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Des faux steak, des faux poulet, des faux codes, etc. Nous sommes bien dans la société de l’arnaque !

mardi 18 février 2020, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 18 février 2020).

Certes, nous ne savions pas que la société suisse Crypto AG avait permis à la CIA d’espionner 120 pays pendant quarante ans en faisant semblant de vendre des codes sûrs mais qui étaient décryptables par les services secrets américains. C’étaient des faux codes.

Mais, nous savons très bien que les "poulets végétaux" sont des faux poulets et les "steak végétaux" des faux steaks. Cependant, nous acceptons à tord de les appeler "poulets" et "steaks".

C’est le phénomène de la double-pensée telle que la décrit Orwell dans son 1984 : nous savons au moins partiellement que ce que nous vivons est faux ; mais, nous faisons semblant que ce soit quand même vrai. Ainsi les faux steaks sont appelés quand même "steaks", et les faux poulets "poulets".

Nous savons vaguement que nous vivons dans la société de l’arnaque ; mais, refusons d’en prendre vraiment conscience. La conscience que nous en avons n’est pas vraie : c’est de la fausse conscience.

Aujourd’hui, tout est faux !

C’est le bon moment pour citer une phrase célèbre de La société du spectacle que Guy Debord publia l’année précédant mai 68 : « Dans le monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux »

L’arnaque, stade suprême de la société spectaculaire marchande :

http://mai68.org/spip/spip.php?article11966


Les faux steaks alimentent l’euphorie végane

https://www.letemps.ch/economie/fau…

Rachel Richterich

Publié mardi 18 juin 2019 à 21:29
Modifié mardi 18 juin 2019 à 21:30

Le cours en bourse d Beyond Meat et de ses faux burgers flambe. Le potentiel de marché de ces derniers est évalué à 7,5 milliards de dollars d’ici à 2025, contre 4,2 milliards aujourd’hui. — Drew Angerer/Getty Images/AFP

Avec un potentiel commercial évalué à 10 milliards de dollars au cours de la prochaine décennie, les substituts de viande végétaux suscitent l’intérêt des investisseurs. Mais leur prix en bourse est surévalué, estiment les analystes

Alors que les premiers parfums de grillades s’échappent des balcons et jardins, le véganisme aiguise plus que jamais l’appétit des investisseurs. Il n’y a qu’à observer la performance en bourse du plus célèbre des spécialistes du steak végétal, l’américain Beyond Meat, dont l’action a gagné près de 600% (à 170 dollars) par rapport à son prix initial, lors de son entrée au Nasdaq le mois dernier (25 dollars).

« C’est la première société cotée purement orientée dans le développement d’alternatives végétales à la viande. Et ce sous forme de produit fini. D’où son attrait », résume Vincent-Frédéric Mivelaz, analyste chez Swissquote.

Alléché, le géant vaudois de l’alimentation Nestlé laissait entendre la semaine passée que son partenariat pour l’élaboration du Big Mac végane de McDonald’s pourrait être étendu au-delà des frontières de l’Allemagne – dans la foulée, les titres des deux multinationales ont gagné quelques points de pourcentage en bourse. Idem pour le premier producteur de viande américain, Tyson Foods, qui annonçait il y a quelques jours le lancement de ses nuggets végétaux.

Un marché juteux

Après les spécialistes du produit fini, les analystes s’attendent à ce que cet engouement pour les protéines végétales profite à d’autres acteurs de l’agroalimentaire. Notamment les producteurs de céréales (colza, soja, etc.) et les négociants en matières premières.

Le faux steak s’annonce juteux, avec un potentiel de marché évalué à 7,5 milliards de dollars d’ici à 2025, contre 4,2 milliards aujourd’hui, selon une étude de Bank of America Merrill Lynch. Selon son équipe de recherche, le scénario est d’autant plus plausible que « les coûts des produits de nouvelle génération, comme la viande cultivée en laboratoire, ont chuté de 99,7% ces six dernières années ».

L’institut de recherche Euromonitor, lui, avance le chiffre de 10 milliards sur le long terme, estimant que les substituts de viande pourraient suivre le même scénario que les alternatives végétales au lait (13% de parts de marché aujourd’hui).

En parallèle, les modes de consommation changent : « Les problèmes de santé liés à la consommation de viande rouge et transformée coûtent 285 milliards de francs chaque année », souligne encore Bank of America Merrill Lynch, citant une étude publiée l’an passé par l’Université d’Oxford. Des données qui favorisent le flexitarisme, note la banque américaine, soit une consommation de viande limitée.

Produit de niche

Vincent-Frédéric Mivelaz, de Swissquote, tempère toutefois cet enthousiasme, appelant à ne pas surestimer ce potentiel : « Ces alternatives végétales à la viande restent un produit de niche qui s’adresse à une clientèle aisée dans les pays développés. » Si, en Suisse, la consommation de viande tend à baisser – de 3% par habitant en 2018, selon l’Office fédéral de l’agriculture (OFAG) –, au niveau mondial son commerce progresse, porté par les pays émergents, selon la FAO (agence onusienne pour l’alimentation et l’agriculture).

Par ailleurs, à titre indicatif, le prix d’une barquette de steaks végétariens flirte avec les 10 francs en supermarché, soit près du double de celle de steaks hachés à la viande. De quoi potentiellement rendre ses lettres de noblesse à la salade de pois chiches ou de lentilles.

L’euphorie sur les marchés est ainsi appelée à se poursuivre : « Dans un contexte de taux bas, la quête de rendement pousse les investisseurs à prendre davantage de risques », note encore l’analyste de Swissquote. Avec pour corollaire la menace d’importantes corrections, à court terme, de l’ordre de 30%, comme cela a été le cas la semaine dernière, après que la banque d’affaires américaine JPMorgan eut jugé le prix de l’action de Beyond Meat trop élevé.

Le titre avait aussitôt chuté de 25%. Un accident de parcours qui n’a pas découragé son concurrent, Impossible Foods, qui s’apprêterait lui aussi à faire son entrée sur les marchés.


Le faux poulet à la conquête des omnivores

https://www.letemps.ch/suisse/faux-…

Céline Zünd

Publié dimanche 16 février 2020 à 17:41
Modifié dimanche 16 février 2020 à 17:42

La start-up Planted Food fabrique un simili-poulet à base de protéines et de fibres de pois jaunes, d’huile de colza et d’eau. — Annick Ramp

La start-up zurichoise Planted Chicken a développé une imitation de volaille à base de pois jaunes, adoptée par une centaine de restaurants et vendue en grande surface

Votre poulet, vous le préférez avec ou sans viande ? Au Banh Mi, petite échoppe vietnamienne à Zurich, vous pourriez vous voir confronté à ce choix vertigineux. On y croise, à midi, une foule oscillant entre émincé de volaille, bœuf haché, tofu et Planted Chicken. Planted Chicken ? C’est le nouveau venu sur le marché des substituts de viande, sorti d’un laboratoire de l’Ecole polytechnique fédérale de Zurich (EPFZ). Fabriqué à partir d’eau, de protéines et de fibres de pois jaunes et d’huile de colza, il a l’allure, la couleur et la consistance du poulet. Mais il a été fait sans qu’aucun animal n’ait été tué, promet la start-up.

Banh Mi a été le tout premier restaurant à servir cette imitation de viande. Depuis début 2020, le Planted Chicken est distribué dans 200 succursales de Coop et une centaine de restaurants, surtout en Suisse alémanique. En octobre dernier, les entrepreneurs ont levé 7 millions de francs. En phase de croissance, le spin-off de l’EPFZ n’est pas encore rentable. Mais Planted Food, une équipe de 18 personnes, s’étend et s’apprête à déménager à Kemptthal, sur l’ancien site industriel Maggi-Areal.

Convaincre le plus grand nombre

A l’origine de cette société zurichoise, un déclic au pays de la malbouffe. Alors qu’il travaille aux Etats-Unis pour la marque de chocolats Frey, Pascal Bieri, 34 ans, observe l’essor des produits à base de plantes offrant une alternative à la viande. « Ces produits m’intéressaient mais j’étais repoussé par la liste de conservateurs sur les emballages : ça n’avait pas l’air sain. » Le jeune homme appelle alors son cousin Lukas Böni, chercheur en alimentation à l’EPFZ spécialiste des fibres de protéines, et lui propose de se lancer sur ce marché.

« Nous ne fabriquons pas un produit pour les végétariens, mais un produit dont le goût puisse convaincre le plus grand nombre », souligne Lukas Böni. Les jeunes entrepreneurs veulent toucher les consommateurs soucieux de l’impact de leur alimentation sur l’environnement et la santé : « Souvent, les substituts sont fabriqués à base de soja, dont la culture contribue à la déforestation. C’est toujours mieux que la viande, mais nous devrions diversifier nos sources de protéines végétales. Notre produit peut être fait avec des ingrédients cultivés en Suisse. »

Ce n’est pas encore le cas : pour atteindre les quelque 500 kilos fabriqués chaque jour actuellement, la société doit importer les pois jaunes d’Europe de l’Ouest. Mais elle vise une production locale. Et l’argument a convaincu Rolf Hiltl, chef du restaurant végétarien Hiltl créé en 1898 à Zurich et copropriétaire de la chaîne Tibits, qui a investi dans Planted Food.

Lukas Böni et son équipe ont développé un procédé mécanique par extrusion, permettant de reproduire la texture d’un morceau de muscle. Cent grammes de Planted Chicken contiennent 25 grammes de protéine en moyenne, comme le poulet. Ce genre de produits contribuent à redéfinir la notion même de viande, estime le chercheur : « C’est la fibre et le goût qui font la viande, pas l’animal. »

Boom global

Planted Chicken arrive dans un secteur en pleine effervescence, au niveau mondial. En Suisse, Coop et Migros ont chacune enrichi leur gamme de faux steaks, simili-saucisses ou charcuterie végétale. Les substituts tendent à se complexifier pour mieux imiter les saveurs et textures carnées et de nouveaux produits apparaîtront bientôt en Suisse, affirme Peter Braun, CEO de Swiss Food Research, un réseau porté sur l’innovation dans l’industrie agricole et alimentaire, évoquant cinq à sept start-up en phase de développement. Mais ce marché intéresse aussi les grands producteurs de viande qui, anticipant une baisse de consommation de produits carnés, cherchent à se renouveler.


Crypto AG : le malaise s’intensifie dans la Berne fédérale

https://www.letemps.ch/suisse/crypt…

Sébastien Ruche avec les agences

Publié dimanche 16 février 2020 à 20:28
Modifié lundi 17 février 2020 à 08:19

Pas moins de trois autres ex-conseillers fédéraux et au moins deux anciens élus fédéraux auraient été au courant des agissements de Crypto AG, dont les appareils de chiffrement avaient permis à la CIA et aux services de renseignement allemands (BND)… — Alexandra Web/Keystone

Qui savait exactement quoi sur les agissements de l’entreprise zougoise, dont les produits ont permis aux Etats-Unis et à l’Allemagne d’espionner plus de 100 pays pendant des décennies ? Qui jouera le rôle de fusible ? Pourquoi l’affaire prend-elle maintenant une telle dimension ?

Après Kaspar Villiger, ce sont pas moins de trois autres ex-conseillers fédéraux et au moins deux anciens élus fédéraux qui auraient été au courant des agissements de Crypto AG, selon la presse dominicale. L’affaire qui secoue actuellement la Berne fédérale ressemble de plus en plus à un secret de polichinelle, mais les langues ne se délient pas dans les milieux politiques. Deux enquêtes sont en cours et une décision sera prise le 2 mars sur la mise en place d’une éventuelle commission d’enquête parlementaire.

Qui savait ?

Au moins trois départements fédéraux auraient été concernés ces cinquante dernières années par l’affaire Crypto AG. L’ex-conseiller fédéral Kaspar Villiger (PLR, en poste entre 1989 et 2003) a été la première personnalité politique rattrapée par ce dossier. Selon une note confidentielle de la cheffe du Département de la défense (DDPS) Viola, Amherd, Kaspar Villiger aurait été informé que les appareils de chiffrement de Crypto avaient permis à la CIA et aux services de renseignement allemands (BND) d’intercepter des milliers de documents de plus de 100 pays pendant des dizaines d’années. Kaspar Villiger a affirmé à plusieurs reprises n’avoir jamais été au courant des réels agissements de Crypto AG.

Conseiller fédéral entre 1998 et 2009, Pascal Couchepin ne se souvient pas que le dossier Crypto AG ait été abordé une seule fois au Conseil fédéral lorsqu’il en faisait partie, a-t-il dit dès mercredi à un correspondant du Temps au palais fédéral. Interviewé vendredi par la radio valaisanne Rhône FM, Pascal Couchepin a déclaré faire « a priori confiance » à Kaspar Villiger.

Selon la NZZ am Sonntag et la SonntagZeitung, l’ancien ministre de la Justice Arnold Koller (PDC), l’ex-ministre de l’Economie Jean-Pascal Delamuraz (PLR, conseiller fédéral de 1984 à 1998) et celui des Affaires étrangères, le Tessinois Flavio Cotti (PDC, conseiller fédéral de 1987 à 1998) avaient également reçu des informations.

L’ancien conseiller national PLR et conseiller d’Etat Georg Stucky, ancien président du conseil d’administration de Crypto AG, savait également, selon Le Matin Dimanche, ainsi que l’ex-conseiller aux Etats Rolf Schweiger, membre du conseil d’administration de Crypto AG de 2014 à 2018. Reste à établir formellement l’étendue des connaissances des protagonistes supposés.

Les prochaines étapes

Deux enquêtes sont en cours. Celle que le Conseil fédéral a confiée mi-janvier à l’ancien juge fédéral Niklaus Oberholzer et celle décidée jeudi 13 février par la Délégation des commissions de gestion du parlement.

Le 2 mars, le Bureau du Conseil national tranchera sur la création ou non d’une commission d’enquête parlementaire, que réclame une initiative du PS. Le PLR soutiendra l’idée d’une enquête parlementaire si celle des commissions de gestion se révèle insuffisante, a déclaré dimanche le conseiller national Philippe Nantermod, au micro de la RTS.

Instrument le plus fort du parlement, la commission d’enquête parlementaire n’a été utilisée qu’à quatre reprises : dans l’affaire du mirage, dans l’affaire des fiches, pour l’armée secrète P-26 et dans le cas de la caisse fédérale de pension. Le parlement s’y était opposé dans l’affaire UBS.

Les responsabilités seront-elles établies ?

Alors que les personnalités politiques pointées du doigt aujourd’hui démentent avoir été au courant des agissements de Crypto AG ou préfèrent le silence, l’initiative du PS pour une commission d’enquête parlementaire, qui comporte sept thématiques, vise notamment à établir d’éventuelles complicités au sein du Service de renseignement de la Confédération (SRC).

Son chef entre 2010 et 2017, Markus Seiler, est particulièrement visé, puisque le texte veut établir ce qu’il savait et ce que cela implique pour sa fonction actuelle de secrétaire général du Département des affaires étrangères. L’ex-collaborateur personnel de Kaspar Villiger et ancien secrétaire général du Département fédéral de la défense (DDPS) est l’un des rares acteurs du dossier à encore exercer des responsabilités au niveau fédéral.

En plus de déterminer qui savait quoi, les enquêtes en cours et celle éventuellement à venir pourraient éclairer d’autres zones d’ombre, comme celle qui entoure le calendrier de ces révélations.

Pourquoi l’affaire prend-elle cette dimension maintenant ?

L’affaire Crypto AG est en réalité connue dans ses grandes lignes depuis des décennies. Selon la NZZ am Sonntag, l’ancien responsable du secteur développement de Crypto AG aurait informé des membres des autorités des agissements de l’entreprise après son départ à la fin des années 1970. Une grosse décennie plus tard, la police fédérale avait ouvert une enquête à la suite de l’arrestation par Téhéran du représentant de Crypto AG en Iran, Hans Bühler. L’Iran soupçonnait que le matériel de l’entreprise zougoise était manipulé. L’enquête fédérale n’a débouché sur rien.

L’affaire est rendue publique avec la parution en 1994 d’un livre de Res Strehle, Verschlüsselt. Der Fall Hans Bühler. En 2015, la BBC publie des archives déclassifiées de la NSA. Ces documents datant des années 1950 montrent que Crypto AG a collaboré avec les services de renseignement américains et britanniques, révèle une web-série diffusée en novembre 2019 par la RTS. Puis la CIA a déclassifié de nouveaux documents, l’été dernier.

« Le fait que le rapport de la CIA ait été déclassifié pourrait montrer qu’il n’existe plus de liens entre les services américains, sinon ce document n’aurait pas été rendu public », estime Steven Meyer, directeur de ZenData, une entreprise spécialisée dans la cybersécurité basée à Genève, qui poursuit : « Un autre scénario serait que les Etats-Unis aient dévoilé ces éléments à la suite d’un refus de l’entreprise de collaborer de nouveau, directement ou via une entreprise proche – par exemple InfoGuard, sa société sœur dont les produits sont utilisés par les plus grandes banques suisses. »

Cette société de chiffrement suisse a permis à la CIA d’espionner 120 pays pendant quarante ans

http://mai68.org/spip2/spip.php?article5190

12 février 2020 : La société Crypto AG avait été secrètement achetée en 1970 par la CIA, dans le cadre d’un "partenariat hautement confidentiel" avec le BND, les renseignements ouest-allemands. Les messages codés et confidentiels de dizaines de pays ont ainsi pu être déchiffrés de longues années durant.

Conclusion de do : On ne peut être sûr d’un logiciel de chiffrement que si on l’a fabriqué soi-même !

Remarque inquiétante : Depuis que les ordinateurs quantiques existent, tous les codes actuels sont déchiffrables en un rien de temps.

Encore plus inquiétant : Tout le monde s’en fout !

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L’arnaque, stade suprême de la société spectaculaire marchande :

http://mai68.org/spip/spip.php?article11966

LA SOCIÉTÉ DE L’ARNAQUE

Il y a eu le capitalisme (Le capital - Karl Marx en 1867 pour le tome 1, 1885 et 1894 pour les tomes 2 et 3), puis l’impérialisme (stade suprême du capitalisme - Lénine en 1916), puis la société du spectacle (Guy Debord en 1967) et enfin aujourd’hui, et ce depuis un bon moment déjà, nous en sommes à l’arnaque, stade suprême de la société spectaculaire marchande.

Par exemple, aux alentours de l’an 2000, en France, une photocopie noir-et-blanc au format A4 valait 20 centimes de Francs, et même à un moment 10 centimes. Mais oublions le coût à 10 centimes qui n’a pas duré bien longtemps (un an ou deux), même s’il suffirait à montrer que 20 centimes la photocopie était déjà une arnaque, puisqu’au moins deux fois un prix praticable et donc rentable.

Aujourd’hui, en l’an 2017, le coût de la photocopie est toujours de 20 centimes, mais pas 20 centimes de Francs, il est de 20 centimes d’Euros !

Et l’arnaque n’est pas située seulement au niveau des prix des marchandises, elle est partout. Elle est la brique élémentaire à partir de laquelle est construite la société actuelle.

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2 Messages de forum

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