L’OFSP ou Office Fédérale de la Santé Publique est l’organe étatique qui supervise la santé publique au niveau fédéral en Suisse.
De plus en plus de pays faisaient face à une contestation grandissante qu’aucun parti ni syndicat n’arrivait à contrôler.
Une fuite à l’OFSP à révélé que politiques, médias et experts nous ont menti sur les masques. Au début de cette épidémie, la santé publique suisse n’avait pas de masque. L’OFSP a alors raconté que les masques ne servaient à rien.
Dans la Tribune de Genève : https://www.tdg.ch/la-penurie-de-ma…
La pénurie de masques a dicté la communication des autorités
Au plus fort de la pandémie, le discours du Conseil fédéral sur les masques a varié en fonction du stock disponible dans le pays.
La pénurie de masques de protection a dicté la communication des autorités suisses, au moment où le nombre de cas de coronavirus explosait, affirment Le Matin Dimanche et la SonntagsZeitung, dans leur colonnes ce jour.
Les journaux se basent sur les procès-verbaux des organes de crise de l’administration fédérale qu’ils ont pu obtenir.
En mars, au plus fort de la pandémie, l’Office fédéral de la santé publique (OFSP) affirmait qu’ils étaient très peu efficaces. Le pays n’a alors que deux semaines et demie de stocks disponibles, selon un procès-verbal cité par le journal. Un appel de l’OFSP à l’administration permet de retrouver un million de masques, qui sont aussitôt distribués aux cantons. Mais c’est trop peu, car le besoin en masques pour l’ensemble du pays est estimé à deux millions d’unités par jour au maximum.
Le changement de stratégie intervient à la fin avril, lorsque 90 millions de masques commandés par la pharmacie de l’armée arrivent en Suisse. Une semaine plus tard, l’OFSP conseille à la population de porter un masque dès que la distance physique de 1,5 mètre ne peut pas être respectée.
ATS/NXP
Pendant ce temps, d’autres pays ont pris des mesures efficaces contre le virus de la peur. Certains ont fait du dépistage systématique afin de pouvoir isoler les contaminés et les soigner avant complication. D’autres, plus pauvres, ont fait ce qu’ils font depuis des décennies pour lutter contre la malaria et d’autres épidémies : ils ont distribué de la chloroquine à titre préventif.
Le Conseil Fédéral (CF) nous a confiné ensemble et sans dépistage préalable ni médecine préventive, ce qui a eu comme effet d’éliminer la contestation et comme dégât collatéral de maximiser le nombre de morts.
Pire, ces gens-là ne peuvent pas dire qu’ils ne savaient pas, ceci car ils ont commencé par mettre à la poubelle le plan épidémie du gouvernement précédent, plan qui lui prévoyait de faire du dépistage systématique afin de pouvoir séparer les contaminés du reste de la population et essayer de les soigner le plus tôt possible, puis ils ont rigolé des pays comme la Chine qui prenaient des mesures de dépistage et d’isolation des contaminés, pour enfin nous raconter une fable eugéniste sur une soit-disant immunité de groupe.
L’immunité de groupe, c’est la médecine du Moyen-Âge. C’est les épidémies de peste qui tuaient entre 25 et 55 % de la population. Notre seule chance est donc que la covid ne tue pas plus que la grippe, sans doute même moins comme le montre les pays qui ont pris des mesures de santé publique comme le dépistage systématique ou la médecine préventive.
Enfin, après avoir déclaré que les principaux foyers de contamination sont les boites de nuit, l’OFSP se rétracte et avoue maintenant que ce sont les familles.
Sur le Matin : https://www.msn.com/fr-ch/actualite…
Il faut mettre l’OFSP en zone rouge
Pour miner la confiance de la population, rien de tel que se tromper aussi lourdement dans les chiffres sur l’épidémie de coronavirus.
Déjà que la situation n’est pas simple sur le front du coronavirus, la bourde des chiffres de l’Office fédéral de la santé publique (OFSP) tombe au plus mauvais moment. Vendredi, l’OFSP annonçait que, depuis le 16 juillet, le principal lieu de contamination du coronavirus était les boîtes de nuit ou discothèques, qui comptaient 42% des cas. Dimanche, l’office a dû corriger. À peine 2% des cas concernent ces lieux nocturnes. Le principal lieu de contamination étant la famille (27%) et le bureau (9%).
Ce genre de gaffe, incompréhensible à ce niveau, donne du grain à moudre à tous ceux qui estiment que cette épidémie est gérée à la petite semaine, qu’on nous ment depuis le début, comme avec les masques, ou qu’on vit dans une « dictature sanitaire ». Comme en Allemagne, on sent grandir l’exaspération, qui pourrait faire descendre les gens dans la rue pour décréter que l’épidémie est terminée.
Pendant ce temps, beaucoup de politiciens cantonaux se donnent de la peine pour que l’on prenne la situation au sérieux et doivent lutter contre l’indiscipline latente dans la population. Quand l’OFSP doit opérer une telle correction sur ses chiffres, cela mine la confiance et le travail de tous les acteurs du terrain. Chacun peut se demander combien d’autres fois, peut-être, les chiffres étaient faux.
Catégories pertinentes ?
Bien entendu, l’erreur est humaine et elle est corrigée. Mais le problème est que les vrais chiffres ne valent guère mieux… Plus de la moitié des infections sont sans information. Dans le document publié dimanche par l’OFSP, leurs origines sont indiquées comme « autres » ou « inconnues » ou « manquantes ». Soit il y a un réel souci de traçabilité à la base, soit il y a des difficultés pour faire remonter les informations précises à l’OFSP et permettre une vue d’ensemble. Peut-être aussi que les catégories choisies ne sont pas pertinentes, étant donné qu’on peut attraper le coronavirus dans une boîte de nuit, revenir au bureau ou dans sa famille, et contaminer ses collègues ou ses proches.
Clin d’œil à la Belgique
Enfin, ce sont les Belges qui doivent sourire. Ce week-end, les autorités valaisannes et vaudoises ont sonné la charge contre Bruxelles, qui a placé les cantons de l’arc lémanique dans la « zone rouge » de l’épidémie, où il ne faut pas se rendre. Les conseillers d’État Christophe Darbellay et Philippe Leuba ont contesté les calculs de la Belgique. Aujourd’hui, c’est la fiabilité des statistiques helvétiques qui est en cause. Par précaution, la Belgique pourrait étendre sa zone rouge autour de l’Administration fédérale à Berne…
C’est là où cela devient intéressant pour tout le monde. Ces chiffres dans leur version corrigée indiquent que non seulement, le CF et bien d’autres gouvernements ont confiné les gens ensemble sans dépistage préalable ni médecine préventive, mais qu’en plus ils nous confinés dans le pire endroit possible, nos familles, tout en nous demandant de continuer à aller dans le deuxième pire endroit possible, nos lieux de travail.
Comme ne le précise pas cet article, leur obsession pendant toutes cette crise a été de fermer tous les lieux culturels, de loisir et d’échange. Et tous les experts et les médias de leur donner raison alors qu’il suffit d’un minimum de bon sens pour se rendre compte que si la covid est si contagieuse qu’ils n’ont cessé de le dire, il suffit qu’une personne la ramène à la maison ou au travail pour que toute la famille ou tous les collègues la chopent.
Bref, bienvenue au meilleur des mondes où les politiques nous mentent, les experts nous mentent et les médias nous mentent.
Cerise sur le gâteau, ces mêmes salopards voudraient maintenant nous vacciner avec un vaccin qui n’existe pas encore, un vaccin ARN hautement controversé dont il existe plusieurs prototypes, des vaccins testés à la va vite, mais surtout des vaccins inutiles qu’ils sont prêt à imposer avec des législations coercitives à l’ensemble de la population mondiale, un vaccin à 200 ou 300 dollars la dose, donc encore plus cher que la cocaïne.
Avec ces vaccins, tous les compteurs s’affolent et les droits de l’homme ne valent plus rien.
Une autre chose est sure : avec leur gestion eugéniste de maximisation des morts de la covid, les politiques, les médias et les experts ont réussit à réduire leur crédibilité à néant.
Bref, la deuxième vague arrive. La deuxième vague c’est nous, les peuples. Et nous sommes partout.
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