Vaincue dans les urnes par l’écrasante masse de plus de 8 millions de voix qui ont approuvé et mis en marche l’Assemblée Nationale Constituante mais aussi expulsée des rues où elle déchaînaient ses actions fascistes, l’opposition locale et internationale se voit dans l’obligation d’en appeler à la dernière carte qu’elle a en mains, c’est à dire l’intervention directe de celui qui, en fait, tire toutes les ficelles de la déstabilisation au Venezuela : l’impérialisme nord-américain et son représentant actuel Donald Trump.