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En Belgique, le 13 mars 2020, Le taux de mortalité du coronavirus est similaire à celui de la grippe (vidéo 2’48)

samedi 14 mars 2020, par do (Date de rédaction antérieure : 13 mars 2020).

Enregistré au 20 heures de france 2 le 13 mars 2020

Cliquer ici pour télécharger la vidéo

En France, et encore moins en Italie, on ne sait pas combien de personnes sont contaminées par le coronavirus ; car, le virus s’est propagé depuis trop longtemps sur le territoire, et il y a trop de gens contaminés qui ne développent que des formes mineures de la maladie et qui croient qu’il s’agit d’un simple rhume ou de la grippe, il y en a même qui restent tout le temps sans aucun symptômes ! On ne connait donc que les cas suffisamment graves et les morts.

Tandis qu’en Belgique, où le virus vient tout juste de faire son entrée, on peut avoir des renseignements beaucoup plus fiables.

Belgique : 1 mort pour 551 cas

Je divise 1 par 551, j’obtiens avec ma calculette : 0,00181

Je multiplie par 1000, c’est-à-dire que je décale la virgule de trois chiffres vers la droite, et j’obtiens 1,81

Soit un taux de mortalité de 1,8 pour 1000 !

Taux équivalent à la grippe habituelle.

Il n’y a donc pas de quoi en faire toute une histoire.

Donc "on" se fout de nous à un niveau planétaire !

En Belgique, le taux de mortalité est de 1,8 pour 1000

En Allemagne, le taux de mortalité est de 3 pour 1000

En France il y a 79 morts pour 3661 cas.

Je divise 79 par 3661 et j’obtiens : 0,0215

Cette fois-ci, au lieu de multiplier par 1000, je préfère multiplier par 100, c’est-à-dire décaler la virgule de 2 chiffres vers la droite.

En France, le taux de mortalité est de 2,15 pour 100

En Espagne, le taux de mortalité est de 2,85 pour 100

En Italie, le 11 mars 2020, on comptait dans ce pays 10 000 personnes infectées et plus de 600 morts. Soit un taux de mortalité de 6 pour cent.

On constate que plus il y a de cas déclarés et plus le taux de mortalité apparent est grand. Ce qui s’explique facilement, car le nombre de cas cachés, volontairement ou non, s’accroit beaucoup plus vite que le nombre de cas déclarés.

Comme exemple de cas cachés volontairement, on peut citer tous ces gens à qui, avant de les laisser franchir une frontière ou prendre des transports en commun, on mesurait la température. En fait, beaucoup d’entre eux prenaient du paracétamol ou de l’aspirine avant les contrôles pour qu’on les fasse pas chier.

Les cas involontairement cachés sont des gens contaminés qui ne développent que des formes mineures de la maladie et qui croient qu’il s’agit d’un simple rhume ou de la grippe, il y en a même qui restent tout le temps sans aucun symptômes ! Plus ces personnes sont nombreuses, et moins on les teste au coronavirus ; car, il n’y a ni le temps, ni l’argent.

Tout est donc cohérent. En effet, j’ai personnellement constaté qu’en France-même, plus le nombre de cas déclarés augmentait et plus le taux de mortalité augmentait aussi. Il y a quelques temps le taux de mortalité en France était encore de 1,6 pour cent.

Il ne faut donc pas parler de "taux de mortalité", mais de "taux de mortalité apparent".

Ce qu’il faut retenir de tout ça, c’est que le taux de mortalité réel du nouveau coronavirus est similaire à celui de la grippe, qu’il n’y a donc absolument pas besoin de s’affoler, et qu’on se fout de nous à un niveau planétaire. D’ailleurs, vous pouvez écouter ce qu’en dit le professeur Raoult de l’IHU de Marseille :

https://mai68.org/spip2/spip.php?article5332

Le pouvoir se moque de nous afin de provoquer l’union sacrée, c’est-à-dire la collaboration de classe. Il faut constater aussi que Mélenchon est complice de cette arnaque :

https://mai68.org/spip2/spip.php?article5354

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