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Police, Milice ! Flicaille, Racaille ! (vidéo 1’40)

samedi 8 décembre 2018, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 16 juillet 2017).

Ce n’est pas la France qui est coupable de la rafle du Vel d’hiv !
C’EST LA POLICE !

Nantes en 1955

Extrait du film Une chambre en ville De Jacques Demy

Cliquer ici pour enregistrer la vidéo.

C’est la bourgeoisie qui est coupable !

Dans le slogan « Police, Milice ! Flicaille, Racaille ! », il n’est nul besoin de justifier "Flicaille, Racaille !" ; par contre, les plus jeunes d’entre vous auront peut-être besoin d’une explication pour la première partie du slogan : « Police, Milice ! »

Pendant la deuxième guerre mondiale, en France, la Milice était une organisation militarisée composée de français collaborant avec l’ennemi nazi. L’immense majorité de la police a collaboré. Cela se voit bien au fait qu’un seul préfet a refusé de prêter serment de fidélité au maréchal Pétain : Jean Moulin. Cela se voit aussi, bien sûr, au fait que ce sont des policiers français qui ont commis la rafle du Vel d’hiv.

De très nombreux policiers s’engagèrent dans la milice.

La police est une bande armée au service de la bourgeoisie destinée à contenir les révoltes du prolétariat.

Non, ce n’est pas la France qui est coupable de la rafle du Vel d’hiv, mais la bourgeoisie française. La bourgeoisie qui, avant guerre, avait pour slogan : « Mieux vaut Hitler que le Front Populaire ! » soutenait à fond le Maréchal Pétain et la collaboration avec l’ennemi nazie. Par contre, les prolos et les paysans était souvent résistants.

Notamment la CGT et le Parti communiste participèrent grandement à la résistance. Voir par exemple le film de René Clément La bataille du rail. 70 000 membres du PCF furent fusillés par les Allemands. C’est pourquoi, après guerre, le PCF fut appelé Le Parti des fusillés !

Pourquoi donc le pouvoir tient tant que ça à ce que la France soit LA responsable de la rafle du Vel d’hiv, et pas l’Allemagne par exemple ?

Parce qu’il faut faire culpabiliser les Français afin que tous acceptent les ignominies commises par Israël en Palestine, et parce qu’il faut justifier que ce soit la fraction juive de la bourgeoisie française qui domine la France.

L’appel du 10 juillet 1940 du parti communiste français

LEUR 10 JUILLET ET LE NÔTRE !

Cet appel à résister fut rédigé au début de juillet 1940 et tiré clandestinement à 600 000 exemplaires, puis diffusé dans la clandestinité sur le sol national par les militantes et militants du parti communiste français (interdit depuis août 1939).

Et, ce même 10 juillet 1940, à une écrasante majorité, sauf 80 députés essentiellement de gauche, sans membre du PCF, puisqu’interdit, l’assemblée votait les pleins pouvoirs à Pétain !

Quand je pense qu’aujourd’hui les enculés de droite osent dire que le PCF ne serait jamais entré en résistance si Hitler n’avait pas envahi l’Union Soviétique !

Rappel : L’opération Barbarossa, nom de code de l’invasion nazie de l’URSS, commença le 22 juin 1941 ! Donc bien après le début juillet 1940 ! Quant à l’attitude de la droite par rapport à Hitler et Pétain, n’en parlons pas ! ou, sinon, parlons de collaboration ! Car, à peu de choses près, aucun autre mot ne convient !

Article complet : http://mai68.org/spip/spip.php?article4185

9 Messages de forum

  • Police, Milice ! Flicaille, Racaille ! (vidéo 1’40) 16 juillet 2017 20:07, par Luniterre

    L’attitude du PCF, surtout au tout début de la guerre, et surtout de sa « direction », est loin d’être aussi limpide qu’il a bien voulu le raconter par la suite…
    Cela n’enlève rien à l’exemplarité héroïque de la plupart de ses militants de base, et de certains cadres, dont Tillon, évidemment.

    Mais le vers révisionniste était déjà bien enkysté dans le fruit ML, et notamment dans la direction de la IIIe internationale, où le courant thorézien était assez influent. Ce qui explique en grande partie, sinon pour l’essentiel, au delà des raisons « diplomatiques » officielles la célérité avec laquelle Staline a effectué sa dissolution.

    En juillet 1940, sans en référer au PC Russe, une poignée de dirigeants « clandestins » du PCF avec Jacques Duclos et Maurice Tréand appuyèrent une négociation avec la Kommandantur de Paris pour obtenir la reparution légale de L’Humanité, et firent manifester inconsidérément les sympathisants communistes de région parisienne pour obtenir le retour des municipalités PCF déchues en 1939.

    D’après Mounette Dutilleul, qui sait de quoi elle parle, il semble même probable que Thorez, évacué à Moscou par l’entremise de l’Internationale, (mais encore en lien radio, on le sait maintenant…) ait été consentant.

    Paradoxalement, c’est l’intervention des pétainistes à la Kommandantur , furieux de voir les nazis trouver d’autres « partenaires », et lesquels…, qui sauva malgré eux l’honneur de ces collabos concurrents… _ 
    http://trcamps.free.fr/Mounette%201939.html

    Ceci dit, le PCF n’est évidemment aucunement impliqué dans les rafles de juifs, Vel d’Hiv ou ailleurs.

    Cette politique et pratique antisémite incombe entièrement la bourgeoisie et à son appareil d’État.

    C’est effectivement depuis Chirac que la bourgeoisie entend faire porter le poids de la culpabilité sur les couches populaires pour mieux les dominer et leur faire accepter sa propre collaboration avec les sionistes, aujourd’hui.

    Macron continue dans cette même veine et il doit donc également être combattu à ce titre, parmi tous ses objectifs impérialistes d’agression contre les peuples.

    Luniterre

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  • bonjour

    Je dirais les sionistes

    Said

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    • Livre censuré - Des juifs dans la collaboration, de Maurice Rajsfus - Version PDF supprimée :

      http://mai68.org/spip/spip.php?article6289

      Des juifs dans la collaboration est paru en 1980. L’auteur, le journaliste devenu historien Maurice Rajsfus, est né en 1928, de parents juifs polonais, morts en déportation à Auschwitz et Maurice Rajsfus fut lui-même raflé au Vel d’Hiv alors qu’il n’était qu’adolescent (il en réchappa par miracle). L’ouvrage est préfacé par Pierre Vidal-Naquet, historien connu notamment pour ses travaux sur le génocide juif et le négationnisme, qui apporte au livre son indispensable crédit. Le livre, épuisé, n’a été ni réédité ni réimprimé depuis sa sortie.

      Aussi insupportable que cela puisse paraître, l’UGIF, ancêtre du CRIF (les juifs de France n’étaient pas représentés à l’échelon national auparavant), mis en place par Pétain et les nazis (l’UGIF était en relation directe avec la Gestapo), aida à constituer des listes de juifs à rafler et à déporter. Maurice Rajsfus témoigne autant qu’il relate les faits. Dans la préface, Pierre Vidal-Naquet explique très clairement que c’est parce qu’aucun historien (lui le premier) n’a voulu réaliser ce travail qu’un journaliste l’a entrepris.

      Cliquer ici pour l’article et les commentaires.

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  • Police, Milice ! Flicaille, Racaille ! (vidéo 1’40) 17 juillet 2017 16:47, par Prosper

    Si "des" inscrits au Parti ont fait de la résistance, avant 41, ce n’était pas au nom du Parti, lié par le pacte germano-soviétique.
    La citation de Tillon me semble relever de la désinformation. Il ne l’a pas fait au nom du parti, lequel l’en a puni après la guerre.
    Tous ceux qui sont "entrés en résistance" avant que l’invasion de la Russie ont été punis, et déjà persécutés dans les camps par les PC pur jus quand ils l’ont été à leur tour.

    Tu aurais mieux fait de relever une phrase d’E.M prononcée quand il reçoit Nétan…, identifiant le rejet du sionisme à l’antisémitisme

    Prosper

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    • Le 10 août 1940 appel à la résistance de la direction du PCF

      Salut Prosper,

      Je pense que tu es mal informé, et peut-être que tu n’as pas lu mon message complètement. En effet, le 10 août 1940, un appel à la résistance est lancé par la direction elle-même du PCF, et il est signé Au nom du Comité Central du Parti Communiste Français (SFIC) :

      • MAURICE THOREZ, Secrétaire Général
      • JACQUES DUCLOS, Secrétaire

      Cet appel est ici : http://mai68.org/spip/spip.php?article4185

      Et je donnais ce lien dans mon message.

      Par ailleurs, Tillon n’a pas du tout été puni à la sortie de la guerre puisqu’il a carrément été ministre communiste. Ses problèmes avec le Parti viennent du fait qu’il n’en partageait pas le stalinisme. Il est exclu du PCF en 1970 ; donc, bien après la guerre.

      Il faut aussi noter cette grève menée par les mineurs communistes du Pas de Calais avant l’invasion de la Russie par l’Allemagne :

      http://mai68.org/spip/spip.php?article4295

      Il faut critiquer le PCF, mais pas en reprenant les vieux poncifs de droite. Droite qui, elle, a massivement voté les pleins pouvoir à Pétain le 10 août 1940, c’est-à-dire le jour-même de l’appel à la résistance lancé par la direction du PCF. On se demande par conséquent comment les personnalités de droite peuvent oser reprocher quelque chose au PCF au sujet de la résistance !

      Bien à toi,
      do
      http://mai68.org

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      • Police, Milice ! Flicaille, Racaille ! (vidéo 1’40) 18 juillet 2017 15:35, par Luniterre

        Bonjour, camarades

        Ce n’est qu’à posteriori que l’on a pu réinterpréter ce texte, dit « du 10 Juillet 1940 » comme un appel à la résistance…

        Et encore, suite à différentes republications « retouchées » au gré des circonstances…

        Ici, néanmoins, il semble qu’on ait le texte original.

        La date réelle de publication fait débat, mais le fait est bien établi qu’il a été rédigé dans la foulée des « négociations » tout à fait kollabos de Tréand, soutenu directement par Duclos. Et « de loin » par Thorez, selon toute vraisemblance. ( Mounette Dutilleul >>> http://trcamps.free.fr/Mounette%201939.html )

        La question de fond réside, à mon avis, dans l’interprétation qu’il fallait faire des accords « Ribbentrop-Molotov ».

        Le PCF de l’époque était tout à fait dans l’incapacité d’en faire une analyse dialectique et d’en tirer les conséquences.

        Il se contentait donc, au jour le jour, de ménager la chèvre et le chou… C’est à dire à peu près tout et son contraire, tout en essayant de coller formellement aux directives de l’IC, qui n’était déjà plus que l’ombre d’elle même et largement gangrenée par l’opportunisme, du à l’influence des PC occidentaux.

        Si l’on lit simplement au premier degré, comme devaient évidemment le faire les lecteurs de l’époque, on ne voit pas où est l’appel à résister, dans un tel passage, par exemle :

        « En défendant le pacte germano-soviétique, en août 1939, nous avons opposé à la politique des fauteurs de guerre, la politique stalinienne de paix et aujourd’hui, nous avons conscience de servir la cause de la paix et de l’indépendance de notre pays en demandant la conclusion d’un pacte d’amitié franco-soviétique.

         Un gouvernement du Peuple

         Pour relever la France, pour remettre la France au travail, pour assurer son indépendance dans la Paix, pour assurer la sauvegarde des droits du Peuple, pour libérer notre pays des chaînes de l’exploitation capitaliste et de l’oppression il faut chasser le gouvernement de traîtres et de valets dont le chef Pétain a dit cyniquement aux blessés, aux réfugiés, à ceux qui ont tout perdu « l’Etat ne pourra rien pour vous ».

        Comment cela pouvait il être compris des masses populaires, dans le contexte ?
        Assurément il s’agissait de remplacer un gouvernement incapable de signer une « paix juste » par un autre, qui aurait eu en outre « l’autorité » du pacte « Ribbentrop-Molotov » pour une paix « franco-germano-soviétique »…

        Les dirigeants du PCF de l’époque n’avaient-ils donc à ce point « rien compris », ou bien louvoyaient-il simplement en attendant la suite des événements et en ménageant toutes les portes de « sortie »… de leur propre incurie, en fait ?

        De plus, ils avaient malencontreusement déjà fermé une porte, celle du gaullisme naissant, en dénigrant l’attitude « guerrière » du général De Gaulle (« …à particule »), et de ses partisans « liés à l’impérialisme britannique », etc… ( Évidemment, cela ne les a pas empêché, non seulement de faire volte-face rapidement, peu après, mais même d’en remettre une couche, en termes de collaboration de classe, avec le « programme du CNR », qu bradait complètement l’autonomie de la Résistance prolétarienne…)

        Quantité de documents historiques de l’époque, 1939-41, confirmant bien que la lecture « pacifiste »-collabos de secours de cet « appel » de Juillet 40 était délibérément voulue sont regroupés ici :

        http://pcf-1939-1941.blogspot.fr/2013/12/appel-au-peuple-de-france-de-juillet.html

        Et même si l’intention n’est guère « charitable » à l’égard du PCF, elle n’en révèle pas moins une réalité aux multiples facettes, mettant en lumière l’opportunisme total des dirigeants du PCF.

        La Résistance prolétarienne en France doit tout à la base et à une poignée de cadres « récalcitrants », et rien à la direction thorézienne, qui n’a fait que récupérer l’affaire et tenter, efficacement, malheureusement, de la contrôler, avant de l’étouffer, pour finir, au sortir de la guerre, et tout cela uniquement en fonction de ses propres intérêts comme clique bureaucratique révisionniste, et nullement en fonction de ceux du prolétariat, ni même d’une ligne politique internationaliste, loin s’en faut !

        Un parti marxiste-léniniste se détermine par sa propre analyse de la situation dans laquelle il se trouve et prend ses décision et orientations en fonction de la nécessité de défendre au mieux les intérêts et les objectifs politiques du prolétariat qu’il dirige. Point barre.

        Ce que Staline a remarquablement confirmé lors d’un entretien tripartite entre les dirigeants du PC(b) de l’URSS, les dirigeants du PC grec et du PC albanais, lors de la crise causée par l’échec de la stratégie ambiguë du PC grec.

        _ https://tribunemlreypa.files.wordpress.com/2015/06/enver-hoxha_1950_rencontre-chez-j-staline-avec-les-dirigeants-du-pc-grec.pdf

        Ce n’est que depuis peu que le PC grec commence à réhabiliter Aris Velouchiotis.

        https://tribunemlreypa.wordpress.com/2015/07/08/grece-rehabilitation-daris-velouchiotis/

        Les entretiens Staline-Thorez, par comparaison, ne révèlent que mensonge et fayotage de la part de ce dernier. Une vraie couleuvre…

        Et un autre sujet d’histoire, de par le fait, même si tout fait connexe…

        Un parti marxiste-léniniste n’a pas à se justifier de telle ou telle « directive internationale » ou « stratégie diplomatique » pour se défausser de ses propres responsabilités.

        Assumer ses propres responsabilités, assumer ses propres décisions et leurs conséquences, en tirer des leçons pour avancer, telle sont les qualités de base évidentes d’un parti ML, d’un militant ML.

        Elles ont totalement déserté la gauche française, aujourd’hui et depuis longtemps, semble-t-il !

        La constitution d’un noyau revenant à ces fondamentaux serait déjà presque une « révolution », dans le contexte actuel. On en est loin.

        Luniterre

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  • Le pacte de non-agression était là pour contrer les accords de MÜNICH

    http://mai68.org/spip2/spip.php?article539

    Salut à toutes et à tous,

    Il n’y a jamais eu de "pacte germano-soviétique" ni d’"accords Ribbentrop-Molotov" ; car le vrai nom de ce traité international est « Pacte de non-agression » !

    La bourgeoisie et la droite ont fait grand cas de ce traité international en le renommant, pour faire plus d’effet, "pacte germano-soviétique" ou "accords Ribbentrop-Molotov". La classe dominante a voulu faire ainsi oublier que son slogan de l’époque était "Mieux vaut Hitler que le Front Populaire". Elle a voulu faire oublier qu’elle avait voté massivement les pleins pouvoirs à Pétain. Les capitalistes ont aussi et surtout voulu dénigrer la participation pourtant essentielle du PCF et de ses militants et sympathisants à la résistance, alors qu’ils en étaient le principal et le seul vraiment efficace bras armé au travers des FTP.

    Le but de la classe dominante avec sa propagande mensongère au sujet du Pacte de non-agression est d’établir dans le spectacle une égalité entre Hitler et Staline, entre les communistes et les nazis.

    Toute cette propagande bourgeoise s’efface d’un seul coup quand on rappelle que le pacte de non-agression entre l’Allemagne et la Russie, qui a été signé le 23 août 1939, n’est rien d’autre que la réponse de l’URSS au sale coup joué par la France et la Grande Bretagne le 30 septembre 1938 à Münich. Là, il s’agissait bel et bien d’accords, puisque le vrai nom est "Accords de Münich". Dans ces accords avec l’Allemagne nazie, la France et l’Angleterre livrèrent la Tchékoslovaquie et sa puissante armée à Hitler, en échange de quoi celui-ci promettait d’attaquer l’URSS.

    Le pacte de non-agression est un excellent coup, comme parfois aux échecs, joué par Staline afin de retarder le plus possible l’agression de l’URSS par l’Allemagne nazie. Il s’agissait pour la Russie de gagner du temps afin de pouvoir produire suffisamment d’armes de qualité, notamment ses fameux chars d’assaut, pour combattre l’Allemagne, détruire sa stratégie du blitzkrieg le 5 décembre 1941 devant Moscou, et remporter une victoire définitive à Stalingrad le 2 février 1943.

    Bien à vous,
    do
    http://mai68.org

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    • Police, Milice ! Flicaille, Racaille ! (vidéo 1’40) 18 juillet 2017 21:20, par Luniterre

      Effectivement, il est juste de corriger le ou les noms habituels de ce "traité", noms qui prêtent à confusion, entretenue par l’idéologie bourgeoise.

      Mais cela n’enlève rien au fait qu’il ait été déjà fort mal interprété, au départ, par le PCF lui-même.

      Il reste donc pertinent de distinguer l’attitude de ses militants de base, résistants de la première heure, le plus souvent, du louvoiement de sa direction thorézienne, d’un bout à l’autre de cette histoire.

      Il ne faut donc pas confondre légende forgée après coup et réalité historique, telle que l’on peut la reconstituer, même si encore incomplètement.

      C’est de la réalité que l’on peut tirer des enseignements, et non de la légende !

      Luniterre

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  • Police, Milice ! Flicaille, Racaille ! (vidéo 1’40) 29 juillet 2017 13:01, par Georges

    En effet, l’article a raison.

    Georges

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