Quand « The Lancet », la revue qui démolis le traitement de Raoult, publiait une étude élogieuse sur les effets positifs et le peu de dangerosité de la chloroquine en 2003 :
« La chloroquine exerce des effets antiviraux directs, en inhibant les étapes de la réplication de plusieurs virus dépendant du pH, y compris les membres des flavivirus, des rétrovirus et des coronavirus »
« Nous concluons que l’administration de chloroquine/hydroxychloroquine présente une toxicité limitée et bien évitable. »
C’était peut-être avant que l’on ne lui commande une étude allant dans le sens des intérêts en jeux du moment tant par ceux de Labos que par la doctrine des instances sanitaires gouvernementales pour le moins abracadabrantes et mortifères.