
David Beasley, Programme alimentaire mondial, 13 novembre 2022 :
Avec 1 ou 2 dollars par semaine, on peut financer un programme de résilience qui permet de nourrir un enfant au Guatemala, en Équateur ou au Honduras. Si on devait prendre en charge cet enfant à la frontière sur le territoire américain, cela coûterait 4 000 dollars par semaine.
En 2017, il y avait 80 millions de personnes dans le monde au bord de la famine. Juste avant que le Covid ne frappe la planète, ce chiffre avait grimpé fin 2019 à 130 millions, en raison des chocs climatiques et des conflits armés. Puis, la situation s’est aggravée avec le Covid et son impact économique. Le nombre de personnes au bord de la famine a atteint 276 millions de personnes avant le déclenchement de la guerre en Ukraine, et s’élève désormais à 345 millions.
Note de do :
David Beasley dit aussi : « Les dirigeants commencent à se réveiller et comprennent que nous sommes face à la pire crise alimentaire et humanitaire depuis la seconde guerre mondiale. »
Cela fait 60 ans que j’entends ça. Le dernier paragraphe cité ci-dessus montre que c’est faux : les choses ne vont pas en s’arrangeant, au contraire ! Les gens du pouvoir laissent les pauvres à leur triste sort : « qu’ils crèvent sans nous déranger et sans nous le faire savoir » pensent-ils en noyant les sales arabes et les sales nègres dans la méditerranée !
Certaines personnes disent qu’il y a un programme prémédité par le pouvoir pour éradiquer la population excédentaire sur Terre. Mais non, c’est pas vraiment prémédité, "ils" laissent les choses se faire toutes seules en évitant que les problèmes débordent chez eux. C’est tout. Il leur reste à gérer ceux qui ont la volonté de vouloir veiller au bien de tous.
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