Greta Thunberg est un spectacle au sens de Debord
Ce spectacle a pour but de nous faire croire que le pouvoir fait quelque chose contre le réchauffement climatique, alors qu’il ne fait rien.
Dès le début des années 1970, je redistribuais des tracts dénonçant le réchauffement climatique. À l’époque, c’étaient de vrais écolos qui les écrivaient, ces tracts. C’est-à-dire des écolos qui ne se présentaient pas aux élections.
Mais ces écolos passaient pour de doux dingues dans les médias, qui prétendaient même que les scientifiques prévoyaient un refroidissement climatique pour des causes astronomiques liées soleil.
Aujourd’hui, presque 50 ans après, on voit ce qu’on voit. Le réchauffement climatique est bel et bien là, et le pouvoir est bien obligé de faire semblant de s’en préoccuper. Mais le pouvoir n’a pas changé, il ne s’occupe que de ses intérêts financiers, et veut continuer à régner sur la fin du monde.
Il y a cinquante ans, on disait aussi : « Actifs aujourd’hui ou radioactifs demain ». Mais le "demain" d’hier, c’est aujourd’hui. Et on a vu divers Three Miles Island, Tchernobyl, Fukushima… qui ne sont qu’un tout petit avant goût de ce qui nous attend.
D’autant plus que le réchauffement climatique sert aujourd’hui à justifier les centrales nucléaires (voitures électriques). Et ce, même auprès des écolos d’aujourd’hui, qui, se présentant aux élections, et étant malheureusement élus, sont devenus de répugnants crétins au point d’avoir voté massivement pour le nucléaire lors du sommet de Copenhague en 2009.
Il y a cinquante ans environ, les vrais écolos, qui n’étaient ni de doux dingues ni des idiots, présentaient la seule solution viable à long terme pour éviter tous les désagréments écologiques à venir : Il fallait arrêter de se reproduire comme des lapins.
Fidel Castro, quand il est arrivé au pouvoir à Cuba en 1959, a expliqué aux Cubains qu’il fallait arrêter de faire des gosses à qui mieux mieux, parce que sinon, Bientôt, l’île ne pourrait plus nourrir tout le monde. Surtout avec l’embargo américain. À l’époque, il y avait 6 millions d’habitants à Cuba, en 1994 quand je m’y suis rendu, il y en avait déjà 11 millions. Ce qui prouve que les gens sont idiots. Ce qui prouve aussi que Fidel n’était pas un dictateur puisqu’il n’a pas imposé sa politique de natalité, il s’est contenté de l’expliquer, et de tenter de convaincre. Échec.
La Chine, elle, a pratiqué effectivement une politique de l’enfant unique à partir de 1979. Mais, voyant que son exemple n’était suivi nulle part, elle y a renoncé il y a peu (en 2015). Car, si le "croissez et multipliez" est une doctrine fort courante, c’est parce que la vraie richesse ne se mesure ni en dollars, ni en Euros, ni en Yuans, mais en nombre d’esclaves.
C’est d’ailleurs pourquoi le pouvoir n’a de cesse en Occident et maintenant partout, même en Chine, de faire de la propagande pour faire des gosses. Des gosses, toujours plus de gosses, des gosses obtenus naturellement, des gosses obtenus par FIV, des gosses même pour les homosexuels, etc. Des gosses, des gosses, des gosses…
Seulement voilà, toujours plus de gosses, c’est toujours plus de rejets de CO2. C’est toujours plus de dérèglement climatique. C’est pourquoi je dis que Greta thunberg n’est qu’un spectacle destiné à nous tromper sur le vrai but du pouvoir, qui est tout simplement de se maintenir, même pendant la fin du monde.
Les problèmes écologiques sont loin de se limiter au climat, contrairement à ce que cherche aussi à faire croire le spectacle de la petite fille qui louche. Mais, toujours, l’énorme surpopulation est là pour les faire apparaître et les aggraver.