dioxine et des déchets radio actifs dans la lac du Salagou, c’est évident. Je m’excuse de truisme qui devance les imprécations des géo idolâtres choqués par mes blasphèmes contre leur déesse Gé !

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