Do a déjà commis un article irrévérencieux pour nous expliquer que la surproduction électrique nécessaire pour recharger ces casseroles à roulettes rendra indispensable la survie des centrales nucléaires. Il est donc suffisant de rappeler ça ici… Mais aussi quelques autres données presque aussi importantes :
1/ La voiture écolo, c’est celle qu’on ne fabrique pas. Il est donc débile de persécuter les géniaux bricoleurs qui font survivre les 2cv Citroën, les 203 Peugeot et même les BUICK riviera 1973. Lorsqu’elle commence à rouler, une bagnole neuve a déjà pollué 80% de ce qu’elle polluera…
2/ Actuellement le lithium est extrait des lacs asséchés et salés de Colombie, il faut aller chercher le lithium au fond de la strate de sel, ensuite il faut le transporter avec des cargos panaméens qui polluent comme 55 millions de bagnoles, puis il faut le transformer en lithium-ion. Il y a de vastes réserves de sel, et donc de lithium, au fond de la méditerranée qui tôt ou tard seront exploités par des plateformes de forage.
3/ Les moteurs électriques sont complexes et la gestion informatisée du véhicule, débile mais hyper technologique, suppose aussi une production massive de métaux - rares ou pas - et de composants chimiques pas toujours réutilisables.
4/ Ces véhicules imbéciles ne serviront qu’à aller au boulot ou au supermarché, donc, pour les loisirs ou pour les vacances les salariés utiliseront massivement les avions. Pour aller acheter des cigarettes, de l’alcool et des médicaments sans ordonnance (voltarene par exemple) et des réserves d’anchois…etc…à La JONQUERA, ils utiliseront des autobus au diesel hyper polluants qui existeront encore très longtemps.
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