mercredi 27 novembre 2019, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 27 novembre 2019).
Le pouvoir protège ses chiens ; s’ils s’en vont, il est seul, même s’il a les banquiers et les industriels avec lui. Reste l’armée, mais lui demander de tirer sur la foule, c’est risqué. Tout ce merdier ne tient que par la peur.