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Celui qui dit la vérité, il doit être exécuté !
Note de do : Tout ça va coûter extrêmement cher. Ça prouve une chose : les radars ne sont pas là pour rapporter du fric à l’État, mais pour habituer les gens à la soumission.
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Tout comme Allende en 1973, les vies de Morales et Linera sont menacées !
Rassemblement Communiste, 11 novembre 2019 :
Evo Morales, le président réélu, vient d’être contraint par l’armée et la police à démissionner. Proclamé président du pays par le Tribunal supérieur électoral (TSE) conformément à la loi électorale du pays après un décompte établissant une avance de 10 points, les nervis fascistes ont, avant même la proclamation des résultats, lancé leurs opérations de déstabilisation selon un scénario que l’on a vu au Nicaragua, au Venezuela, voire au Brésil. L’attente des résultats définitifs liée au dépouillement plus long dans les régions rurales, reculées et pauvres, mais notoirement favorables à Morales, a été elle même le prétexte déjà raciste et fasciste pour contester les résultats depuis les beaux quartiers bourgeois des grandes villes.
Le président élu Evo Morales a alors dénoncé un coup d’état en cours tout en conviant l’OEA (Organisation des Etats d’Amérique) à faire un audit conjoint avec le Tribunal supérieur électoral bolivien. Le rapport de l’OEA devait être présenté officiellement le mercredi 13 novembre 2019.
Mercure, c’est le gros point noir sur le soleil
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LIRE, sur carbureblog, "Le vert est la couleur du Dollar. Greta et la transition technologique". Lecture critique, bien sûr.
Première remarque : il y a encore des camarades qui ne savent pas ce qu’est un réacteur Steinfeld et continuent à radoter sur l’épuisement du pétrole naturel. C’est triste !
Seconde remarque : en marge de son objet principal cet article nous dit que dans le contexte actuel une révolution aboutirait à une situation chaotique non désirable (trop d’inconvénients). C’est dit comme ça, sans explication. Très habile propagande contre révolutionnaire-subliminale.
L’EPFZ sur la piste d’un carburant solaire rentable d’ici 2020
Avec un four solaire très puissant, le réacteur STEINFELD utilise le CO2 atmosphérique pour fabriquer des hydrocarbures ou de l’hydrogène…
Mon intervention (non transmise aux présents) à la soirée solidarité du PCF avec le peuple algérien
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Mohamed Bouhamidi le 9 novembre 2019 :
J’ai été invité à donner mon analyse des développements des mobilisations populaires dans notre pays.
La vidéo n’a pas été projetée.
Les organisateurs de cette soirée ont indiqué avoir reçu de moi une vidéo qu’ils ne pouvaient projeter pour des raisons techniques.
Je la diffuse donc pour que parvienne ma voix aux cercles et organisations françaises qui luttent contre l’impérialisme et le néocolonialisme de leur propre Etat et leur propre capitalisme. Leur aide nous sera nécessaire quand les politiques d’ingérences deviendront plus agressives.
Note de do : Le premier devoir de tout révolutionnaire est de lutter contre l’impérialisme de son propre pays.
De même que l’expression "lait végétal" est interdite
Il faut interdire l’expression "steak végétal"
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Le fer est absolument essentiel à la circulation de l’oxygène dans le corps
Le fer héminique ne se trouve que dans les produits animaux. C’est celui qui se trouve dans l’hémoglobine, une protéine à l’intérieur des globules rouges.
Quand les globules rouges arrivent dans les poumons avec le sang amené par les veines, le fer de l’hémoglobine s’oxyde, c’est-à-dire qu’il rouille en fixant de l’oxygène. Le sang prend alors la couleur rouge de la rouille. Puis, après être passé par cette pompe qu’on appelle le coeur, il circule dans les artères pour amener l’oxygène à divers organes comme les muscles ou le cerveau.
Quand l’hémoglobine a déposé l’oxygène dans ces organes, le sang perd sa couleur rouge. Il retourne alors dans les poumons pour que le fer de l’hémoglobine puisse se recharger à nouveau en oxygène.
Le fer étant par conséquent absolument essentiel, et le fer héminique ne se trouvant que dans les produits animaux l’expression "steak végétal" doit être bannie !
Le fer non héminique : c’est celui que l’on trouve par exemple dans les végétaux, les oeufs. Mais on le trouve en plus ou moins grandes quantités dans les autres aliments. Sa biodisponibilité est assez faible : inférieure à 5 %.
Le fer héminique : il se trouve exclusivement dans les produits animaux : il représente 40 % à 50 % du fer total contenu dans les viandes et les poissons. Son intérêt est d’avoir une très bonne biodisponibilité : plus de 25 % est assimilé par l’organisme.
Les viandes : la meilleure source !
Si tu veux savoir qui te dirige
Demande-toi de qui tu as peur de dire du mal
10 novembre 2019 :
Le village d’Om Chaayafa à la frontière avec la Turquie a été libéré par les forces de l’armée syrienne.
Selon ce rapport, l’armée syrienne a réussi à nettoyer le village d’Om Chaayafa dans la banlieue de Ras al-Aïn dans la province de Hassaké de la présence des militaires turcs et de ses supplétifs.
Après cette attaque, les forces liées à la Turquie ont pris la fuite vers le village d’al-Mahmoudiya dans le rif de Ras al-Aïn.
Les terroristes de l’Armée syrienne lire (ASL), soutenus par la Turquie ont lancé le samedi 9 novembre dans la matinée des attaques dans des zones dans la province de Hassaké contre les forces de l’armée syrienne et les milices kurdes.
« L’artillerie de l’armée turque appuie les terroristes d’ASL en intensifiant ses attaques dans les zones en conflit », a rapporté l’observatoire syrien pro-rebelles l’OSDH.
Ces affrontements se poursuivent alors qu’en vertu de l’accord de Sotchi, une trêve est instaurée dans le nord de la Syrie. Les milices kurdes ont rapporté à plusieurs reprises que la Turquie a violé l’accord.
Sit-in d’anciens employés licenciés par la compagnie Saudi Oger détenue par le Premier ministre sortant, Saad Hariri, le 9 novembre 2019 à Saïda, au Liban-Sud. Photo Mountasser Abdallah.
Note de do : Saïda est la capitale du Sud-Liban, fief du Hezbollah.
En 1999 l’historienne britannique FRANCES STONOR SAUNDERS (FSS) publie un ouvrage intitulé « WHO PLAY THE PIPER » qui dévoile et démontre le rôle central de la CIA sur le front idéologique de la guerre froide. Le livre sera traduit dans de nombreux pays et publié en France en 2003 par les éditions Denoël sous le titre « QUI MENE LA DANSE » et sous titré très explicitement : « La CIA et la guerre froide culturelle ». (voir en annexe l’introduction du livre)
Le livre apporte la démonstration qu’il y a bien eu un front idéologique et donc qu’il n’y avait pas selon l’imagerie en vigueur d’un côté la lourde propagande soviétique répandue à l’extérieur par le Kominform et de l’autre la fraicheur sincère des démocrates occidentaux libéraux. Le cœur de cette bataille et son principal objectif à ses débuts était d’éviter le ralliement ou au moins le soutien des intellectuels de gauche au communisme. Pour les intellectuels et les partis de droite à commencer par les divers avatars nationaux de la démocratie chrétienne le problème ne se posait évidemment pas. Avec le recul du temps on peut affirmer que cette bataille a été gagnée.
La précédente, livrée dés 1945/1946 pour faire éclater la Fédération Syndicale Mondiale à vocation universelle et organiser mondialement par une série de scissions nationales le syndicalisme anticommuniste, était déjà un exercice de manipulation de haute volée ce qui est attesté par le rôle central dans les deux opérations d’Irving Brown comme stratège et généreux distributeur de fonds publics étasuniens
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Être inapte confirmé
Le Monde Doplomatique, Novenbre 2019, pages 1, 14 et 15, en kiosques :
Il y a trente ans, la chute du mur de Berlin
L’exultation, la liberté, un violoncelliste virtuose jouant au pied d’un mur ébréché, d’autres possibles, la promesse de « paysages florissants (1) » : la geste du 9 novembre 1989 se chante d’ordinaire sur l’air de l’Hymne à la joie. Mais, depuis quelques mois, la discordance entre le grand récit de la « réunification » et la violence qui suivit cette révolution dite pacifique apparaît au grand jour. Avec les scores supérieurs à 20 % obtenus cette année par le parti d’extrême droite Alternative pour l’Allemagne (AfD) dans plusieurs Länder de l’ancienne République démocratique allemande (RDA), les sondages où « 58 % des Allemands de l’Est ont le sentiment de n’être pas mieux protégés de l’arbitraire étatique qu’en RDA » (Die Zeit, 3 octobre 2019), le succès d’ouvrages qui dévoilent les années 1990 du point de vue des « perdants », la commémoration de la chute du Mur prend une tonalité moins triomphale que les précédentes. Quelque chose cloche dans la belle histoire d’une généreuse Allemagne de l’Ouest offrant à son voisin ruiné par quatre décennies de dictature communiste le deutschemark et la démocratie.
À l’automne 1989, la population de la RDA écrit sa propre histoire. Sans concours extérieur, les manifestations de masse à Berlin, Leipzig, Dresde destituent l’État-parti dirigé par le Parti socialiste unifié (SED), sa police politique, ses médias aux ordres. Dans les semaines qui suivent la chute du Mur, l’écrasante majorité des opposants au régime aspire non pas à l’unification, mais à une RDA démocratique — à 71 %, selon un sondage du Spiegel (17 décembre 1989). Les propos d’un pasteur lors du rassemblement monstre du 4 novembre 1989 sur l’Alexanderplatz à Berlin traduisent cet état d’esprit : « Nous autres Allemands avons une responsabilité devant l’histoire, celle de montrer qu’un vrai socialisme est possible (2). »
Même tonalité dans l’appel « Pour notre pays » lancé le 26 novembre et présenté à la télévision nationale par l’écrivaine Christa Wolf. « Nous avons encore la possibilité de développer une alternative socialiste à la RFA [République fédérale d’Allemagne] », affirme ce texte qui recueillera 1,2 million de signatures — sur 16,6 millions d’habitants. Réunis au sein de la Table ronde, créée le 7 décembre sur le modèle polonais et hongrois pour « préserver l’indépendance » du pays et rédiger une Constitution, mouvements d’opposition et partis traditionnels esquissent les contours d’un socialisme démocratique et écologique. L’irruption des forces politiques ouest-allemandes neutralise bientôt cette mobilisation.
Un temps sidérés par les événements, les dirigeants de Bonn — alors capitale de la RFA — se lancent à la conquête électorale du pays voisin. Leur ingérence dans le scrutin législatif du 18 mars 1990, le premier soustrait à l’influence de l’État-parti et de Moscou, est telle qu’Egon Bahr, ancien ministre social-démocrate et artisan dans les années 1970 du rapprochement entre les deux Allemagnes, parle des « élections les plus sales [qu’il ait] observées dans [sa] vie (3) ». Fort du soutien des États-Unis et de la passivité d’une URSS affaiblie, la République fédérale dirigée par le chancelier conservateur Helmut Kohl procède en quelques mois à un spectaculaire coup de force : l’annexion d’un État souverain, la liquidation intégrale de son économie et de ses institutions, la transplantation d’un régime de capitalisme libéral.
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Symbolique de l’esprit dans lequel se fait cette chute, chaque Allemand de l’Est se rendant en RFA reçoit alors 100 Deutschemarks, récompense distribuée par le capitalisme pour avoir contribué à la mort du socialisme en RDA.
Mais les citoyens de RDA, achetés aux premiers jours comme prix de l’illusion de leur « liberté », finiront par payer le prix fort cette annexion dans le capitalisme, de cette découverte de la « liberté du renard dans le poulailler ».
La RDA a été traitée comme un état conquis dont le colonisateur détruit sans vergogne l’appareil d’état préexistant. Le passage au capitalisme est brutal pour les travailleurs : 14 000 entreprises d’Etat ou coopératives sont privatisées soit 80% de l’économie allemande ! Un pays, qui était considéré comme la 10e puissance industrielle mondiale, est livré en pâture aux charognards. 4 000 entreprises publiques est-allemandes seront purement et simplement fermées. Au total, dès le début des années 90, on estime que près de 2,5 millions de personnes auront perdu leur emploi, que 3 millions d’actifs vont se retrouver en situation de sous emplois pour près de 9 millions d’actifs. Effondrement social pour des millions de travailleurs qui, pour une large masse ne retrouveront pas de travail stable ou devront émigrer à l’Ouest (1,5 millions de jeunes sont partis).
FRANCE 2019 - Un étudiant de 22 ans en détresse sociale, dégoûté par la violence de la société, s’est immolé ce vendredi 8 novembre 2019 à Lyon.
Il a laissé un message touchant que vous trouverez dans l’article.
Note de A suivre : 24 h après le sacrifice dramatique de ce jeune, aucun commentaire dans les médias, rien aux infos, bref, le mépris habituel de la classe dirigeante. Tout mon soutien à sa famille et à ses proches.
L’« écoute de l’émission » ne sera pas suffisante ; car, la révolution n’est pas un feuilleton télé à regarder, ce n’est pas un spectacle, il faudra se déplacer pour participer.
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C’est la racaille, et bien j’en suis !
Enregistré sur France 3 le 3 novembre 2019 à 19h30
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Et si c’était la police qui avait elle-même mis le feu au centre culturel de Chanteloup-les-Vignes ?
En effet, cela fait des semaines que des banlieusards attaquent la police dans les cités ; alors, histoire de faire mal-voir ces émeutiers, histoire que ça se calme, la police a très bien pu mettre le feu à ce centre culturel apprécié de tous afin d’en attribuer la faute aux émeutiers.
Bien entendu, le pouvoir nous a sorti le même mensonge que Sarkozy lors des émeutes de 2005
En 2005, le Sarkonazi avait prétendu que les émeutes étaient pratiquées par des vendeurs de drogue dérangés par une police trop présente. Ce gros mensonge avait été démenti par les RG (Renseignements Généraux) c’est-à-dire par la police politique française. Ceux-ci disaient à juste titre qu’au contraire de ce que disait Sarko, les dealeurs préféraient que le calme règne dans leurs quartiers, et que les émeutes attiraient la police, ce qui dérangeait le trafic. Les RG disaient que les émeutiers étaient tout simplement des pauvres qui en avaient marre d’être pauvres.
Bien entendu, ça n’a pas du tout plu au sarkonazi d’être démenti par sa propre police politique. Pour la punir, il a tout d’abord viré le chef des RG, puis a fini par dissoudre ce corps dans la DST (Défense et Sécurité du Territoire), ainsi devenue la DCRI, puis la DGSI (service secret intérieur).
La Canaille
Dans la vieille cité française
Existe une race de fer
Dont l’âme comme une fournaise
A de son feu bronzé la chair.
Tous ses fils naissent sur la paille,
Pour palais ils n’ont qu’un taudis.
C’est la canaille, et bien j’en suis !
La suite de la chanson est dans l’article
NEW YORK (Nations Unies), 7 novembre (Xinhua) — L’Assemblée générale des Nations Unies a adopté jeudi une résolution appelant à la levée de l’embargo américain sur Cuba. C’est la vingt-huitième fois qu’est adoptée une résolution similaire.
La Chine, qui a lancé le 31 octobre 2019 les services 5G sur son territoire, a en outre annoncé avoir commencé le développement de la technologie 6G. Pékin a besoin de connexions ultra-rapides pour plusieurs raisons.
La mise en place par la Chine des réseaux de données 5G et 6G permettra d’utiliser Internet dans plus de domaines, notamment le contrôle des drones, les services publics ou la télémédecine, et de connecter les régions éloignées.
La particularité de la 6G consiste dans la connexion des réseaux sans fil aux satellites en orbite qui permettra à Internet de couvrir une zone beaucoup plus vaste. Les communications sans fil actuelles dépendent des stations de base et la zone où elles sont accessibles est limitée. Les régions privées d’Internet ne peuvent compter que sur les satellites, dont les plus efficaces évoluent en orbite basse. Ils couvrent des espaces assez vastes et sont très économiques.
La vitesse sera incomparablement supérieure à la 4G.
8 novembre 2019 :
« Le Hezbollah fera partie du prochain gouvernement parce qu’il fait partie de ce peuple et de ses choix. Il œuvrera pour que la voix des gens soit respectée et que leurs souffrances soient guéries », a pour sa part assuré cheikh Qassem, après avoir salué les manifestations qui se poursuivent au Liban pour le 23e jour consécutif, pour protester contre une classe politique corrompue qui a poussé la situation économique au bord du gouffre.
C’est la deuxième fois que le numéro deux du Hezbollah se prononce sur les événements au Liban en moins de 48 heures. Le jeudi 7 novembre 2019, il avait salué les manifestants, rappelant que le Hezbollah soutient leur mouvement et leur maintien dans les rues « pour que les autorités restent mobilisées et attentives qu’elles seront sous contrôle et auront des comptes à rendre »
Cette position intervient alors qu’il est question, selon certains médias libanais, de conditions imposées par les occidentaux exigeant que le parti de la résistance ne soit pas représenté au sein du prochain gouvernement.
8 novembre 2019 :
De manière générale, les critiques les plus sévères à l’égard du Hezbollah, allié de l’Iran au Liban, et de son corps armé le plus puissant viennent des médias grand public, qui trouvent apparemment intéressant d’associer l’Iran et ses alliés à chaque événement. En réalité, très peu de voix, dans les rues du Liban, se font entendre contre le Hezbollah. Celles-ci proviennent principalement de régions sous le contrôle du dirigeant des « Forces libanaises », Samir Geagea, qui émarge sur les feuilles de paie des États-Unis et de l’Arabie Saoudite avec pour objectif clair de renforcer son image. Les ministres de Geagea ont offert leur démission dès le premier jour des manifestations pour se démarquer du gouvernement auquel ils appartenaient ces dernières années. Il a été le seul à quitter le cabinet. Ses hommes ferment les rues sur des sections importantes des principales routes dans les zones à prédominance chrétienne pour améliorer ses conditions de négociation dans tout futur cabinet.
Des sources bien informées à Beyrouth estiment que la fermeture de la route reliant le sud du Liban à Beyrouth et la vallée de la Bekaa et Beyrouth – fiefs de chiites – ne constitue pas un geste innocent. Le but est d’amener le Hezbollah dans les rues et de déclencher une nouvelle guerre civile dans le pays, le déstabilisant pour les années à venir.
La quatrième édition de l’Assemblée des Assemblées, grand rassemblement des Gilets jaunes de toute la France, s’est tenue à Montpellier. L’occasion de faire le point sur les forces du mouvement, de préparer l’anniversaire du 16 et 17 novembre et de penser l’avenir. Un appel à rejoindre la grève générale du 5 décembre a également été lancé.
Qui aurait pu prévoir que deux conséquences de la victoire de l’impérialisme russe dans la guerre syrienne seraient le renforcement de l’occupation militaire américaine en Irak (qui avait amorcé son retrait), et une tentative de fomenter une guerre civile au Liban ? Sans compter l’impasse électoraliste en Israël (le porte-avion américain délaissé au Levant) ;
6 novembre 2019 :
Les tableaux qui suivent sont repris d’une présentation de l’économiste Jacques Sapir dans une émission de RT (Russia Today) à la suite d’une péripétie parlementaire survenue au cours du vote du Projet de loi sur le financement de la sécurité sociale (PFLSS), le gouvernement ayant fait basculer sur le budget de la Sécurité sociale les quelques mesures d’allègement des cotisations sociales décidées fin 2018 dans la précipitation en réponse au mouvement des gilets jaunes.
Mais ils permettent de donner une profondeur stratégique à cet incident.
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Sur la problématique essentielle du rapport entre transition socialiste et économie de marché.
Une comparaison entre l’URSS socialiste et le « socialisme de marché » en Chine actuelle fait bien appel à deux bases économiques radicalement différentes.
D’un point de vue marxiste, et donc ML, le terme de transition socialiste ne se comprend que comme rupture avec le capitalisme. Autrement il n’a évidemment plus aucun sens et il ne peut s’agir que d’une forme ou l’autre de révisionnisme ou de trotskysme, voire de sociale-démocratie.
La question de savoir si transition socialiste implique une rupture avec l’économie de marché n’est pas si difficile à éclaircir, d’un point de vue marxiste-léniniste !
Explication…
C’est moins cher quand y’a pas de viande au menu
« "Ils" nous disent comment faire la cuisine,
Bientôt ils nous diront comment faire la vaisselle ! »
Extrait du France 3 Auvergne du 5 novembre 2019 à 19h30
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Comme excuse bidon, "ils" disent que c’est pour sauver la planète !
En réalité, il revient moins cher de nourrir les esclaves avec du riz et des nouilles qu’avec de la viande. Et il faut donc qu’on en prenne progressivement l’habitude. Les végétariens sont bêtes à manger du foin : ce sont les portes-paroles du pouvoir !
Elle ne croit pas que ce soient les émeutiers qui ont mis le feu
Enregistré sur France 3 le 5 novembre 2019 après 19h30
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Macron veut qu’il n’y ait plus de cotisations sociales. Il l’a dit !
Gérard Filoche sur Russia Today le 31 octobre 2019
Enbata, 4 novembre 2019 :
Avec une grande complicité politique et médiatique, le débat se décentre aujourd’hui vers les thèses d’extrême droite, libérant la parole et normalisant un discours qui annihile les valeurs Républicaines.
HD Zep Nique la France (vidéo 4’39)
Puisque, comme le Sakonazi il y a dix ans, Macron veut relancer le racisme anti-immigré en France, voici quatre courtes vidéos antiracistes.
Celle de Fernand Raynaud est bien sûr la plus subtile, mais celle de ZEP est plus "politique", celle de Salvador plus rigolote. Il y a aussi une mention spéciale pour celle du Burkinabé Zongo.
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À l’époque, en art, les signatures fonctionnaient souvent non par individu, par peintre, mais par école. Ainsi, on a retrouvé une lettre qu’un élève de Léonard de Vinci avait écrit à sa mère. Il disait qu’il était très fier que le maître ait accepté signé son oeuvre : La Joconde. Cette histoire avait été racontée à la télé il y a 30 ou 40 ans.
Enregistré sur France 2 le 4 novembre 2019 à 20 heures
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"Les meneurs sont des dealers" prétend le pouvoir
Enregistré sur France 3 le 4 novembre 2019 à 19h30
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En 2005, le Sarkonazi avait prétendu que les émeutes étaient pratiquées par des vendeurs de drogue dérangés par une police trop présente. Ce gros mensonge avait été démenti par les RG (Renseignements Généraux) c’est-à-dire par la police politique française. Ceux-ci disaient à juste titre qu’au contraire de ce que disait Sarko, les dealeurs préféraient que le calme règne dans leurs quartiers, et que les émeutes attiraient la police, ce qui dérangeait le trafic. Les RG disaient que les émeutiers étaient tout simplement des pauvres qui en avaient marre d’être pauvres.
Bien entendu, ça n’a pas du tout plu au sarkonazi d’être démenti par sa propre police politique. Pour la punir, il a tout d’abord viré le chef des RG, puis a fini par dissoudre ce corps dans la DST (Défense et Sécurité du Territoire), ainsi devenue la DCRI, puis la DGSI (service secret intérieur).
Enquête : comment un « gilet jaune » a été blessé à la tête
Par un tir de LBD à Bordeaux le 12 janvier 2019
Le Monde le 16 octobre 2019
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L’enquête vidéo de certains journalistes du Monde révèle comment un manifestant a été touché à la tête par un tir de LBD, suivi d’un jet de grenade de désencerclement non autorisé, lors d’un rassemblement de « gilets jaunes » à Bordeaux, le 12 janvier 2019.
Le 12 janvier 2019, à Bordeaux, après une charge de la police, le manifestant « gilet jaune » Olivier Beziade est gravement blessé à la tête. Plongé dans le coma artificiel par les pompiers, puis immobilisé par 90 jours d’ITT, il souffre toujours d’hémiplégie.
Grâce à l’analyse de centaines d’images, la modélisation 3D des lieux et une quinzaine d’interviews, l’enquête vidéo du Monde révèle comment ce manifestant a été la cible d’un tir de LBD 40 dans la tête alors qu’il ne présentait pas de menace, mais aussi d’un jet de grenade de désencerclement non autorisé. Des images qui illustrent comment les forces de l’ordre ont fait usage d’armes dangereuses sans respecter les principes de nécessité et de proportionnalité, ni les règles en matière d’assistance et de premiers secours.
La terrible répression du mouvement des Gilets Jaunes
QG TV : Aude Lancelin rencontre David Dufresne le 29 octobre 2019
Quartier Libre - David Dufresne : « Allô, place Beauvau ? C’est pour un signalement »
Aude Lancelin reçoit David Dufresne, pour la parution de « Dernière sommation », son roman chez Grasset. Connu pour ses recensements des violences policières, il y retrace la répression subie par le mouvement des Gilets jaunes.
Les fumeurs sont une minorité, mais ils sont nombreux, assez nombreux pour se venger des taxes abusives et des lois d’exclusion qu’ils subissent.
« Redéployer et moderniser le réseau de finance public »
Extrait du France 3 Auvergne du 2 novembre 2019 à 19 heures
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« Le LBD évite l’utilisation de l’arme "létale" »
Enregistré sur France 3 le 2 novembre 2019 à 19h30
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La bataille du Russie par le gouvernement des USA en 1943
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« Il y a une guerre des classes, c’est un fait. Mais c’est ma classe, la classe des riches, qui mène cette guerre et qui est en train de la gagner. » __Warren Buffet [82,5 Mds $]
A propos de la « résolution sur la mémoire européenne », et en lien avec le magnifique film US de 1943, « la Bataille de Russie », récemment retrouvé dans sa version française d’époque…
Ce que vise expressément le Parlement Européen, dans les attendus de son vote du 19/09/2019, c’est bien l’ensemble de la période socialiste soviétique qui a permis la construction de cette capacité à vaincre le fascisme. C’est un moment historique particulièrement émouvant de cette période qu’il nous est donc encore donné de comprendre dans le film de 1943, et il nous montre précisément ce que socialisme réel signifiait en URSS, pour la classe ouvrière et l’ensemble des classes populaires de ce pays. Cet acte de guerre idéologique fomenté par le Parlement Européen, c’est donc aussi, et même avant tout, un acte de guerre de classe.
Or, comment la « gauche » française se situe-t-elle face à cet acte de guerre de classe ? Se situe-t-elle vraiment du côté du prolétariat et des classes populaires ? Est-elle capable de mener une contre-offensive ?
Le président Michel Aoun pour un gouvernement formé de ministres choisis en fonction des compétences et non de l’affiliation politique
L’administration Trump a suspendu une aide militaire de 105 millions de dollars destinée au Liban, ont déclaré deux officiels américains à l’agence Reuters jeudi, soit deux jours après la démission du Premier ministre Saad Hariri sous la pression de la rue.
Malgré les possibles fuites des capitaux, les banques libanaises ont rouvert leurs portes au public, vendredi 1er novembre, après deux semaines durant lesquelles elles sont restées fermées en raison des manifestations qui ont mené à la démission du gouvernement.
Le gouvernement US exprime sa préoccupation face au rôle grandissant du Hezbollah, qualifié par Washington de groupe terroriste.
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Portons un coup d’arrêt définitif à la mise en place de la dictature technotronique, en France, par ceux qui sont derrière la réduction programmée de l’Humanité, grâce à l’IA, les blockchains, la 5G pour nous enfermer dans des Mégalopoles Connectées en cours d’achèvement !
Si on réussit à mettre fin à cette crise politique par la manière la plus souhaitable, la première chose à faire consistera à récupérer l’argent de l’État. Avant de quitter le Canada pour Alger, un député canadien avait écrit une lettre ouverte au ministre des Finances du Canada pour l’alerter sur le fait que les transferts de fonds de l’Algérie vers le Canada étaient multipliés par dix ou vingt durant ces derniers mois. Chaque jour, des centaines de millions de dollars quittent l’Algérie à destination du Canada.
À mon avis, dès l’installation d’une instance légitime dans le pays, il faudra commencer urgemment par la récupération de ces fonds. Je suppose que des sommes aussi importantes ont été transférées en France, en Angleterre, aux États-Unis, en Suisse, etc.
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Note de do :
La stratégie des Gilets Jaunes, c’était l’insurrection ! mais la reporter d’un samedi sur l’autre ne pouvait qu’affaiblir progressivement le mouvement : celui qui, le premier samedi, a crié : « Arrêtez tout, on revient samedi prochain » est un traître.
Ce mouvement aurait été capable de se passer de grève générale à la seule condition qu’il prenne le pouvoir par les armes, comme le 14 juillet 1789 ou le 10 août 1792. Sans cela, la grève générale, comme en mai 68, est indispensable :
Rendez-vous le 5 décembre 2019, où, si nous voulons gagner, la grève générale illimitée devra toucher tout le monde, et pas seulement les cheminots !
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Letemps.ch, 1er novembre 2019 :
Genève somme Uber de se plier à la loi. Le conseiller d’Etat Mauro Poggia estime que la multinationale EMPLOIE les chauffeurs qui utilisent son application. Le groupe va faire recours.
Le magistrat voit un lien de subordination entre les chauffeurs et Uber. Il estime que ce dernier est davantage un transporteur qu’un diffuseur de courses, au sens de la loi sur les taxis et voitures de transport avec chauffeur (LTVTC), un statut qui l’oblige à traiter les chauffeurs utilisant l’application comme ses employés. « Uber doit payer des salaires et s’acquitter de charges sociales, ce qu’il ne fait pas », selon Mauro Poggia.
« Nous considérons aussi qu’Uber est une société étrangère [le siège européen du groupe se trouve à Amsterdam] et qu’en tant que telle elle emploie des travailleurs détachés », ajoute le ministre. Or, selon les accords de libre circulation des personnes entre la Suisse et l’Union européenne, un travailleur détaché ne peut travailler plus de 90 jours en Suisse, ce qui est manifestement le cas de nombreux chauffeurs Uber, glisse le magistrat.
L’« écoute de l’émission » ne sera pas suffisante ; car, la révolution n’est pas un feuilleton télé à regarder, ce n’est pas un spectacle, il faudra se déplacer pour participer.
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Un psychovirus envoyé par la télé contamine un cerveau, puis se transmet de cerveau à cerveau jusqu’à un cerveau qui ne regarde jamais la télé… et qui prétend fièrement : « Je ne peux pas dire la même chose que la télé, puisque je ne regarde jamais la télé !
J’ai toujours mangé de la viande (ou à la rigueur du poisson, des tripoux, etc.) deux fois par jour et je n’ai pas l’intention de changer cela pour faire plaisir au pouvoir.
Si la politique c’est aussi l’art du compromis, la Révolution, c’est l’art du compromis entre classes et communautés.
Nous, on fait partie du troupeau ; donc, on DOIT prendre les animaux pour nos égaux. C’est évident ! En tout cas, vu depuis le château de nos maîtres, nous sommes des animaux comme les autres, au même titre que les vaches, les poules ou les chiens.
Les animalistes ne font qu’accepter cela comme un état de fait souhaitable, et cherchent à nous imposer cette idéologie d’égalité entre l’homme et l’animal ; alors que nos maîtres essayaient depuis la Révolution Française de nous faire croire qu’ils nous considéraient tout de même un peu plus que des animaux, presque comme leurs égaux.
Les animalistes sont une tentative de nos maîtres pour nous faire retourner avant la révolution française, époque ou le paysan acceptait d’être traité comme un chien par son seigneur et maître. Les animalistes sont donc les mercenaires idéologique inconscients de nos maîtres. L’animaliste est la voix de son maître.
« Il est mort comme un chien », Donald Trump ne pouvait être plus percutant alors qu’il posait devant les caméras du monde entier. Abou Bakr al-Baghdadi, chef recruteur de Daech au Levant, aurait été livré à ses bourreaux sans procès, tout comme son prédécesseur Osama Ben Laden ex-recruteur d’AL QAIDA, prétendument assassiné extrajudiciairement.
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VIVE LA GRÉVE GÉNÉRALE SAUVAGE TOTALE ET ILLIMITÉE
La population chrétienne de Palestine diminue à un rythme alarmant. La plus ancienne communauté chrétienne du monde émigre ailleurs, et la raison en est Israël.
« Le mur encercle Bethléem en continuant au sud de Jérusalem-Est, à l’est comme à l’ouest », a déclaré l’organisation « Open Bethlehem », décrivant l’impact dévastateur du mur sur la ville palestinienne. « Avec les terres isolées par le mur, annexées aux colonies et fermées sous divers prétextes, seuls 13% du district de Bethléem sont accessibles pour une utilisation palestinienne. »
De plus en plus assiégés, les chrétiens palestiniens de Bethléem ont été chassés en grand nombre de leur ville historique. Selon Vera Baboun, maire de la ville, à compter de 2016 la population chrétienne de Bethléem est tombée à 12%, soit à peine 11 000 personnes.
Israël tient à présenter le « conflit » en Palestine comme un conflit religieux afin de pouvoir se présenter comme un État juif assiégé au milieu d’une population musulmane largement dominante au Moyen-Orient. La persistance de chrétiens palestiniens n’entre pas dans les objectifs israéliens.
Alpha Blondy - 50 ans d’esclavage économique (Vidéo 4’22)
La vraie souveraineté c’est d’avoir un président honnête
et pas une marionnette !
Vous contrôlez notre CFA !
Les décisions des banques africaines
sont prises à Francfort !
et pas en Afrique !
Et moi je dis,
C’est pas réglo !
Et pas du tout rigolo !
Enregistré sur France Ô le 16 septembre 2011
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Dakar le 28 octobre 2019 :
La France veut proposer une réforme qui « concerne notamment les réserves de change que la Bceao dispose auprès du Trésor français. Celles-ci devraient progressivement être délocalisées vers une autre institution internationale qui pourrait être la Banque des règlements internationaux (Bri) sise en Suisse !
De quel droit la France peut–elle se prévaloir pour décider où l’UEMOA va déposer ses réserves actuellement logées dans un Compte d’opération du Trésor Français ?
N’a-t-elle pas toujours dit que l’avenir du FR CFA relève de la volonté de nos Chefs d’Etat ?
Devant la volonté exprimée par nos Chefs d’Etat de créer une monnaie communautaire dans le cadre de la CEDEAO dotée d’une Banque Centrale devant centraliser nos réserves, la France jette les masques et montre à la face du monde, à quel point elle tient à nous empêcher de prendre le contrôle de nos réserves.
Note de do : CFA = Colonie Françaises d’Afrique
Le CFA, c’est le Franc CFA qui a cours dans toutes les Colonies Françaises d’Afrique. Aujourd’hui les Africains sont "indépendants", mais le CFA continue à être imprimé à Chamalières en France. « C"est quoi cette indépendance-là » questionne Alpha Blondy.
Jean-Pierre Garnier, 31 octobre 2019 :
Combat pour quoi ? Une « culture de l’émancipation », bien sûr. C’est du moins ce qui ressort de l’envoi qui m’est parvenu hier par la poste (je suis abonné) du dernier numéro du Diplo (novembre) auquel était joint un extrait du catalogue de vente par correspondance (les fêtes de fin d’année approchent) de 8 pages — la version complète en comprend 48 ! — de la librairie Quilombo. On y apprend dans la présentation que le lecteur pourra « retrouver régulièrement dans Le Monde diplomatique » les différentes thématiques selon lesquelles les références ont été classées.
Après deux semaines d’une mobilisation sans précédent au Liban, l’armée libanaise a décidé, ce mercredi 30 octobre 2019, de débloquer les principaux accès à la capitale, permettant une reprise de l’activité dans le pays après une longue paralysie.
Des centaines de milliers de Libanais avaient investi les rues, depuis le 17 octobre 2019, dans différentes régions du pays pour protester contre la corruption et l’augmentation des impôts par le gouvernement. Mais trois principaux partis impliqués dans la corruption, à savoir le parti progressiste de Walid Joumblatt, celui des Forces Libanaises (Samir Geagea) ainsi que des Kataeb (Gemayel) ont exploité ces manifestations pour réclamer la chute du mandat du chef de l’Etat et demander au Hezbollah de rendre ses armes.
30 octobre 2019 : La démission du gouvernement a cependant été accueillie par les groupes qui ont démontré ces derniers mois leur dépendance à l’égard de l’Arabie saoudite. Samir Geagea, chef du Parti des forces libanaises et Walid Joumblatt, chef du Parti socialiste progressiste (PSP), ont salué la démission du gouvernement. Cette prise de position elle-même ajoute à l’ambiguïté de l’avenir du Liban, car elle montre que les groupes pro-saoudiens ne veulent plus voir Saad Hariri arriver au poste de Premier ministre, exigeant que le Premier ministre soit davantage dépendant de Riyad et des États-Unis.
30 octobre 2019 :
Au 13e jour des protestations au Liban, le Premier ministre Saad Hariri a officiellement présenté sa démission. Dans le même temps, les partisans de Samir Geagea se sont armés.
Les rapports et les photos qu’ont récemment publiés les médias, montrent les camions chargés de denrées alimentaires envoyés par l’Arabie saoudite pour les protestataires libanais.
En plus, les Saoudiens et les Émiratis paient une somme variant entre 100 et 150 dollars aux protestataires libanais qui restent dans la rue, bloquent les avenus et passent la nuit dans les tentes.
Le gouvernement syrien a appelé mercredi 30 octobre 2019 les forces kurdes à intégrer les rangs de l’armée déployée dans le nord-est de la Syrie
« Le commandement général des forces armées est prêt à accueillir les membres des unités des Forces démocratiques syriennes (FDS, dominées par les combattants kurdes, ndlr) qui souhaitent rejoindre ses rangs »
SANA, 30 octobre 2019 :
L’armée arabe syrienne a mené aujourd’hui de violents affrontements contre les forces d’occupation turques à Tell Ward dans la banlieue sud-est de Ras al-Ain.
L’agresseur turc et ses mercenaires, des terroristes, avaient visé avec des dizaines d’obus de mortier les maisons des habitants dans les villages de la banlieue nord de Tell Tamer, ce qui a causé un grand mouvement de déplacement des habitants.
Hier, nous étions samedi 26 octobre 2019. Hier, c’était manifestation sur Paris. Il s’agissait de l’acte 50. Le trajet était Bercy, Nation, Belleville puis Place du Colonel Fabien. Le départ était à 14h et la fin (dispersion) à 18h. À 12h, les gens avaient la possibilité de se retrouver sur Bercy.
Il y a tout de même une victoire à noter. Nous avons fini par nasser les CRS et nous nous sommes mis à chanter « on est là, on est là ! Même si Macron ne veut pas, nous on est là. Pour l’honneur des travailleurs et pour un monde meilleur, même si Macron ne veut pas, nous on est là ». Certains dansaient. La chorale, au bout de quelques minutes, a fait reculer les CRS. Nous avons avancé vers colonel Fabien. Mais les renforts sont arrivés et nous avons été violemment chargés puis refoulés sur Belleville…
Au Chili, ils ont obtenu le remaniement de leur gouvernement… Mais ils continuent la lutte pour finir le travail.
Note de do : Où il apparait que les "antifas" jouent au SO, c’est-à-dire au Service d’Ordre, c’est-à-dire au self-made flic.
Le poing d’Otpor est la signature de bien des "révolutions de couleur" commanditées par l’Occident, lui même mené par l’impérialisme US. Et il est vrai que l’on a vu des manifestants réclamer le désarmement de la résistance au sionisme : le Hezbollah de Hassan Nasrallah.
Extrait de Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Otpor
Le mouvement Otpor, en serbe cyrillique Отпор (« Résistance »), est une organisation politique, créée en 1998, avec le soutien de l’organisation américaine National Endowment for Democracy, et du milliardaire philanthrope George Soros et généralement considérée comme l’un des acteurs majeurs de la chute du régime de Slobodan Milošević.
Après la chute du régime, Otpor est devenu le centre de formation pour l’action non-violente et a formé des jeunes révolutionnaires de différents pays, en Géorgie, puis en Ukraine, mais aussi en Biélorussie, aux Maldives, en 2011 Égypte et en 2013 au Venezuela.
Le gouvernement démissionne au treizième jour du soulèvement populaire. Cette démission confirme que le peuple peut changer et imposer son choix chaque fois qu’il décide de le faire.
Elle répond à la première exigence formulée par le Mouvement populaire. Elle doit donc être célébrée en tant que succès politique obtenu sous la pression du soulèvement.
D’autres exigences restent à venir. C’est la raison pour laquelle il est nécessaire de poursuivre la confrontation jusqu’au changement global qui doit être piloté par un gouvernement national de transition chargé de deux tâches principales :
Le Bureau politique du Parti communiste libanais
Beyrouth, le 29 octobre 2019
Liban : les États-Unis cherchent à distraire le Hezbollah
« Les États-Unis maintiennent des pressions sur l’armée libanaise pour que la tension persiste de manière contrôlée, et cela afin de tenir occupé ailleurs, le Hezbollah et son alliance avec Michel Aoun », a déclaré Wafiq Qansouh, expert libanais.
En faisant implicitement allusion aux récents propos du secrétaire général du Hezbollah libanais qui avait demandé aux protestataires de nommer un représentant pour négocier avec le gouvernement libanais, Wafiq Qansouh a déclaré : « Ceux qui ont confisqué ce mouvement populaire pacifique ne veulent pas que les protestataires aient un représentant capable de négocier avec le gouvernement. Les revendications de certains protestataires à propos des armes de la Résistance restent suspectes, car le Hezbollah n’a pas recours à ses armes à l’intérieur du Liban et il insiste même sur un retour à la normale dans le pays ».
Mardi 29 octobre 2019, au 13e jour consécutif de la révolte inédite contre le pouvoir libanais, la nervosité et la tension dans la rue sont montées d’un cran. Des partisans du Hezbollah et du mouvement Amal ont attaqué le centre-ville de Beyrouth, cœur de la contestation, et ont saccagé les tentes installées, place Riad el-Solh et place des Matyrs, par les manifestants anti-gouvernement. De nombreuses disputes et bagarres avaient auparavant éclaté entre manifestants et automobilistes excédés, au niveau des barrages routiers tenus par les protestataires sur les axes névralgiques à travers le pays, notamment au niveau de la voie express du Ring où de violentes échauffourées ont opposé manifestants à des habitants de quartiers voisins, dont de nombreux partisans du Hezbollah et d’Amal.
Le Premier ministre libanais, Saad Hariri, a annoncé mardi 29 octobre 2019 qu’il va présenter au président Michel Aoun sa démission, réclamée par des centaines de milliers de Libanais depuis le 17 octobre 2019. Cette annonce intervient quelques heures après une violente attaque de partisans du Hezbollah et d’Amal contre les manifestants anti-gouvernement dans le centre-ville de Beyrouth.
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Menaces en mers du Nord
Il est peu connu, que toutes les côtes de l’Europe du Nord et de la France sont truffées de bombes de la grande guerre contenant des agents chimiques comme le gaz moutarde. Que ces bombes sont altérées et que le gaz moutarde se répand dans les océans et provoque déjà des maladies sur les poissons et leur reproduction. Par exemple a Knokke-Heist, 35.000 tonnes de bombes et de grenades ont été stockées dans la mer en 1919.
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BORDEAUX ACTE 50 : RÉVOLUTION !
Radio et Télévision Françaises des Droits de l’Homme (RTF-DH)
26 octobre 2019
Le Rojava est un territoire "kurde" au nord de la Syrie qui était tenu par les FDS, eux-mêmes soutenus par l’impérialisme US, et récemment abandonnés à leur propre sort par celui-ci.
L’impérialisme US, qui avait besoin d’eux pour détruire l’État syrien, les a bien entendu abandonnés dès qu’il a perdu la guerre contre la Syrie. Guerre qu’il menait avec l’aide de divers Djihadistes islamistes dont DAECH ne fut que la dernière mouture.
Les Kurdes se sont donc tournés vers Bachar el-Assad pour être sauvés. Mais il faut se méfier des oustachis kurdes autant que des peshmergas croates.
Depuis 1999 que leur chef Occalan est en prison, les Kurdes font n’importe quoi. Par exemple, en 2003, ils se sont alliés aux Américains qui envahissaient l’Irak. Ils se sont à nouveau alliés à eux quand les Amerloques ont tentés de détruire la Syrie.
Ce qui semble difficile à comprendre, c’est qu’ils ont encore le soutien de ce qui fut la Ligue † et de divers anarchistes. Mais, rien d’étonnant en fait, car ces gens sont eux-mêmes infiltrés par les services secrets qui leur disent ce qu’il faut faire pour être de bons communistes et de bons anarchistes.
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La Norvège met les éleveurs de rennes au pas.
Letemps.ch, 27 octobre 2019 :
La décision d’imposer l’abattage d’une partie d’un troupeau de rennes au nord de la Scandinavie contre l’avis de l’ONU révèle une face sombre de la politique environnementale norvégienne, selon Ian Florin, doctorant à l’Institut des sciences de l’environnement de l’Université de Genève.
Alors que la page de deux siècles de discrimination raciale systématique à l’égard des peuples autochtones est officiellement tournée, ce passage en force fait ressurgir une attitude coloniale que d’aucuns pensaient révolue. L’argumentaire écologique utilisé par le gouvernement pour justifier la réduction drastique du cheptel ne convainc pas la communauté samie, qui dénonce une grave violation de son droit à l’existence.
L’esthétique macabre de sa Pile o’Sápmi était là pour faire directement écho aux Piles o’Bones, ces amas de têtes de bisons entassées par les chasseurs occidentaux dans les plaines nord-américaines. Pour Máret Anne Sara, il s’agit de montrer que la réduction forcée du cheptel norvégien ressort de la même logique que celle qui guidait les colons européens quand ceux-ci s’attaquaient aux bisons pour mieux conquérir le territoire des Amérindiens.
La liquidation du chef historique de l’Etat islamique représente un grand succès pour Donald Trump. Mais il n’est pas certain qu’elle aura un impact décisif sur le cours de la guerre.
Donald Trump avait de quoi triompher dimanche en annonçant l’élimination du chef de l’Etat islamique, Abou Bakr al-Baghdadi. A l’instar de son prédécesseur Barack Obama informant ses compatriotes de la mort d’Oussama ben Laden sous les tirs d’un commando américain au Pakistan en 2011, il peut en attendre un regain important de popularité à un moment clé : à l’heure où s’intensifie la campagne présidentielle au terme de laquelle il compte bien être réélu, l’an prochain, à la tête des Etats-Unis.
L’exemple le plus spectaculaire d’effondrement d’un groupe armé suite à la neutralisation de son chef est celui de la guérilla maoïste péruvienne du Sentier lumineux qui n’a pas résisté à la détention de son chef, Abimael Guzman, en 1992. Mais justement, il s’est agi d’une arrestation et non d’une exécution. Arrestation qui avait permis aux autorités de Lima de l’humilier publiquement en le présentant, vêtu d’un uniforme rayé de prisonnier, dans une cage, où ses vociférations ont paru subitement aussi bestiales que dérisoires.
C’est à cette aune qu’il faut sans doute interpréter l’insistance avec laquelle Donald Trump a décrit dimanche les derniers instants d’Abou Bakr al-Baghdadi, dépeint comme un lâche n’hésitant pas à entraîner dans sa mort certains de ses enfants. En tuant leur ennemi, les Etats-Unis ont pris le risque de le transformer en martyr. Ils se doivent de tout faire pour détruire sa réputation.
Note de do : l’ex-agent de la NSA, Edward Snowden, révèle que le chef de l’EI travaille pour les USA et Israël
Abou Bakr al-Baghdadi, l’homme le plus recherché du monde, avait été plusieurs fois donné pour mort ces dernières années.
Moscou a déclaré ce dimanche ne pas avoir "d’informations fiables" sur le décès du chef de Daech, faisant état de "détails contradictoires".
Alors que Donald Trump a remercié entre autres la Russie pour avoir contribué à ce succès, le ministère russe de la Défense indique "n’être au courant d’aucune assistance présumée au passage de l’aviation américaine dans l’espace aérien de la zone (…) au cours de cette opération".
Le 16 juin 2017, la Russie avait affirmé avoir probablement tué al-Baghdadi dans une frappe aérienne en mai près de la ville syrienne de Raqa.
Note de do : l’ex-agent de la NSA, Edward Snowden, révèle que le chef de l’EI travaille pour les USA et Israël
Roland RICHA Samedi, 26 octobre 2019 :
Nous voulons de l’argent pour la santé, l’école, l’université, la formation, l’emploi, la culture, la protection de l’environnement.
Le temps est venu de faire payer ceux qui, grâce à un système fondé sur le confessionnalisme politique, pillent et appauvrissent le peuple. C’est pour ce temps-là que nous sommes dans la rue.
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Quelle est la différence entre ça et ça ?
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Extrait du PBLV du 17 octobre 2019 - vidéo de 1’12
Si vous ne pouvez pas voir la vidéo avec Firefox
essayez avec Google Chrome.
Quand je pense qu’à une époque, Plus Belle La Vie faisait sa publicité en disant que dans cette série les prénoms ne sont pas anglais mais français !
Ah Liban, de violentes bagarres ont opposé vendredi 25 octobre 2019 des manifestants à des partisans du Hezbollah, faisant nombre de blessés et poussant la police anti-émeutes à intervenir.
Hassan Nasrallah a affirmé que le mouvement de contestation "n’est plus aujourd’hui un mouvement populaire spontané". "Il a commencé par l’être, mais il ne l’est plus, a-t-il ajouté. Ce mouvement est aujourd’hui mené par des partis et des forces politiques ainsi que des personnalités et entreprises spécifiques. Il y a même une direction de coordination et de financement". "Toutes ces festivités, la nourriture et les boissons qu’on y trouve, la couverture médiatique… tout cela nécessite un financement", a-t-il indiqué, appelant les contestataires à être transparents à ce niveau et à révéler les sources de leur financement.
Une crise sociale prend toujours sa source dans une crise économique. Il n’en va pas autrement pour la crise des Gilets jaunes. L’économie mondiale va tout droit dans le mur et elle ralentit en dépit du laxisme monétaire des banques centrales, de l’hyperendettement des particuliers et des entreprises et des déficits cumulatifs des institutions publiques.
Au lendemain d’une adresse à la nation du président Michel Aoun jugée unanimement décevante, les barrages érigés par les manifestants étaient plus nombreux que jamais vendredi 25 octobre 2019 au Liban, marquant une colère intacte contre la classe politique au 9e jour d’une mobilisation inédite émaillée par des incidents.
Les militants du puissant mouvement chiite pro-iranien du Hezbollah, de plus en plus visibles dans les rues, ont été impliqués jeudi soir dans des heurts à Beyrouth, excédés par les slogans visant leur leader Hassan Nasrallah.
Celui-ci doit prendre la parole plus tard dans la journée, et son discours sera d’autant plus scruté que le Hezbollah reste le seul mouvement politique armé dans le pays, au nom de sa lutte contre Israël. Le journal Al-Akbar, proche du Hezbollah, a mis en garde en première page sur "le risque du chaos". "Le Hezbollah a décidé de descendre dans la rue pour obtenir le déblocage des routes", écrit-il.
Un tabou a été brisé lorsque Hassan Nasrallah a été conspué dans des bastions chiites du sud du pays, notamment dans la ville de Nabatiyé. De violents incidents entre manifestants et militants du Hezbollah y ont été signalés, mais la mobilisation n’y a jusque-là pas faibli avec une présence massive et remarquée de jeunes et de femmes.
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