Ce confinement insistant, grossier, punitif et ce manque de prévoyance criminel masquent forcément un/des objectifs. On peut imaginer que la durée, les vacances et les beaux jours aidant, la "cocotte" chauffe et le pays finissant par ne plus en pouvoir, les esprits s’échauffent et les dérapages s’accumulent (il y en a déjà eu quelques uns). Il va bien falloir conserver la main sur ce "sale petit peuple" et renforcer l’étreinte d’un gouvernement, à la dérive, qui applique des directives (venues "d’en haut") à la petite semaine car lui aussi est paumé par le projet, forcément "supérieur".
Dans ces coups de temps là, l’ultime recours est l’armée, avec son cortège de couvre-feu et de lois martiales. Mais on se rappelle que Macron avait essuyé un camouflet spectaculaire avec l’inversion des couleurs de la Patrouille de France et la chute de gendarmes à moto devant la tribune présidentielle - messages forts et bien reçus - le 14 juillet 2018 (https://frama.link/fpzxX812).
Macron n’a donc ni l’armée ni la gendarmerie avec lui. Il n’a que la police et son réseau "d’amis" (préfets, juges, procureurs, commissaires…). L’objectif serait donc de continuer à pousser tout le monde à bout, ce qui monte en pression depuis un bon moment afin de faire entrer l’armée dans la danse, contre son gré, en vue de faire passer des lois scélérates avant de devoir passer la main lors des prochaines élections. Voire mieux : passer des lois scélérates et modifier la constitution en revenant à un septennat ou toute autre manipulation pour conserver le pouvoir. Mais Macron n’étant qu’un "exécutant", qu’un fondé de pouvoir, un/e autre pourra sans peine prendre sa place et poursuivre le "projet". L’objectif étant de provoquer le chaos pour mieux le juguler et museler le peuple. OK mais dans quel but ? Nous le découvrirons très prochainement…
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