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Moyen-Orient - 7 juin 2017 - Pour aider Trump à récupérer le Qatar DAECH commet du chantage au terrorisme en Iran

mercredi 7 juin 2017, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 7 juin 2017).

Iran : l’EI revendique les attentats de Téhéran

Note de do : Ce n’est certainement pas un hasard que ce terrorisme de DAECH en Iran arrive pile au moment ou l’impérialisme américano-franco-sioniste essaie de récupérer le Qatar. Car le Qatar était en train de s’allier à l’Iran. C’est du chantage fait à l’Iran : « Si l’Iran continue à vouloir récupérer le Qatar dans son camp, il y aura plein de dégâts causés par l’État Islamique en Iran »


Iran : 12 morts dans les attaques de l’EI à Téhéran

https://assawra.blogspot.fr/2017/06…

Mercredi 7 juin 2017

Au moins douze personnes ont été tuées mercredi dans les attaques du groupe Etat islamique (EI) contre le Parlement iranien et le mausolée de l’imam Khomeiny à Téhéran, a déclaré le chef des services des urgences, cité par les médias.

Trente-neuf personnes ont également été blessées dans ces attaques, selon la même source. Les forces de sécurité ont repris le contrôle du mausolée et du Parlement, attaqués par 7 ou 8 assaillants, selon la télévision d’Etat.

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Des hommes ont ouvert le feu mercredi à l’intérieur du Parlement iranien et un kamikaze s’est fait exploser au mausolée de l’imam Khomeiny à Téhéran, faisant des blessés, ont indiqué les médias d’Etat.

Ce genre d’attaques quasi-simultanées sur de tels lieux hautement symboliques en Iran sont très rares.

Au mausolée du fondateur de la République islamique l’imam Khomeiny dans le sud de Téhéran, un homme s’est fait exploser faisant des blessés, selon les médias d’Etat.

Selon l’agence de presse Isna, il y a eu un mort mais il pourrait s’agir du kamikaze. L’agence Ilna a fait état de plusieurs blessés.

Dans l’enceinte du Parlement, des hommes armés ont ouvert le feu faisant des blessés dont un garde de sécurité.

Le mausolée et le Parlement sont distants d’une vingtaine de km. Un député a déclaré à la radiotélévision iranienne Irib que trois hommes armés avaient pénétré dans l’enceinte du Parlement, armés de fusils et d’un pistolet.

L’Iran aide militairement la Syrie face aux terroristes de l’Etat islamique (EI).

Iran : l’EI revendique les attentats de Téhéran

Le groupe Etat islamique (EI) a revendiqué une série d’attaques sans précédent contre le Parlement et le mausolée de l’imam Khomeiny mercredi à Téhéran, a indiqué Amaq, l’agence de propagande de l’organisation jihadiste. "Des combattants de l’EI ont attaqué le mausolée de Khomeiny et le siège du Parlement à Téhéran", a indiqué Amaq en citant "une source de sécurité". "Deux combattants martyrs ont fait détoner leurs ceintures explosives dans le mausolée de Khomeiny", le fondateur de la République islamique d’Iran, selon la même source.

Les attentats suicide et les fusillades, survenus quasi-simultanément, ont fait au moins trois morts au mausolée et au Parlement, distants d’une vingtaine de km, selon les médias iraniens.

L’Iran aide militairement la Syrie face à l’EI et soutient également le pouvoir en Irak dans sa lutte contre le groupe jihadiste. Des conseillers militaires et des volontaires iraniens mais aussi afghans et pakistanais épaulent les armées irakienne et syrienne sur terrain.

En mars dernier, l’EI a publié une vidéo de menaces en persan contre l’Iran, affirmant qu’il allait "conquérir" ce pays chiite pour "le rendre à la nation musulmane sunnite" et qu’il allait provoquer un bain de sang chez les chiites.

1 Message

  • Douze morts dans les premiers attentats de l’EI à Téhéran

    https://assawra.blogspot.fr/2017/06…

    Mercredi 7 juin 2017

    Des hommes armés et des kamikazes ont attaqué mercredi le Parlement et le mausolée de l’imam Khomeiny à Téhéran, tuant douze personnes, les premières attaques revendiquées par le groupe Etat islamique (EI) dans le pays.

    Ni le guide suprême d’Iran, l’ayatollah Ali Khamenei, ni le président Hassan Rohani, n’avaient réagi en fin d’après-midi à ces attentats contre des lieux hautement symboliques.

    Autour des sites visés, distants d’une vingtaine de km, d’imposantes forces de sécurité restaient présentes et des stations de métro ont été fermées.

    Menées presque simultanément, les attaques lancées le matin ont duré plusieurs heures et "les forces de l’ordre contrôlent (désormais) la situation", a affirmé le ministère de l’Intérieur dans un communiqué, en affirmant que les six assaillants étaient morts.

    Le premier groupe qui a attaqué le mausolée de l’imam Khomeiny "était composé de deux personnes. La première s’est fait exploser dans les jardins du mausolée et la seconde a été tuée par les forces de l’ordre", a-t-il ajouté.

    Quatre assaillants ont mené l’attaque contre le Parlement, a poursuivi le ministère. L’un s’est fait exploser et trois ont été tués par les forces de sécurité.

    Les hommes armés ont fait irruption au siège du Parlement où ils ont ouvert le feu. Ils étaient déguisés en femmes, selon le vice-ministre de l’Intérieur Hossein Zolfagari.

    Les députés ont néanmoins continué leur session dirigée par le président du Parlement Ali Larijani qui a dénoncé "des terroristes lâches".

    L’un des assaillants est à un moment sorti dans l’avenue qui passe près de la Chambre des députés et a tiré sur les passants. Les forces de sécurité ont tiré sur lui, le forçant à retourner dans l’enceinte du Parlement.

    C’est la première fois que l’EI revendique des attentats en Iran. "Des combattants de l’EI ont attaqué le mausolée de Khomeiny et le siège du Parlement à Téhéran", a indiqué Amaq, l’agence de propagande du groupe jihadiste, en parlant de deux attentats suicide.
    Selon le ministère des Renseignements, un autre groupe de "terroristes" a été neutralisé à Téhéran avant de pouvoir passer à l’action.

    La Russie, alliée de l’Iran, a condamné les attentats, estimant qu’ils prouvaient une nouvelle fois la "nécessité de coordonner la lutte antiterroriste". La France les a également condamnés avec "la plus grande fermeté".

    Damas et Bagdad, également alliés de Téhéran, ont dénoncé ces attaques. Elles "ne dissuaderont en rien la détermination de l’Iran et de la Syrie à poursuivre la lutte contre le terrorisme", a affirmé le ministère syrien des Affaires étrangères.

    L’Iran et la Russie sont engagés militairement en Syrie aux côtés du pouvoir contre les groupes rebelles et jihadistes principalement l’EI.
    Téhéran aide également militairement l’Irak dans sa lutte contre ce groupe jihadiste responsable de nombreux attentats à travers le monde.

    En dépit des tensions avec l’Iran, les Emirats arabes unis ont aussi condamné les attaques. "Toute attaque terroriste dans n’importe quelle capitale, dirigée contre des innocents est quelque chose que les Emirats abhorrent".

    Les Emirats font partie des pays arabes emmenés par l’Arabie saoudite, grande rivale de l’Iran, qui ont rompu avec le Qatar en l’accusant à la fois de soutenir "le terrorisme" et de se rapprocher de Téhéran.

    Les dernières attaques à Téhéran remontent au début des années 2000 pour la plupart commises par l’organisation d’opposition armée iranienne des Moudjahidine du peuple.

    Les forces de sécurité iraniennes ont affirmé ces deux dernières années avoir démantelé des cellules de l’EI en Iran et déjoué des tentatives d’attentat de sa part.

    L’EI avait menacé l’Iran dans une vidéo en persan publiée en mars. Il y affirmait qu’il allait "conquérir l’Iran et le rendre à la nation musulmane sunnite" et provoquer un bain de sang chez les chiites.

    Si ces dernières années certaines régions proches des frontières avec l’Irak, l’Afghanistan et le Pakistan ont été ciblées par des groupes armés, les grands centres urbains avaient jusqu’alors été épargnés.

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