Ils veulent nous vendre un vaccin à tout prix !
Enregistré sur France 2 le 19 juillet 2020 après 20 heures
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La vidéo commence par un gros mensonge. Le présentateur propagandiste Laurent Delahousse ose nous dire : « Il n’existe, on le sait, toujours pas de traitement contre le virus » !
J’aime bien le "on le sait" de Delahousse pour placer son mensonge préliminaire.
Car, c’est bien entendu un mensonge. Le traitement existe, celui de Raoult :
http://mai68.org/spip2/spip.php?article5406
Et il marche, voici les preuves scientifiques :
http://mai68.org/spip2/spip.php?article6482
Mais, il faut qu’aucun traitement n’existe pour pouvoir vendre le vaccin. Donc, le propagandiste Laurent Delahousse prétend que le traitement n’existe pas. Et, pour être plus convaincant, place son "on le sait".
Quant au vaccin, il s’agit d’une technologie nouvelle, jamais autorisée sur les êtres humains jusqu’à présent ! Vous avez envie de servir de cobaye, vous ? Surtout pour un vaccin qui ne fonctionnera peut-être pas si le virus mute ?
L’hydroxychloroquine et l’azithromycine comme traitement du COVID-19 (vidéo 8’04)
http://mai68.org/spip2/spip.php?article5406
Résultats d’un essai clinique ouvert non-randomisé
IHU Méditerranée-Infection
Pr Didier Raoult, Directeur de l’IHU Méditerranée Infection
17 mars 2020
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600 mg d’hydroxychloroquine par jour, ça fait 3 comprimés par jour de Plaquénil
PLAQUENIL : comprimé (blanc) ; boîte de 30
Sur ordonnance (Liste II) - Remboursable à 65 % - Prix : 4,17 €.
Composition du médicament PLAQUENIL
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p cp |
Hydroxychloroquine sulfate |
200 mg |
Lactose |
+ |
Complété avec de l’azithromycine (AZT)
Au même dosage, par exemple, que pour la maladie du légionnaire, avec deux comprimés le premier jour, puis un comprimé le 2e, le 3e, le 4e jour…
AZITHROMYCINE SANDOZ 250 mg : comprimé ; boîte de 6
Sur ordonnance (Liste I) - Remboursable à 65 % - Prix : 7,37 €
Composition du médicament AZITHROMYCINE SANDOZ
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p cp |
Azithromycine |
250 mg |
Lécithine de soja |
+ |
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Coronavirus - Plus personne ne dit que l’hydroxychloroquine tue ou rend fou (vidéo 6’03)
http://mai68.org/spip2/spip.php?article6482
Des mots et des chiffres
IHU-MI - 7 juillet 2020
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L’hydroxychloroquine a un effet préventif sur le covid-19
Voici les deux schémas montrés par Raoult, le premier sur l’efficacité de l’hydroxychloroquine pour éviter la mortalité, et le second à propos de son efficacité sur le portage viral (la quantité de virus qui colonise le malade) :
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Didier Raoult :
« Dans ce monde, on finit par avoir l’impression qu’il suffit d’avoir droit à la parole, ou de faire des communications pour que ce soit la vérité. La vérité, c’est pas ça. C’est les études, c’est les chiffres, c’est la mortalité… et ça, on peut pas tricher. Ça finit par sortir. On peut faire de très mauvaise études, mais il y a des gens qui savent les décrypter. En tout cas, nous, on sait le faire.
« Et puis, il y a des communications, et il finit par y avoir un monde dans lequel on croit que la communication remplace la réalité physique ; mais, c’est pas vrai ! La réalité physique finit par s’imposer. Donc, c’est une des raisons pour lesquelles ça ne m’amuse pas beaucoup d’aller discuter dans les médias ; c’est parce que ça ne remplace pas la réalité. Et que donc, ça finit par dire : "moi je le crois lui, moi je le crois l’autre". Et tout ça n’a pas de sens.
« Ce qui a du sens, c’est la réalité, vous voyez, par exemple, le directeur de l’APHP qui disait : "ah, monsieur Raoult ment, y’a pas 40% de mortalité". Et puis, on sort de ses propres papiers, de son propre institut, avec ses propres données ; mais, il ne connaissait pas les vrais chiffres ! Il faut faire très attention, parce que la prochaine fois, je vais l’attaquer en diffamation.
« Donc, il faut s’arrêter de croire qu’il suffit de parler pour avoir raison. Il faut avoir les chiffres. »
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Coronavirus - Les vaccins à ARN messager Covid-19 font la course en tête :
http://mai68.org/spip2/spip.php?article6135
Basé sur une technologie utilisant des ARN messagers, un premier essai clinique a démarré le 16 mars aux Etats-Unis pour développer un vaccin contre l’infection par le coronavirus SARS-CoV-2. D’autres devraient suivre, basés sur cette même technologie de rupture.
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Coronavirus - Face à l’urgence, le moment de faire leurs preuves pour les vaccins à ADN et ARN messager
http://mai68.org/spip2/spip.php?article6136
Inovio Pharmaceuticals et Moderna Therapeutics sont à l’origine des deux premiers essais cliniques de phase 1 lancés aux Etats-Unis pour développer un vaccin contre le Covid-19. Les deux ont recours à des technologies à ADN et à ARN messager (ARNm). Jamais autorisées chez l’humain, ces technologies ont l’avantage d’être rapides à développer mais doivent encore faire la preuve de leur efficacité.
Le signal de danger consiste à introduire un élément étranger en même temps que l’antigène - la protéine - pour déclencher l’immunité innée qui mobilise les cellules du système immunitaire pour produire des anticorps. Dans le cas des vaccins traditionnels, il s’agit des adjuvants – par exemple l’hydroxyde d’aluminium – qui déclenchent une inflammation et attirent les macrophages et autres cellules du système immunitaire sur le lieu de l’injection : ils y rencontrent la protéine contre laquelle des anticorps doivent être produits.
Pour les vaccins à ADN, le signal de danger est la présence anormale d’une molécule d’ADN dans le cytoplasme. Sa place « normale » est à l’intérieur du noyau. Or, le cytoplasme est un passage obligé avant de l’atteindre. Dans le cas des vaccins à ARNm, la situation anormale est leur passage au niveau des endosomes pour pénétrer dans la cellule.
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